Migration de l’analogique vers le numérique dans les pays de l’Uemoa : les retombées du management de Yayi #aCotonou

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Migration de l’analogique vers le numérique dans les pays de l’Uemoa : les retombées du management de Yayi

Publié le lundi 20 janvier 2014 | Fraternité

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Premier Forum sur le Développement Rural en Afrique
Jeudi 02 Mai 2013, Cotonou. Le Président Béninois Boni Yayi lance le Forum sur le Développement Rural en Afrique

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Une ligne de crédit est ouverte pour chacun des huit (08) pays membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) par la commission et les institutions financières de l’union.

Cette décision consacre la suite favorable donnée à une requête portée à l’examen du Président de la Commission de l’Uemoa, Cheikh Hadjibou Soumaré, du Président de la Banque ouest africaine de développement (Boad), Christian Adovèlandé et de plusieurs autres commissaires et responsables d’institutions ou d’organes spécialisés de l’Uemoa.

En effet, le Président de la République du Bénin, Boni Yayi, les a réunis le mercredi 08 janvier dernier à Cotonou dans le cadre de l’élaboration de la feuille de route de son mandat de Président en exercice de la conférence des Présidents de l’union, apprend-on de sources proches des commissions nationales en charge de la migration de l’analogique vers le numérique de plusieurs pays de l’espace Uemoa.

Dès l’annonce de cette heureuse nouvelle, les commissions nationales créées par les différents Etats membres ont été respectivement mis au travail pour accélérer le processus de l’évaluation financière de la conduite de l’opération dont tous les Etats jusqu’ici redoutaient le financement. Selon la taille du territoire et de la population par pays, cette opération devrait coûter des montants que ne pourrait mobiliser aucun Etat sans recourir à des mécanismes de mobilisation de ressources aux conséquences aussi variées que leur nature.
Ce problème est désormais réglé par cette anticipation du Président de la République du Bénin, Président en exercice de la conférence des présidents de l’Uemoa.

Il est d’ailleurs prévu, toujours sous le leadership du Bénin, une réunion au siège de la Commission de l’Uemoa à Ouagadougou au Burkina-Faso début février au profit des ministres en charge de l’information, de la communication, des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication aux fins de la concrétisation de cet accord de financement qui, à en croire beaucoup d’entre eux est un « grand soulagement ».
En effet, la migration de l’analogique vers le numérique est une grande révolution à laquelle aucune Nation au monde ne pourra se soustraire dans le domaine de l’audiovisuel.

Richard AYODE (Coll particulière)

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