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Le réseau des communicateurs panafricains porté sur les fonts baptismaux à Cotonou
Publié le dimanche 20 aout 2017  |  ABP




Cotonou - Le réseau des communicateurs panafricains (REZOPANACOM), une association de jeunes communicateurs regroupant le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Burkina, le Ghana et le Bénin, a vu le jour ce samedi à Cotonou au terme d’un congrès constitutif placé sous le thème : « panafricanisme et stratégies de communication pour une Afrique libre, indépendante et souveraine ».

L’objectif principal du réseau des communicateurs panafricains (REZOPANACOM), est de partager les idéaux du panafricanisme et de lutter pour la souveraineté de l’Afrique et son développement.

Selon le communicateur ivoirien Jean-Blaise Ahimèlè, président du REZOPANACOM, ce creuset a pour but de se battre pour que l’information vraie arrive dans toutes les contrées, dans les organes de presse, tout organisme et auprès de tous les peuples du monde en général et auprès des africains en particulier.

Le REZOPANACOM se veut un canal pour relayer les activités des leaders et dirigeants africains engagés dans un programme de souveraineté et de développement de l’Afrique et aider à trouver des supports de communication et d’information pour la population afin qu’elle soit une consommatrice assidue et obligatoire de l’information.

De l’avis de sa Majesté Aladjitchè Onikoyi Abossan Pin, roi de Porto-Novo, le REZOPANACOM est un moyen de contrer les communications fantaisistes qui sont faites par les occidents pour détruire l’image de l’Afrique afin de profiter de ses richesses.

Quant aux différentes personnalités africaines intervenues, c’est une initiative qu’on doit encourager, accompagner pour rendre l’Afrique libre en organisant des sensibilisations contre le néo-colonialisme en Afrique.

Pour l’ex-premier ministre togolais, M. Joseph Koffigoh, il n’est plus question de rappeler des mauvais souvenirs, mais la seule chose qui reste à faire est de barrer la voie aux colons pour que les générations futures ne subissent plus les mêmes problèmes.

Il appartient désormais aux générations futures de prendre le combat en main pour sortir l’Afrique de sa précarité.

Retenons que le sens du combat que promet de mener le réseau est l’équilibre de l’information.

ABP/AM/DKJ
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