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Discours du président de la République sur l’Etat de la Nation : Boni Yayi sacrifie à la tradition vendredi, des menaces de boycott en vue
Publié le mardi 24 decembre 2013   |  L`événement Précis


Conseil
© Autre presse par Presidence
Conseil de l`entente: réunion des chefs d`Etat et de gouvernement à Niamey.
Mardi 17 Décembre 2013, à Niamey (Niger). Tenue de la 2 ème session ordinaire de Conférence au sommet des Chefs d`Etat et de Gouvernement du Conseil de l`Entente. Photo : Le president Boni Yayi.


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Pour la troisième fois depuis sa réélection en 2011, le président de la République Thomas Boni Yayi sacrifiera à la tradition imposée par la constitution du 11 décembre 1990 le vendredi 27 décembre prochain. Selon un communiqué radiodiffusé signé du président de l’Assemblée nationale, Mathurin Coffi Nago, le chef de l’Etat est attendu au parlement pour présenter devant la représentation nationale son message sur l’état de la nation.

Au regard du climat de tension continue qui prévaut actuellement dans le pays avec les grèves perlées dans les secteurs de la santé et de la justice, la crise politique marquée récemment par le rejet du projet de budget général de l’Etat, gestion 2014, ce discours du chef de l’Etat est vivement attendu. En effet, beaucoup d’observateurs de la vie politique nationale espèrent voir à travers ce message du chef de l’Etat les réponses du gouvernement à tout ce qui se passe aujourd’hui dans le pays. Rendez-vous est donc pris pour ce vendredi pour savoir si cette attente sera comblée ou non.

Déjà des menaces de boycott
Certains députés menacent de boycotter la séance. Selon des indiscrétions, ils sont plusieurs parlementaires aussi bien de la mouvance que de l’opposition à avoir annoncé les couleurs de ce boycott. Toujours selon ces mêmes indiscrétions, les députés frondeurs considèrent cette obligation constitutionnelle du chef de l’Etat comme un exercice inutile, car selon eux, les engagements et promesses souvent faits par le président Boni Yayi dans ses messages sur l’état de la nation ne sont souvent pas respectés. C’est donc fort de ces arguments que ces menaces de boycott fusent.

Hugues E. PATINVOH

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