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Sanction des hauts gradés de la Police : La hiérarchie policière clarifie
Publié le samedi 19 aout 2017  |  24 heures au Bénin
Ecole
© Autre presse par DR
Ecole nationale de la Police




Le régime des sanctions dans le corps de métier ainsi que la kyrielle de sanctions infligées ces derniers jours à plusieurs chefs d’unité ou de service de la police était le menu de la rencontre des professionnels des médias avec des responsables de la police ce vendredi 18 Août 2017, rapporte l’Abp.

Ce point de presse a été animé par Etienne da Matha, directeur des ressources humaines de la police nationale, Mathias Aguédémessi, directeur des études, de la réglementation et du contentieux, Omer Nahum, Inspecteur général adjoint des services de police et Stanislas Ayéni, secrétaire général et porte-parole de la police nationale.

Se fondant sur l’article 90 du décret n°2016-137 de mars 2016 portant statuts particuliers des corps des personnels de la police nationale, le commissaire divisionnaire de police, Stanislas Ayéni, a indiqué que "tous les fonctionnaires de la police nationale en position d’activité sont astreints au port de l’uniforme’’.

Toutefois, fait-il remarquer, certains fonctionnaires, durant leur temps d’affectation à un service dépendant des renseignements généraux, de la surveillance du territoire, des voyages officiels, de la police judiciaire et de certaines unités spécialisées, peuvent en être dispensés temporairement.

Selon le commissaire divisionnaire de police, Stanislas Ayéni, des restrictions sont en outre admises aux chefs d’unité ou de service dans des conditions précisées par le même décret.

« Les permissions et congés ainsi que les temps de disponibilité se passent obligatoirement en tenue civile », a renchéri le porte-parole de la police nationale, commissaire Ayéni avant de signifier que la police a pour socle principal, la discipline qui fait la force principale des armées.

Toutefois, le porte-parole de l’institution, a affirmé que des voies de recours existent pour tout fonctionnaire qui estime que ses droits ont été bafoués. ’’Il peut donc prendre par ces voies de recours pour se faire rétablir ses droits’’, a-t-il martelé.

Il a aussi laissé entendre que toute sanction infligée par un chef supérieur doit faire le circuit et parvenir au directeur général de la police nationale qui confirme ou infirme la sanction.

Et le commissaire Etienne Da-Matha, directeur des ressources humaines de la police nationale, d’inviter les journalistes qui sont pour lui des leaders d’opinion, à veiller aux différentes fonctions de la parole avant de leur demander de travailler main dans la main pour avec l’administration policière.
T. A. D
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