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RDC, Mali, Tchad, Burkina… ces crises africaines qui préoccupent l’OIF

Publié le jeudi 24 novembre 2022  |  RFI
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© aCotonou.com par DR
RDC, Mali, Tchad, Burkina… ces crises africaines qui préoccupent l’OIF
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C’est un document que l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) souhaite pour l’instant garder confidentiel : la Résolution sur les situations de crise, de sortie de crise et de consolidation de la paix dans l’espace francophone. Le texte a été adopté à l’issue du 18ᵉ Sommet de la Francophonie, organisé les 19 et 20 novembre à Djerba en Tunisie, en présence des chefs d’État et de gouvernement des États-membres. En exclusivité pour RFI, Clémentine Pawlotsky, du service Afrique, a pu consulter ce document de 7 pages. Il y est question des différentes crises et conflits qui préoccupent la Francophonie, notamment sur le continent africain. Compte rendu.


Parmi les théâtres de crise évoqués dans ce document : l’Est de la République démocratique du Congo. Les États-membres de la Francophonie condamnent « la recrudescence des violences commises contre les civils, les institutions et la Monusco… par le M23… et les nombreux groupes armés qui y demeurent actifs depuis plusieurs années ». Ils condamnent également « avec force tout soutien apporté à ces groupes », sans toutefois mentionner aucune entité ou pays, et rappellent que ces violences « affectent en premier lieu les femmes et les enfants ».


L'OIF pointe entre autres la responsabilité des FAMa au Mali
Autre pays qui préoccupe la Francophonie : le Mali, sujet à deux coups d’État condamnés par l’OIF, celui du 18 août 2020 et celui du 24 mai 2021. Les États-membres se disent préoccupés « face à la détérioration rapide de la situation sécuritaire ». Ils pointent une « hausse significative des violations et atteintes aux droits de l’Homme » et déplorent « la multiplication des exactions commises à l’encontre des populations civiles par tous les groupes et forces armés en présence, notamment par les groupes extrémistes armés et par les forces de défense et de sécurité maliennes accompagnées de personnel militaire étranger », le tout dans un contexte d’ « impunité persistante ».
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