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Rentrée scolaire 2017-2018 : Le DDES-Ouémé Valentin Dansou fait le constat
Publié le mercredi 20 septembre 2017 | Matin libre
© Autre presse par DR
Les ecoliers beninois |
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Le directeur départemental des enseignements secondaires de l’Ouémé a effectué hier, lundi 18 septembre 2017, une descente dans quelques établissements sous sa tutelle afin de constater par lui-même l’effectivité de la rentrée 2017-2018 et profiter pour s’enquérir des difficultés des chefs de ces établissements. Le Collège d’enseignement général (Ceg) Djègan-Kpèvi a été le premier à accueillir la délégation conduite par le directeur départemental des enseignements secondaires de l’Ouémé Docteur Valentin Dansou. Cette dernière, à chaque endroit, tient une séance de travail avec l’administration qui tous travaux cessants vient écouter les instructions du DDES-Ouémé Valentin Dansou. Pour celui-ci il s’agit de partager avec l’administration quelques informations relatives au respect des textes qui doivent être le leitmotiv cette année, la collaboration pacifique avec les partenaires sociaux, avec le bureau de l’Association des Parents d’élèves (APE). Ce sont les mots que le directeur a rappelé aux membres des différentes administrations rencontrés hier. « Les membres de l’administration doivent veiller au grain surtout par rapport à l’inscription des nouveaux élèves parce qu’il y a encore des rumeurs sur les faux bulletins qui circulent. J’ai été clair, cette année, nous serons intransigeants. Ce sont ces faux bulletins qui plombent les effectifs dans les classes d’examen et la suite logique, cela fait baisser les résultats », a-t-il ajouté. Le même exercice a été fait au collège de Danto. A en croire les chefs de ces deux établissements, la rentrée est effective, les inscriptions sont en cours, les emplois du temps sont en train d’être distribués aux professeurs. « Tout se passe bien », ont-ils déclaré. Pour ce qui est des exigences d’outils de nettoyage aux nouveaux élèves lors des inscriptions, le DDES-Ouémé Valentin Dansou a fait savoir que les établissements doivent être nettoyés et qu’il leur revient de s’organiser. « C’est à la discrétion de chaque établissement de gérer. On ne prendra pas cela comme un sujet de rançonnement. Je suis en train de discuter avec les chefs des établissements et on va trouver la formule pour que tous les partenaires soient associés », a-t-il conclu.
Kola Paqui
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