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Santé : L’Artemisia annoncée ce mercredi comme le remède efficace contre la Covid-19

Publié le mercredi 24 juin 2020  |  24 heures au Bénin
Artemisia
© Autre presse par DR
Artemisia
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Ce mercredi 24 juin 2020, le remède contre la pandémie du Coronavirus pourrait être dévoilé au monde entier. Selon les résultats des recherches de l’Institut Max Planck, à Potsdam en Allemagne corroborés par plusieurs autres laboratoires, l’Artemisia serait la plante efficace contre la Covid-19. Le professeur Seeberger fera l’annonce ce mercredi 24 juin au cours d’une conférence de presse.

Selon les informations publiées par Paris Match, l’une des molécules de l’Artemisia annua, aurait des effets sur le virus. Selon la même source, l’Artemisia est une plante vendue en pharmacie au Bénin et au Togo. Regroupée sous l’appellation CTA, les combinaisons thérapeutiques à base de cette substance, ont été reconnues par l’OMS comme le traitement le plus efficace contre le paludisme et délivrées massivement en Afrique et en Asie du Sud-Est. « Les résultats sont éloquents : entre 2000 et 2012, le taux de mortalité par paludisme chute de 45 % », renseigne Paris Match qui indique que les grands laboratoires d’alors ont craint « d’être les victimes de leur succès et de manquer d’artémisinine ».
En France, Lucile Cornet-Vernet, directrice de La Maison de l’artemisia fut étonnée des succès de cette plante sur le paludisme. C’est une orthodontiste parisienne de l’Oise qui se bat depuis 07 ans pour faire connaître les vertus de la plante. « Elle reçoit en temps réel des informations de 200 médecins, chercheurs et agriculteurs, africains pour la plupart », confie le journal français. Avec elle, tout a commencé avec le récit d’un ami, l’écrivain-voyageur Alexandre Poussin, miraculeusement guéri du paludisme grâce à des tisanes d’artemisia. Lucile Cornet-Vernet crée alors en 2013 l’association destinée à faire connaître le remède naturel et, bientôt, accompagne dans 23 pays la création de 81 « Maisons ». Autant de coopératives qui aident les agriculteurs à produire, puis à trouver des filières de distribution. En 2015, les études réalisées par un jeune étudiant en médecine de la République démocratique du Congo (RDC), Jérôme Munyangi, et financées par cette française à l’effet de tester des tisanes d’artemisia sur des personnes atteintes de palu ont révélé des résultats stupéfiants. Le 20 mars, elle a adressé un courrier à une vingtaine de ministres de la santé leur suggérant de « réaliser des études complémentaires pour confirmer l’efficacité de cette plante ».
Par ailleurs, les expériences menées par Thomas Efferth, professeur de l’université Johannes Gutenberg, à Mayence ont donné de résultats probants. Celui-ci est « le premier à avoir démontré que l’artémisinine était active contre le cancer », rapporte Paris Match. « Dès l’apparition du Covid-19, Seeberger se rappelle que, pendant l’épidémie de Sras, elle était prescrite par les médecins chinois », précise la même source.
De même, le président malgache, Andry Rajoelina dans la perspective d’une solution à la pandémie de la Covid-19 annonça la distribution d’artemisia à sa population. Le 30 avril, des chefs d’Etats africains réunis en visioconférence avaient débattu de la généralisation du « Covid-Organics », terme inventé par le président malgache pour désigner la tisane d’artemisia. En l’absence de preuve scientifique, tous partagent tout de même la conviction que ce n’est pas un hasard si les pays touchés par le paludisme semblent épargnés par le Covid-19. Ce que le professeur Didier Raoult avait pressenti annonçant que l’Afrique pourrait être épargnée de la maladie du Coronavirus du fait de la consommation de traitements d’antipaludiques.
Ainsi, face aux ravages de la pandémie du Coronavirus dans le monde, l’artemisia pourrait se révéler comme la plante miracle pour sortir le monde entier des affres de la Covid-19.

Quelques succès historiques de l’artemisia

Il est à noter que dans les années 1960, « les soldats Viêt-cong sont décimés par la fièvre tandis que, grâce à leur traitement à base de chloroquine, les GI résistent. Mao fait alors glisser dans les stocks de munitions destinés à ses alliés son arme de destruction massive contre "Plasmodium falciparum", ce parasite transmis par la piqûre de moustique, à l’origine du paludisme. Les cargaisons d’artemisia vont permettre à Hô Chi Minh de soigner ses troupes et de renverser le rapport de force. Etrange facétie de l’histoire, la guerre qui oppose alors la Chine et les Etats-Unis distingue ainsi deux remèdes contre le palu : la chloroquine et l’artemisia. En 1972, la chercheuse en pharmacie chinoise Tu Youyou réussit à isoler l’un des principes actifs de la plante, l’artémisinine », informe Paris Match.
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