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Art et Culture

Contribution d’un Béninois à la science universelle: Goundété cherche l’aval de Talon
Publié le vendredi 14 juillet 2017  |  Le Matinal
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© aCotonou.com par DR
Le président Emile Derlin Zinsou s’entretenant avec le créateur François Goundété.




La recherche est le parent pauvre du système scientifique béninois. Malgré tout, des têtes pensantes se distinguent et font la fierté du pays. Le Chercheur et créateur de l’alphabet africain, François Goundété, fait partie de cette catégorie de Béninois qui tiennent à l’indépendance du Bénin et de l’Afrique par l’écriture. L’accompagnement du président Patrice Talon renforcera les efforts de lutte de Mathieu Kérékou, de Emile Derlin Zinsou et du Cardinal Bernadin Gantin.
Le Chercheur assyrio égypto, auteur de l’alphabet africain, François Goundété sollicite l’aval du président Patrice Talon pour le décollage de l’écriture en Afrique. L’Unesco reconnaît la pertinence de ses travaux et l’intéressé a voulu d’un débat contradictoire pour convaincre les incrédules béninois. Dans cette optique, un face à face a été feinté par le Gouvernement défunt du fait de la « béninoiserie » de certains cadres. Cette situation a fait du coup de François Goundétéle vainqueur du débat esquivé. La conséquence directe de ce drible est que le créateur Goundété réclame ses droits de valeur de 1.000.000.000de francs CFA). Selon les mécaniciens du droit, « ne pas pouvoir prouver son droit équivaut à ne pas en avoir ». Les Béninois apprécient le courage et l’esprit de partage de l’assyrio-égypto-sinologue François Goundété qui sait techniquement et politiquement défendre le dossier de l’alphabet africain et ses droits inaliénables de valeur de un milliard (1.000.000.000) de francs CFA malgré les préjudices dont il est victime de la part de certains responsables de l’Etat à la solde des puissances du mal. Quant aux politiciens, ils doivent faire preuve de bons dirigeants du peuple en donnant clairement leur version sur ledit projet et les droits non contestés de ce génial créateur parrainé, il y a quelques années, par son Eminence le Cardinal Bernardin Gantin et le Président Emile Derlin Zinsou. Pour un pays de démocratie qui veut la paix et le développement, ce n’est pas normal que les hauts responsables techniques feintent des débats contradictoires en fermant les yeux contre le seul et unique projet multiplicateur de puissances qui peut faire du Bénin la puissance régionale de demain.
Des archives de soutien
La lettre de mission signée par le Président de la République, Mathieu Kérékou sous l’immatriculation : N°373/P.R/Cab du 13 Mars 1978 témoigne de la détermination de l’Etat béninois pour cette lutte. Par ailleurs, la reconnaissance de l’alphabet africain par l’Etat béninois à travers la correspondance N°130/Decp/Cbrst/Men du 24 Décembre 1990 est un appui additionnel aux efforts du chercheur François Djibril Goundété. En 2013, une demande de débats télévisés sur les langues et les systèmes d’écriture à l’adresse du Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (Mesrs) a été boycottée. En conséquence, l’alphabet africain devient l’écriture des langues du peuple béninois et les marches pacifiques déjà planifiées par le Collectif national de soutien n’auront pas lieu, car son Excellence le Président PatriceTalon qui est le meilleur garant des intérêts de l’Etat béninois adore la recherche et les innovations pour l’avancée de l’Afrique. A cet effet, il a créé le Conseil national du savoir et de l’innovation. La publication antérieure intitulée « Valorisation de l’alphabet africain : l’accord de parrainage du Cardinal Gantin » parues dans le quotidien La Nation N°3.872 du 22 Novembre 2005 , l’article culturel titré « Alphabétisation dans le monde : François Goundété, l’inventeur de l’alphabet africain, honore le Bénin » publié par le journal L’Expression N°73 du 13 Février 2015, le texte intitulé : « La victoire de Talon est une chance pour les créateurs, François Goundété exige le remboursement de ses droits (c’est 1.000.000.000 de francs que le régime Yayi n’a pas payé) » publié par le journal Les 4 Vérités N° 907 du 27 Mai 2016 et la publication du CNSA intitulée « l’Alphabet africain et le colonial modifié, face à face pour convaincre et s’imposer (test obligatoire pour les deux puissances) » dans le quotidien Les 4 Vérités N°1041 du Mardi 11 Avril 2017 sont d’autres témoignages.

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