Assemblée nationale : Constitution de Groupes parlementaires Azanaï, Issa Salé, Fikara, Dayori, Epiphane Quenum… créent : ’’Cohésion nationale et Paix’’ (Rosine Soglo, elle, fait renaître de ses cendres ’’Nation et Développement’’) #aCotonou

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Assemblée nationale : Constitution de Groupes parlementaires Azanaï, Issa Salé, Fikara, Dayori, Epiphane Quenum… créent : ’’Cohésion nationale et Paix’’ (Rosine Soglo, elle, fait renaître de ses cendres ’’Nation et Développement’’)

Publié le vendredi 8 novembre 2013 | Le Confrère de la Matinée

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CEDEAO : Réunion du comité technique chargé des Affaires Juridiques et Judiciaires
Lundi 09 au 13 septembre 2013. Abidjan ( Assemblée Nationale à Abidjan au Plateau)

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La plénière de ce 07 novembre a été l’occasion pour le député Epiphane Quenum de contre attaquer suite aux propos de son ancienne présidente de parti. Il y est parvenu par l’activation à l’arrachée de l’application de l’article 51 du règlement intérieur de l’assemblée nationale.
Au plus profond des déchirements entre les dissidents de la RB et leur parti, des propos avaient été tenus par la présidente Rosine SOGLO et qui n’avaient pas été tendres avec eux. Epiphane Quenum n’a pas voulu laisser les injures en l’état. Le président Nago pour la sagesse qu’on lui connaît ne voulait pas aussi laisser l’hémicycle se transformer en un champ de bataille inutile. Mais c’était sans compter avec la détermination farouche du dernier rebelle des ’’Houézèhouè’’ qui, en bon stratège, a du faire recours à l’application de l’article 51 du règlement intérieur de l’institution parlementaire qui stipule en substance, que tout député qui le désire a droit, à la fin des débats d’ordre du jour, a 5mn de temps de parole pour s’exprimer.
Pour Quenum Epiphane, la vérité sur la dislocation du groupe parlementaire " Nation et Développement " s’impose pour mettre fin aux spéculations de mauvais alois colportées çà et là par des apprentis sorciers de la 25e heure arrivés dans une maison qui s’est vidée des bonnes chaires. Il a aussi dans son réquisitoire appelé ses collègues à ne pas s’attendre à ce qu’il trahisse sa culture et son éducation qui l’oblige à respecter la bosse du vieillard pour ce qu’elle contient et le sein de la vieille mère pour ce qu’il est devenu une divinité. Se défendant d’accuser Rosine SOGLO de mensonge, il affirme pourtant que la manœuvre qu’elle a adopté ressemble à la tactique de l’auto-victimisation qui vise à retourner les effets d’une situation sciemment créée par soi- même. Pour lui donc, on allume le feu et on désigne un bouc émissaire qu’on sait pertinemment innocent. Il refuse donc qu’on accuse Yayi Boni et affirme sans ambages que les propos tenus par la doyenne d’âge des députés n’a de but que de sacrifier Quenum et les autres sur des ambitions de son fils qui rêve de devenir le prochain président de la République.

Yves HOUETO

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