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Le Matinal N° 4286 du 11/2/2014

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Presse béninoise : bilan des états généraux de 2002 et perspectives pour les prochaines assises
Publié le mercredi 12 fevrier 2014   |  Le Matinal




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« La presse béninoise est malade. Tout le monde en parle. Mais personne ne se préoccupe des approches de solutions. Tout se passe comme si le simple fait de répéter que les journalistes béninois sont corrompus, qu’il n’y a pas d’entreprises de presse au Bénin suffirait à endiguer le mal ».


C’est par ces déclarations que Agapit Napoléon Maforikan justifiait la tenue des états généraux de la presse béninoise en 2002. A l’issue des réflexions, plusieurs résolutions ont été prises pour corriger les imperfections qui minent cette corporation. Nous voici près de douze (12) ans après ces assises.

Quel bilan peut-on faire des chantiers définis ? Qui sont responsables des maux qui minent encore le métier de journalisme au Bénin et que peut-on attendre de la deuxième rencontre historique qui s’ouvre mercredi 19 février 2014 ? Eléments de réponse dans ce dossier qui donne la parole aux journalistes, promoteurs et même des acteurs politiques.

Assises de tous les espoirs ?
Peut-on déjà se frotter les mains ? La nouvelle génération se pose des questions. Aux termes des prochains états généraux, même s’ils ne le disent pas à haute voix, les jeunes poussent leurs ambitions. Et tout le monde attend de voir si les décisions à prendre iraient en leur faveur. La question se pose puisque parmi les chantiers définis en 2002, des aspects concernaient indirectement la main d’œuvre (la jeune génération).

Malheureusement, ces points tels que la convention collective, la centrale d’achats des intrants et même la messagerie moderne de distribution n’ont pu être évacués. Aujourd’hui, il y a eu de nouvelles recrues et ce sont elles qui devront mettre en œuvre les prochaines recommandations.

C’est la nouvelle génération qui, sans nul doute, va achever aux côtés des aînés, les chantiers restants. En clair, la succession va s’imposer, mais pas sans le soutien et l’accord de ceux qui, à ce jour, demeurent les maîtres du jeu.

L’idéal est qu’à la fin des conclusions, l’on retient que des recommandations sont formulées pour plus d’amélioration des conditions de vie et de travail. Désormais, et donc, à partir des semaines à venir, on doit avoir envi de faire carrière dans la presse et ne plus continuer à vivre dans l’incertitude, quand on est acteur des médias. Comme le dit souvent l’autre, les nouveaux chantiers doivent exiger « la prospérité partagée ».

Pour les jeunes du métier et surtout qui sortent d’école, le souhait est de constater plus de réformes dans la presse béninoise afin que l’exercice de ce métier inspire. Le respect des recommandations de la part de toutes les parties concernées donnerait plus de garanties à la couche qui se prépare pour la relève.

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