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Condamné avec sursis et amende: Edgard Guidigbi recouvre sa liberté

Publié le mercredi 11 mars 2020  |  Matin libre
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Edgard Guidigbi peut enfin pousser un ouf de soulagement. Accusé et incarcéré à la prison civile de Cotonou depuis le 27 février 2020 pour une affaire ‘’d’escroquerie’’, le Pasteur évangéliste et opérateur économique a vu son procès aboutir hier, mardi 10 mars, devant le Tribunal de première instance (Tpi) de Cotonou. Procès à l’issue duquel, l’accusé a été condamné par sursis à une peine d’emprisonnement de huit mois, assortie d’une amende de 500.000F cfa.



Le Pasteur Edgard Guidigbi après plus d’une semaine passée en détention, est désormais fixé sur son sort. Ainsi, il pourra quitter les liens de détention et regagner son domicile, après avoir payé l’amende de 500.00F cfa, retenue à son encontre par le juge. C’est l’information principale qui découle de son procès, à l’instar des huit mois de prison avec sursis, retenus aussi à son encontre. Interpellé pour une affaire d’escroquerie après plusieurs plaintes à son égard, il était au début reproché à l’ancien Conseiller à la communication de l’ancien Président Boni Yayi, d’avoir encaissé d’importantes sommes chez ses plaignants, pour un investissement rentable en pisciculture. Mais au cours du procès, d’autres plaintes liées à son agence immobilière Global services s’y sont ajoutées et le mis en cause selon le site d’informations Banouto, devrait se défendre désormais face à des faits d’escroquerie, d’escroquerie avec appel au public et d’association de malfaiteurs. Au terme des débats, le Ministère public a requis huit mois d’emprisonnement avec sursis et une amende de 500.000F cfa contre l’homme de Dieu, tout en demandant au juge selon toujours Banouto, de faire suite aux plaintes de la partie civile. Mis en délibéré, le juge a fini par prononcer un peu plus tard sa sentence, qui n’est que la confirmation de la réquisition du Ministère public. Toutefois, les plaignants se sont constitués en partie civile, à l’exception d’un.

J.G
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