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Cotonou : Alain Orounla clarifie sa décision préfectorale

Publié le mardi 22 juin 2021  |  cameroonmagazine.com
Conférence
© aCotonou.com par Didier ASSOGBA
Conférence de presse du ministre de la Communication et de la Poste sur la restitution de la 1ère partie de la tournée du Président de la République, Patrice Talon
Cotonou, le 19 novembre 2020. Le ministre la Communication et de la Poste, Alain OROUNLA, a animé une conférence de presse sur la 1ère partie de la tournée du Président de la République, Patrice Talon
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Profitant du lancement du baccalauréat lundi 21 juin 2021 à Ceg Gbégamey, le Préfet du Littoral, Alain Orounla est revenu sur son arrêté controversé.
Sans compter que le 16 juin, le préfet du Littoral, Alain Orounla, a pris un arrêté interdisant le remorquage de plus d’un passager à moto. Dans la même veine, elle souhaite rendre le port du casque obligatoire pour les passagers du Littoral.

Au début du lancement du baccalauréat ce lundi, Alain Orounla a expliqué les raisons qui ont formé l’adoption de son décret. Selon lui, la mesure n’a pas pour but de supprimer. Mais l’objectif est de rappeler aux usagers en déplacement à Cotonou le respect de la vie qui passe par les deux mesures prises, rapporte Le Matinal.
« C’est permis et je pense même qu’il est urgent que chaque Béninois se mette à s’y conformer. Ceux qui n’avaient pas l’intention de le faire et à qui on rappelle cette nécessité de la vie peuvent déjà commencer à épargner pour l’acheter », a déclaré Alain Orounla.

Tentative de nuance suivie d’un ton ferme

« Le but n’est pas de supprimer. Le but est de se rappeler de respecter la vie. Ce n’est pas un ordre d’envoyer des gens en prison ou d’imposer des amendes. Mais s’ils savent que cette ligne est là, ils commenceront à le faire. Dans deux ou trois mois, nous entamerons une phase de rappel », a-t-il ajouté.

Une phase de souvenir, c’est-à-dire une planification de la conscience dans les deux ou trois mois
« Si nous devons utiliser nos forces de sécurité pour rappeler aux motards la nécessité de ce casque, nous le ferons. Mais vous savez tous que quelle que soit la mesure prise, tant qu’il n’y a pas de répression, nos compatriotes résistent. et que chacun comprenne la nécessité de l’utiliser. Les choses s’appliqueront, seront jugées en fonction des besoins, des contraintes sociales et sociologiques », a-t-il insisté.

Mais dès que son décret fut publié, il fit grand bruit et les interprétations allèrent dans tous les sens. Les parents qui doivent prendre des dispositions pour que les enfants aillent au cours à Zemidjan n’ont pas approuvé cette décision. C’est parce qu’ils doivent faire face à d’autres éventualités liées aux frais de scolarité et à diverses taxes.
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