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Uac/ Gestion des primes de rendement par le rectorat: Agacement dans le rang des agents

Publié le vendredi 11 decembre 2020  |  Matin libre
Maxime
© aCotonou.com par DR
Maxime da Cruz,le Recteur de l’Uac
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Ça rechigne dans le rang des agents de l’Université d’Abomey-Calavi (Uac). Et dans le champ de mire de ces derniers, se trouvent le Recteur ainsi que le comptable de ce haut lieu de savoir. A l’origine de ces grincements de dents, un seul point d’achoppement : la gestion des primes de rendement et indemnités. En effet, les travailleurs de cette maison accusent sèchement le Recteur Maxime da Cruz et l’Agent comptable, de fermer les yeux sur deux ans de prime de rendement à leur allouées. En d’autres termes, ces agents déplorent le non-paiement des primes de rendement des années civiles 2019 et 2020. Ainsi, alors qu’ils disent attendre impatiemment le paiement de ces primes et indemnités dues, c’est une autre décision qui vient plomber cet espoir. Puisqu’à travers des nouvelles notes de service datant du 30 novembre 2020 portant notamment ‘’paiement des indemnités périodiques au personnel administratif de l’Université d’Abomey-Calavi’’ et ‘’fixation du taux horaire de l’indemnité de permanence au personnel en service à l’Université d’Abomey-Calavi’’ ; toutes les décisions antérieures sont abrogées. Ce qui implique directement un non-paiement de ces primes en ce qui concerne donc les deux années écoulées. Même s’il est difficile d’avancer des chiffres car le paiement des primes à partir de 2021 est sujet à la notation des agents selon les critères précisés dans l’une des notes de service, il est évident que ces primes dues sont loin d’être négligentes. Pis, l’autre chose qui fâche aussi ces agents, ce sont les notes de service nouvellement signées par l’autorité rectorale. Et pour cause, les montants récemment fixés comme primes riment selon eux, à des abattements ahurissants. Avec la succession de ces deux faits dont le Recteur se retrouve ainsi au centre, les travailleurs de l’Uac abasourdis, avouent ne plus espérer rien de sérieux de la part de leur hiérarchie. Car s’il faut ajouter un nouveau problème à celui existant et sans bout de tunnel, il n’y a plus rien de sérieux qu’ils peuvent encore attendre. Et en cela, ils disent être mécontents.


M.M
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