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Séance plénière au Parlement : Guy Mitokpè dénonce les licenciements abusifs par le gouvernement
Publié le vendredi 15 septembre 2017  |  Matin libre
L`honorable
© Autre presse par DR
L`honorable Guy Mitopkè, secrétaire général du parti Restaurer l’Espoir.




A la faveur de la reprise des travaux de la séance plénière de la 5ième session extraordinaire du Parlement, hier jeudi 14 septembre 2017, le jeune député de la 16ième circonscription électorale, Secrétaire général du parti Restaurer l'espoir (Re),a interpellé le gouvernement sur la misère du peuple. Guy Mitokpè, invite par conséquent le peuple béninois à prendre ses responsabilités face aux licenciements abusifs et massifs au lieu de recrutements promis à la jeunesse par le Pouvoir de la Rupture.

Licenciements abusifs, location gérance et autres cession de parcs animaliers ayant entrainédes licenciements en masse. Ce sont autant d’actes posés par le gouvernement de Patrice Talonet dénoncés icipar le député Guy Mitokpè. En effet, au cours des débats sur le financement de la deuxième phase du Projet d'appui à la gestion des forêts communales (Pagefcom II) et sur la gestion des parcs animaliers, le Secrétaire général du parti Restaurer l'espoir (Re) a fustigé la mauvaise gouvernance qui caractérise lerégime de la rupture, qui, bientôt deux ans après son avènement, s’évertue à multiplier des actes de nature à accroître la misère des populations. «La location gérance et la cession de nos parcs ne doivent pas être un alibi pour accroître la souffrance de notre valeureux peuple», a martelé l’élu de la seizième circonscription électorale. Et tout ceci, s’indigne-t-il, dans un contexte où le gouvernement augmente les salaires d'un noyau très restreint de la haute sphère, laissant libre court à la paupérisation. Abordant la sanction de mise aux arrêts de rigueur infligée à des syndicalistes dans des corps para militaires, Guy Mitokpè estime que c'est une menace pour la démocratie et les libertés. Il appelle donc le gouvernement à un devoir de mémoire. Selon le jeune parlementaire, si les libertés et la démocratie n'avaient pas été défendues sous l'ancien régime, le Nouveau départ ne verrait pas le jour..

Th.A.
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