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Perspectives 2018 : la BAD met en garde contre « une croissance sans emploi »
Publié le lundi 22 janvier 2018  |  Jeune Afrique
CIEA
© aCotonou.com par Marc-Innocent
CIEA 2017: ouverture de la deuxième édition de la conférence par le Président Ouattara
Abidjan le 28 Mars 2017. La 2éme édition de la Conférence Internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) s’est ouverte ce mardi à Abidjan en présence de plusieurs personnalités parmi lesquelles les Chefs d’Etat du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf, Sénégal, Macky Sall, de la Guinée Conakry, Alpha Condé, de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, Helen Clark, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et Akinwumi Adesina (Photo), président de la Banque Africaine de Développement (BAD).




Selon la Banque africaine de développement (BAD), qui a publié son rapport mercredi, la majorité des pays africains a réussi à surmonter en 2017 la mauvaise passe de 2016. Elle invite néanmoins les États à accompagner la restructuration du marché du travail pour éviter « une croissance sans emploi ».

En ce début d’année, l’heure est aux prévisions pour les différentes institutions, cabinets d’analystes et autres agences de notation. Ainsi, quelques jours après la parution des perspectives 2018 de la Banque mondiale, qui annonçaient une croissance moyenne de 3,2 % dans les pays subsahariens, c’est au tour de la Banque africaine de développement (BAD) de dévoiler chiffres et recommandations.

Dans ce rapport 2018, publié le 17 janvier, l’institution panafricaine annonce une croissance moyenne de 4,1 % en 2018 et 2019. Si cette annonce paraît plus optimiste que celle de la Banque mondiale, les deux chiffres ne couvrent pas tout à fait le même périmètre. Celui de la BAD couvre ainsi les pays du Maghreb, alors que la Banque mondiale le classe avec le Moyen-Orient.
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