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«L’émancipation de la femme et le développement d’une nation dépendent aussi de l’harmonie conjugale», dixit la vice présidente de RIFONGA-Bénin

Publié le samedi 1 juin 2019  |  ABP
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© aCotonou.com par TOP
Lancement du projet EMPOWER II
Mercredi 27 Novembre 2013, palais des Congrès, Cotonou : L’ONG WILDAF Bénin, l’Ambassade des Etats-Unis au Bénin et l’USAID lancent la deuxième phase du projet EMPOWER pour la mobilisation et la mise en œuvre de politiques en faveur des droits de la femme Photo : Mme Léontine Konou Idohou, Coordonnatrice de RIFONGA-Bénin et M. Kevin Armstrong, Directeur de l`USAID-Bénin
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La vice présidente de RIFONGA-Bénin Antoinette Fakamè Dadjo, a mis l’accent dans sa communication, face à une cinquantaine de femmes membres de groupements féminins, participantes au séminaire de formation organisé mercredi et jeudi au CECEDD Abomey, sur la nécessité d’«œuvrer à l’harmonie dans le couple», un facteur déterminant pour l’épanouissement de la gente féminine et le développement de toute une nation.

Pour la conférencière, la politique est la plus grande école, après l’école du mariage. Et le premier noyau étant la famille, l’harmonie du couple est très déterminante pour la vie du couple, la vie de la famille et la vie de toute une nation.

Elle a de ce fait exhorté les femmes participantes, au respect de leurs conjoints dans le ménage, à respecter également les droits des enfants, ce, de façon mutuelle, à travers l’instauration d’un dialogue sain pour une véritable émancipation de la femme et une société de paix, aspirant à un développement durable.

L’harmonie du couple apparaît fondamentale aux yeux de la communicatrice, qu’elle affirme que la réussite des familles, et l’avenir de la nation en dépendent. « J’ai toujours demandé aux femmes de faire attention à cela, qu’elles soient plus riches que l’homme, qu’elles soient plus intellectuelles que l’homme, elles ont le devoir de respecter l’homme et de faire leurs devoirs, avant de réclamer leurs droits », a enseigné Antoinette Fakamè Dadjo.

Au cours des deux jours de formation conduite par la coordonnatrice de l’UFADD, Pulchérie Totin, plusieurs thèmes liés aux « Droits et devoirs du citoyen en démocratie », « Les freins à la participation de la femme au processus de la décentralisation et développement local », « Le leadership de la femme dans la vie politique et associative», « La situation économique de la femme », ont été abordés dans les échanges.

Les femmes attributaires des activités de l’UFADD, grâce à l’appui de la fondation HANNS SEIDEL, se sont engagées à restituer les connaissances acquises dans leurs milieux respectifs, afin de faire profiter leurs pairs.

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