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Enseignement supérieur public: Ce qu’il faut savoir de la nouvelle réforme universitaire

Publié le jeudi 22 juillet 2021  |  Matin libre
Wilfried
© Autre presse par DR
Wilfried Léandre HOUNGBEDJI, directeur de la communication de la Présidence de la République du Bénin
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(Les avantages des enseignants ne seront pas touchés, dixit le Sga-g)

Au cours de sa séance hebdomadaire avec la presse tenue dans les locaux de Matin Libre, le Secrétaire général adjoint du gouvernement, Porte-parole du gouvernement a fait l’état des réformes au niveau de l’Enseignement supérieur au Bénin. Suivez les propos de Wilfried Léandre Houngbédji.

Monsieur le Ppg, apparemment le chef l’État n’est pas encore satisfait des performances du secteur de l’Enseignement supérieur, cela s’est fait sentir dans ses propos pendant sa tournée à travers les communes du Bénin. Mais qu’est-ce qui est fait réellement maintenant pour redorer le blason de ce secteur ?

Le secteur de l’Enseignement supérieur c’est le clou du système éducatif. Vous avez vu, nous avons déjà posé le diagnostic notamment au niveau du secondaire, quand on a relevé que l’Enseignement supérieur, en recevant les contingents qui viennent du secondaire, forme généralement (quelqu’un a dit ) pour la recherche de l’emploi, et non pour l’emploi. Le diagnostic affiné devait s’achever au supérieur. C’est donc en relation avec ce qui a été fait au secondaire, que nous avons dit, désormais on va promouvoir l’Enseignement technique et la formation professionnelle. Une commission a été mise en place, on est conscient et convaincu de ce qu’il fallait oser repenser la gouvernance de façon générale du pays, mais aussi, la gouvernance de certains secteurs porteurs. L’éducation en est un. Que se passe t-il à l’université, notamment les universités publiques ? Si vous avez une amie étudiante, ou une sœur étudiante, qui a eu la chance d’en avoir de plus que les autres en terme de beauté ou d’atouts, vous savez très bien qu’elle a dû susciter des envies ici et là, et que parfois, certains s’y prêtent de façon pas tout à fait commode, pour faire savoir qu’ils aimeraient bénéficier de ses charmes et parfois même, le fait que dignement elle puisse dire non, « ça n’est pas dans mon éducation, ça n’est pas dans mon éthique », cela peut lui porter préjudice. Ce n’est pas le plus gros point noir du diagnostic. Il y a que la façon de dispenser les enseignements, et nous avons tous pris par là, moi je peux vous dire, déjà dans les années où nous sommes allés à l’université, entre 96 et 2000, à titre personnel, il faut vous dire que nous avions un enseignant dont les fiches étaient plus âgées que nous les étudiants. Il n’y avait qu’à les voir pour savoir que ces fiches étaient plus âgées que nous. Donc il n’y avait pas d’actualisation des cours. Si vous n’avez pas fait vos propres recherches, vous allez vous contenter du minimum qui vous est donné. Or, on sait très bien que jamais, nulle part au monde tout le monde n’aura les moyens de le faire, sauf quand demain nous allons arriver au niveau optimal de nos ambitions, avoir des bibliothèques virtuelles digitales, qui permettent à tout un chacun, où qu’il se trouve, parce qu’on développe de plus en plus l’Internet et le GSM, d’avoir accès à ces bases de connaissance, on sait que ce n’est pas évident. De la même façon, vous savez qu’il y a des enseignants que les étudiants ne voient presque jamais. Ils peuvent envoyer des polycopies, et s’ils ont un assistant disponible, il viendra expliquer quelques fois, mais après, plus personne ne le voit, et il va nous évaluer quand-même sur ce qu’il a envoyé. Quand on regarde ça, est-ce que nous devons applaudir et nous dire, non de toutes les façons, l’année se déroule bien …. ? Nous savons que l’être humain, comme le dit le chef de l’État, il l’a dit lors de l’installation du Conseil national de l’éducation, l’être humain, c’est le premier matériau de toutes les épopées. On veut faire de grandes choses, il nous faut des ressources humaines de qualité. Nous aspirons à un Bénin moderne, nous mettons en place aujourd’hui des infrastructures ou des mégastructures qui demain ont besoin de profils affinés. Des gens qui, quand ils interviennent le fassent avec autorité, et qu’on dise oui, c’est parce qu’ils ont un profil bien adulé, pointu. Si on ne fait rien, et qu’on laisse faire ce qui est en cours, on aurait échoué quelque part. Voilà pourquoi, déjà au cours du premier mandat, le chef de l’État a dit, notre diagnostic doit aller jusque là. Et vous vous doutez bien que si le travail a commencé avant, parce que le nouveau mandat a commencé il y a à peine 2 mois, ça veut dire que c’était déjà en cours et la particularité c’est que la commission qui a travaillé, est composée essentiellement d’acteurs du secteur. C’était moins des politiques que des acteurs eux-mêmes. Et on leur a dit, voilà les constats, voilà ce que disent nos enfants, voilà ce que disent vos étudiants, allez faire le diagnostic vous-mêmes, nous, voilà nos idées, vous regardez ça, vous posez les problématiques, mais vraiment sans phare et n’ayez peur de toucher à aucune considération, et donc il faut aller travailler. Ils ont déposé un rapport au gouvernement, qui a regardé et qui s’est dit, bien globalement, toutes les options sont couvertes ou prises en compte. Maintenant, parce que nous avons commencé par dire, en tenant compte aussi de vos critiques, je veux dire les critiques de la presse qui, sous le premier mandat, a vu que le président était parfois trop pressé, le gouvernement était trop pressé, qu’on a été peu collaboratif, ou inclusif. Mais j’aime à rappeler qu’entre 2016 et fin 2020, nous étions dans la perspective d’un mandat unique et nous savions que le temps ne nous attendait pas. Cela a pu justifier certains choix de célérité pour aussi l’efficacité. Et nous sommes sortis de ça. Donc en tenant compte de ces critiques qui veulent qu’on améliore la pratique, on a dit, ça doit être participatif, inclusif. D’où le séminaire du samedi dernier, et si vous avez été attentifs, même des syndicalistes, des gens qui ne partagent pas la foi du gouvernement, ont été invités, mais on n’a pas pu inviter tout le monde. En dehors des officiels, les universités ont délégué leurs représentants, ça été un débat très riche, donc, voilà les raisons qui fondent l’activité et le diagnostic. Il était important pour nous, d’envisager l’université béninoise, publique notamment, sous de nouveaux jours, afin qu’elle soit de plus en plus efficace dans la formation de nos enfants.

Il est question d’adoption du statut particulier des enseignants du supérieur des universités publiques du Bénin. Quand on sait que depuis 2016, il y a des réformes qui s’opèrent et vous l’avez mentionné tantôt, en disant que ce sont les acteurs du secteur eux-mêmes qui ont travaillé dans la commission et déposé le rapport, une chose est de travailler, une autre est de déposer le rapport, l’autre chose également, c’est que le gouvernement prenne en compte les propositions qui lui seraient soumises. Quand on parle de statut particulier, à quoi doivent s’attendre ces enseignants du supérieur ?

Les enseignants du supérieur connaissent ces statuts, parce qu’ils ont été présentés à l’occasion du séminaire. Ils ont fait l’objet de débat et d’amendement. En réalité, c’est pour cela que je mets l’accent sur le côté participatif. Et la célérité que vous avez notée, vous renseigne davantage de ce que c’est un chantier qui était ouvert, mais aussi, du souci du gouvernement d’impacter ce secteur. Tout avait été préparé sur la base des conclusions de la commission qui a travaillé sur la réforme. Donc le projet de décret type, le projet de statut particulier étaient déjà élaborés et tous ces textes ont été également étudiés le samedi, les amendements ont été recueillis. Donc ils le savent, ils savent par exemple, les enseignants du supérieur, que désormais, il va y avoir un organe d’éthique pour apprécier, au-delà de l’aspect académique, l’aspect moral éthique du comportement des enseignants sur le campus, il sait qu’il peut être évalué, que les étudiants peuvent être interrogés pour dire, est-ce qu’il est fréquent à son cours ? Quand il vient en cours, est-ce que, si vous avez trois heures de cours, est-ce qu’il dispense les cours pendant trois heures, ou il fait 30mn et puis s’en va? Est-ce qu’il vous évalue sur la base de ce qu’il vous a appris ? Les enseignants, ils le savent. Ils savent aussi désormais quels sont les critères pour évoluer dans les grades. Est-ce qu’on va passer un grade au Cames et quand on revient, automatiquement c’est qu’il est en place ? Ils savent que ce n’est pas l’option première désormais, parce que le Cames n’interdit à aucun État, d’avoir ses mécanismes propres d’évaluation et de promotion des enseignants. Donc quels sont les critères pour accéder à tel grade, ou à tel autre grade? Tout cela est précisé dans le texte et encore une fois, ils ont eu accès à ce texte, ils les ont étudiés et si on les a adoptés, c’est forcément parce qu’on a leur onction sur la qualité des textes qui ont été proposés et étudiés.

Du point de vue salaire, est-ce que certains avantages ne seraient pas perdus ?

Non, on n’a pas touché à leur niveau de rémunération pour le réduire. On sait très bien qu’un effort avait été fait par le régime passé, pour relever tant soit peu, le niveau de rémunération des enseignants du supérieur. Le gouvernement n’a pas pensé à toucher à cela. Donc c’est maintenu à tout le moins. Après ce que nous faisons, c’est être rationnel et le plus efficace possible, dans la gestion des finances publiques, sachant très bien que tous les secteurs aujourd’hui nécessitent de gros investissements. Donc comment on fait pour qu’on ne dépense pas plus ici qu’il n’en faut et que l’on économise au service d’autres secteurs où les Béninois attendent autant d’investissements, autant de résultats pour autant d’efficacité.

En matière de construction d’infrastructures au niveau supérieur, qu’est-ce qui sera fait pour les étudiants ?

Autant nous avons fait dans le primaire 6000 salles de classe entre 2016 et avril 2021, conformément aux prévisions du gouvernement, sur financement direct du budget national et accompagnement des partenaires techniques et financiers, autant nous avons recruté 30 000 enseignants, ceux qu’on appelle les aspirants, primaire et secondaire confondus, pour atteindre l’idéal d’une salle de classe/un enseignant, autant nous avons fait des réalisations dans le supérieur, certainement qui ne sont pas de la même envergure que ce qui a été fait au primaire et au secondaire, mais nous avons de mémoire, si vous vous souvenez de la reddition de compte, nous avons amélioré le ratio nombre d’étudiants nombre de places assises, nous l’avons amélioré. On n’a pas fait des amphis de 5000 places ou de 3000 places, mais on a fait quelques salles, quelques amphis, quelques infrastructures administratives aussi, pour améliorer les pratiques sur nos campus, et maintenant que nous entrons, on peut dire dans une phase structurelle de la façon dont nous voyons et appréhendons l’enseignement supérieur, sans aucun doute que la politique infrastructurelle va également suivre. Et donc, une nouvelle dynamique va s’instaurer en ce qui concerne l’enseignement supérieur. Parce que nous considérons l’enseignement supérieur comme une entité particulière, un regard nouveau va être porté là-dessus. Améliorer les conditions de travail de l’enseignant suppose aussi la mise en place de toutes mesures nouvelles de toutes infrastructures modernes, qui facilitent la vie à l’enseignant. Parce que, au tant on veut des performances de lui, autant nous avons le devoir de créer les conditions pour qu’il puisse donner le meilleur de lui-même. Moi je peux vous assurer que Patrice Talon, c’est celui qui veut être tout le temps, à la limite de l’impossible, repousser le plus loin possible les limites de l’impossible. Donc tout ce que l’on peut faire, moderniser nos pratiques moderniser le pays, il n’en ferait pas l’économie, tant que c’est justifié et il voit que les coûts sont contenus dans la masse raisonnable qu’il faut, qu’il n’y a pas d’exagération, et quand il y a des exagérations, il sait rétorquer, taper dessus et renvoyer les copies. Et on a mis en place un comité de suivi justement, ça c’est une donnée fondamentale, parce qu’on ne veut pas que les recommandations dorment, il y a un comité de suivi qui est composé aussi bien de représentants du gouvernement que de représentants des universités publiques, mais aussi on a envisagé et si possible, d’avoir même des acteurs du privé qui seraient à l’intérieur de ce comité, pour suivre, alerter et dire, sur telle recommandation on est en retard, sur tel autre on est dans le timing, il faut réorienter telle autre de telle façon, ce comité fera ce travail de veille.

En ce qui concerne les mesures de sécurité, où en est le gouvernement sur le campus d’Abomey-Calavi?

Une des recommandations a été de revisiter les franchises universitaires, sans aller jusqu’à dire qu’il n’y a plus de franchise universitaire non, parce qu’on considère le monde universitaire comme un monde particulier, la question des franchises doit être regardée de près, pour améliorer les conditions de sécurité sur les campus. Je vous rassure que sur les années à venir, les efforts qui vont être faits, concerneront aussi la façon de garantir la sécurité des apprenants comme des enseignants et même des infrastructures sur nos campus.

La réforme engagée au niveau des examens nationaux de licence et de master, est-ce que vous avez l’impression que cette réforme prend et qu’on n’est pas dans une spirale ? Est-ce qu’un jour, les universités privées seront à même de délivrer leurs diplômes ?

La mesure du gouvernement, c’est une mesure d’ordre social d’abord pour dire aux parents qu’ils n’ont pas investi inutilement sur leurs enfants. Mais ensuite pour dire aux enfants, vous devez avoir les mêmes chances que les autres enfants du Bénin inscrits dans les écoles publiques. Parce que, pourquoi il y a des écoles privées ? L’État nulle part au monde ne peut créer suffisamment d’écoles pour engager tous les enfants qui doivent aller à l’école. Mais une chose est d’autoriser les privés, l’autre est que ces privés remplissent les conditions comme ailleurs, pour aller au bout du processus et la fin de ce processus, c’est l’homologation qui leur permet de délivrer les diplômes. Il s’est fait que jusqu’au moment où nous faisions cette réforme, aucune de ces écoles n’avait satisfait à cette norme. Donc par abus, certains délivraient des diplômes aux enfants, mais qui en réalité, n’avaient pas de valeur. Nous avons réformé et nous avons revisité les textes pour aussi observer que parfois, ce n’est pas par manque de volonté, chez d’autres, soit des textes constituaient un blocage, en tout cas n’étaient pas suffisamment facilitateurs du processus pour leur permettre d’y arriver. Mais en attendant, qu’est-ce qu’on fait? En tant que État responsable, et par ailleurs, une raison non moins essentielle au regard de la dynamique que nous essayons d’impulser au pays aujourd’hui, le souci de nous rassurer que chaque détendeur de ce diplôme a un minimum… et vous avez dû noter que des promoteurs et pas des moindres qui étaient contre la mesure, qui ont tout fait même pour la plomber, ont fini par y adhérer en disant qu’on n’avait pas compris, vous avez raison. Ceux qui ont demandé à leurs enfants de boycotter, après c’est eux qui, les premiers, s’empressent de dire aux enfants allez vous inscrire, parce qu’ils se sont rendu compte que c’est pertinent. Et nous avons décidé maintenant de la rendre structurelle. Vous aviez suivi cela, il y a à peu près un an ou six mois, à tout le moins de mémoire, la décision a été prise de rendre cela structurelle. Donc demain, vous pouvez même faire l’université qui a l’homologation qui vous donne son diplôme, et vous décidez vous-mêmes d’aller passer l’examen national comme quiconque. Ça vous garantirait deux cordes à votre arc, pourquoi pas ? Donc c’est une décision responsable que nous avons prise de faire en sorte que nos enfants puissent s’asseoir sur le parchemin qu’ils ont reçu, en étant convaincus qu’il est reconnu aussi bien par l’État que par toutes structures privées d’ici et d’ailleurs. Sur les deux premières années, la réforme était conjoncturelle, maintenant, elle devient structurelle. Vous pouvez demain faire une école qui a l’homologation, qui vous délivre son diplôme et décider encore d’aller faire l’examen national.

Les pourcentages observés au niveau des différents examens de fin d’année ne donnent-ils pas l’impression de résultats politiques ?

Non aucun gouvernement sérieux ne donnerait de résultats politiques, ne demanderait d’augmenter les taux de réussite. Et vous savez très bien que encore moins Patrice Talon ! Il faut juste et avec le recul, nous pouvons tous observer autant vous n’avez plus de parents qui reviennent de l’hôpital public en disant « qu’ils ont refusé de me soigner là bas, parce qu’ils sont en grève. Je suis allé, je suis en travail et des gens qui ont prêté serment ont refusé de me prendre en charge », autant vous n’avez plus ça, autant vous ne voyez plus en plein midi ou à 10h, à 16h, des enfants en kaki, en train de se promener parce que les enseignants sont en grève. Parce qu’ils sont de plus en plus présents à leurs responsabilités, parce que les enfants ont les conditions pour être en classe, les résultats s’améliorent. Et ça, il faut s’en féliciter et remercier ceux qui ont fait cela et les encourager à continuer davantage.

Nous avons compris que la réforme concernant l’organisation des examens nationaux en licence et master est désormais structurelle, je voudrais savoir, concernant la nomination des doyens, vice-doyens et du recteur…est-ce que cette mesure est également structurelle ?

Bien-sûr, la commission qui a travaillé a regardé la gouvernance des universités, et on sait très bien que ce n’est pas forcément qu’on est élu, qu’on est le plus performant dans la gestion. On doit être d’accord là-dessus. Toute polémique mise à part, intellectuellement, nous pouvons être d’accord là dessus. Donc la commission a déjà fait des propositions allant dans ce sens et les acteurs qui sont venus, ont considéré oui, l’expérience de la démocratisation de la désignation des dirigeants n’est pas plus concluante que ce qui avait prévalu avant, et donc ça peut devenir structurelle à nouveau. Selon la commission, la gouvernance des universités et l’expérience de la démocratisation de la désignation des dirigeants n’est pas plus concluante que ce qui avait prévalu avant. Le gouvernement garde donc la main et nomme les dirigeants qu’il responsabilise davantage dorénavant.

Qu’est-ce qui est prévu concernant les œuvres sociales ?

À ce niveau, nous avons en souci de faire mieux. Les étudiants diraient qu’on n’a pas fait beaucoup pour eux sur le plan des œuvres universitaires, en dehors d’assurer la bancarisation des bourses et secours, de faire l’effort de les payer en même temps qu’on mandate les salaires, ils peuvent dire qu’il n’y a pas beaucoup de bus, c’est vrai. Nous avons commis une étude, un cabinet pour voir comment nous externalisons certaines prestations, sans pour autant impacter le coup au détriment des étudiants.



Propos transcris par

Thomas AZANMASSO
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