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Adjinakou N° 2190 du 22/3/2013

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Grogne au Chd-Op : Grogne au Chd-Op
Publié le vendredi 22 mars 2013   |  Adjinakou


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Le Centre Hospitalier Départementale Ouémé-Plateau (Chd-Op)


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Les agents de santé du Chd-Op qui observent une grève de 72 heures depuis trois semaines pour réclamer la libération de leur secrétaire général Michel Houémagnon viennent de bénéficier du soutien des agents en service dans les autres hôpitaux du département.

Une grève d'avertissement de 48 heures à compter de ce mardi 26 Mars, c'est la décision prise ce jeudi 21 Mars par le collectif des syndicats du secteur de la santé au niveau des départements de l'Ouémé et du Plateau à la salle de conférence de la direction départementale de la santé de cette zone. Le préavis de grève du collectif de ces syndicats adressé à Clément Ahissou, directeur départemental de la santé de l'Ouémé et du Plateau depuis le 14 Mars dernier qui n'accordait qu'une semaine de trêve à l' autorité n'a visiblement rien apporté pour panser les blessures. Michel Houémagnon, toujours gardé derrière les barreaux de la prison civile de Porto-Novo, suscite la réaction de la dizaine des syndicats signataires d'une nouvelle motion de grève. Composé entre autres du SYNTRASESH Ouémé de Florent Dofonsouhou, le SYNIISS-OP de Laurent Lovi, le SYNTRAS-RCE Plateau de Toussaint Wanèédou, le SYNTRACO-CHD O/P de Nicole Carlos, le SIIDE O/P de Sabikhat Sanni, ce collectif vient de mettre en branle la dernière artillerie syndicale pour avoir gain de cause. Dès le mardi prochain donc, tous les hôpitaux et centres de santé installés dans ces deux départements vont fermer leurs portes sans service minimum pendant 48 heures pour exiger la libération de Michel Houémagnon secrétaire général du SYNTRACO-CHD O/P arbitrairement mis aux arrêts selon les syndicats. Voilà qui relance le débat autour de ce dossier qui, de jour en jour affecte l'ambiance de travail entre autorités et employés du secteur de la santé et encourage la psychose des malades. Une situation qui doit ramener les deux camps à la table de négociation avant que le pire ne survienne.

Charles Honvoh

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