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Forum régional sur la santé communautaire : Partager les meilleures pratiques pour une bonne orientation de la santé primaire

Publié le mercredi 13 novembre 2019  |  Fraternité
Kakpo
© Autre presse par DR
Kakpo Mahugnon, ministre des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle
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Renforcer le système de santé communautaire pour obtenir des résultats clés en faveur des enfants. Tel est l’objectif poursuivi par le forum régional sur la santé primaire à base communautaire qui s’est tenu hier à Azalaï hôtel de Cotonou. A en croire le docteur claude Kaminga, porte-parole de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) et de l’Unicef, ce forum qui a rassemblé les représentants des gouvernements, des gestionnaires de programmes, des experts, des partenaires techniques et financiers, la société civile, le secteur privé, des organisations non gouvernementales, permet d’examiner les défis, de partager les meilleures pratiques, d’identifier les innovations, de renouveler les engagements et de mobiliser le financement afin d’accélérer la réalisation des résultats clés pour les enfants les plus vulnérables et leurs familles. « Nous avons des défis à relever pour renforcer les soins de santé primaire afin d’atteindre la couverture sanitaire universelle. Ceci appelle à un nouveau paradigme dans lequel les services à base communautaire sont priorisés avec les communautés afin d’améliorer l’efficacité du système de santé dans le contexte aux ressources limitées. Ainsi, pour garantir la qualité de service dans la communauté, nous devons assurer la disponibilité des ressources humaines, c’est-à-dire des agents de santé bien formés, équipés en nombre suffisant et reconnus par le système de santé », a-t-il ajouté.

A en croire Benjamin Houkpatin, ministre béninois de la santé, des progrès considérables ont été enregistrés au niveau mondial dans l’amélioration de la santé et du bien-être de la population avec une réduction significative de la mortalité maternelle, néonatale et infantile. Cependant, les pays de l’Afrique de l’ouest et du centre sont confrontés au défi de la transition démographique, de l’urbanisation rapide et des migrations, des conflits armés et d’insécurité ainsi que la multiplication des foyers épidémiques, présentent des taux de mortalité les plus élevés, soit 91 décès pour 1000 naissances vivantes chez les enfants de moins de 5 ans. « Cette malheureuse réalité traduit la persistance de besoin encore important et pressant d’accès au service des soins de santé primaire et particulièrement de la santé communautaire qui apparaît comme un levier très important de l’accès à la santé pour tous. Dans la perspective d’accélérer la marche vers la couverture sanitaire et universelle, la santé communautaire reste une composante stratégique unique à laquelle les pays de l’Afrique de l’Ouest et du centre doivent recourir », a-t-il précisé. Ainsi, la rencontre de Cotonou permettra aux participants d’avoir un document pour une bonne orientation sur la santé communautaire.

Renforcer le système de santé communautaire pour obtenir des résultats clés en faveur des enfants. Tel est l’objectif poursuivi par le forum régional sur la santé primaire à base communautaire qui s’est tenu hier à Azalaï hôtel de Cotonou. A en croire le docteur claude Kaminga, porte-parole de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) et de l’Unicef, ce forum qui a rassemblé les représentants des gouvernements, des gestionnaires de programmes, des experts, des partenaires techniques et financiers, la société civile, le secteur privé, des organisations non gouvernementales, permet d’examiner les défis, de partager les meilleures pratiques, d’identifier les innovations, de renouveler les engagements et de mobiliser le financement afin d’accélérer la réalisation des résultats clés pour les enfants les plus vulnérables et leurs familles. « Nous avons des défis à relever pour renforcer les soins de santé primaire afin d’atteindre la couverture sanitaire universelle. Ceci appelle à un nouveau paradigme dans lequel les services à base communautaire sont priorisés avec les communautés afin d’améliorer l’efficacité du système de santé dans le contexte aux ressources limitées. Ainsi, pour garantir la qualité de service dans la communauté, nous devons assurer la disponibilité des ressources humaines, c’est-à-dire des agents de santé bien formés, équipés en nombre suffisant et reconnus par le système de santé », a-t-il ajouté.

A en croire Benjamin Houkpatin, ministre béninois de la santé, des progrès considérables ont été enregistrés au niveau mondial dans l’amélioration de la santé et du bien-être de la population avec une réduction significative de la mortalité maternelle, néonatale et infantile. Cependant, les pays de l’Afrique de l’ouest et du centre sont confrontés au défi de la transition démographique, de l’urbanisation rapide et des migrations, des conflits armés et d’insécurité ainsi que la multiplication des foyers épidémiques, présentent des taux de mortalité les plus élevés, soit 91 décès pour 1000 naissances vivantes chez les enfants de moins de 5 ans. « Cette malheureuse réalité traduit la persistance de besoin encore important et pressant d’accès au service des soins de santé primaire et particulièrement de la santé communautaire qui apparaît comme un levier très important de l’accès à la santé pour tous. Dans la perspective d’accélérer la marche vers la couverture sanitaire et universelle, la santé communautaire reste une composante stratégique unique à laquelle les pays de l’Afrique de l’Ouest et du centre doivent recourir », a-t-il précisé. Ainsi, la rencontre de Cotonou permettra aux participants d’avoir un document pour une bonne orientation sur la santé communautaire.
Renforcer le système de santé communautaire pour obtenir des résultats clés en faveur des enfants. Tel est l’objectif poursuivi par le forum régional sur la santé primaire à base communautaire qui s’est tenu hier à Azalaï hôtel de Cotonou. A en croire le docteur claude Kaminga, porte-parole de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) et de l’Unicef, ce forum qui a rassemblé les représentants des gouvernements, des gestionnaires de programmes, des experts, des partenaires techniques et financiers, la société civile, le secteur privé, des organisations non gouvernementales, permet d’examiner les défis, de partager les meilleures pratiques, d’identifier les innovations, de renouveler les engagements et de mobiliser le financement afin d’accélérer la réalisation des résultats clés pour les enfants les plus vulnérables et leurs familles. « Nous avons des défis à relever pour renforcer les soins de santé primaire afin d’atteindre la couverture sanitaire universelle. Ceci appelle à un nouveau paradigme dans lequel les services à base communautaire sont priorisés avec les communautés afin d’améliorer l’efficacité du système de santé dans le contexte aux ressources limitées. Ainsi, pour garantir la qualité de service dans la communauté, nous devons assurer la disponibilité des ressources humaines, c’est-à-dire des agents de santé bien formés, équipés en nombre suffisant et reconnus par le système de santé », a-t-il ajouté.

A en croire Benjamin Houkpatin, ministre béninois de la santé, des progrès considérables ont été enregistrés au niveau mondial dans l’amélioration de la santé et du bien-être de la population avec une réduction significative de la mortalité maternelle, néonatale et infantile. Cependant, les pays de l’Afrique de l’ouest et du centre sont confrontés au défi de la transition démographique, de l’urbanisation rapide et des migrations, des conflits armés et d’insécurité ainsi que la multiplication des foyers épidémiques, présentent des taux de mortalité les plus élevés, soit 91 décès pour 1000 naissances vivantes chez les enfants de moins de 5 ans. « Cette malheureuse réalité traduit la persistance de besoin encore important et pressant d’accès au service des soins de santé primaire et particulièrement de la santé communautaire qui apparaît comme un levier très important de l’accès à la santé pour tous. Dans la perspective d’accélérer la marche vers la couverture sanitaire et universelle, la santé communautaire reste une composante stratégique unique à laquelle les pays de l’Afrique de l’Ouest et du centre doivent recourir », a-t-il précisé. Ainsi, la rencontre de Cotonou permettra aux participants d’avoir un document pour une bonne orientation sur la santé communautaire.

Isac A. YAÏ
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