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Le politico-religieux musulman extrémiste, une menace pour le Cameroun d’aujourd’hui
Publié le samedi 23 mars 2013   |  AfricaPresse.com


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© Autre presse par DR
Dr Mathieu MBARGA-ABEGA, journaliste politique et écrivain à l’International


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Le politico-religieux musulman s’installe peu à peu au Cameroun, par le biais de la présence musulmane et de sa culture dominante et dogmatique. Ce politico-religieux musulman représente aujourd’hui une réelle menace pour le Cameroun et ce, contrairement aux discours officiels des autorités camerounaises qui, pour l’instant, minimisent ce fait historique. Pourtant, les autorités camerounaises doivent en urgence prendre les mesures qui s’imposent : exiger que le ministère de la défense s’occupe véritablement de la sécurité des biens et des personnes, que l’Etat introduise dans le civisme des nouvelles valeurs d’unité nationale, afin qu’il ait un parfait équilibre entre les confessions, familles de croyances en augmentation au Cameroun depuis plus de dix ans. Si tel n’était pas le cas, les populations camerounaises s’enfermeraient peu à peu dans le piège de l’esclavage, qui leur est tendu par les promoteurs du djihad international, dont les noms changent selon les pays : Boko Haram, au Nigeria, Agmi et Al-Qaïda, leurs labels internationaux. Que les autorités camerounaises ne s’y trompent guère, le Cameroun d’aujourd’hui se transforme chaque jour, devenant peu à peu un pays où la présence musulmane se renforce. C’est pourquoi le Cameroun est aujourd’hui menacé par le politico-religieux musulman, et ce, au moins pour les trente prochaines années, parce que les Boko Haram, Agmi, Al-Qaïda, ces criminels sont aux frontières et comptent bien y rester le temps d’être en mesure d’envahir ce pays le plus vite possible. Autrement dit, un pays où il y a une présence musulmane forte est à long terme en danger de déstabilisation. La menace que connaît le Cameroun aujourd’hui concerne le monde entier, parce que l’ambition des promoteurs du politico-religieux musulman, qu’ils s’appellent Boko Harma, Agmi ou Al-Qaïda, c’est d’imposer au monde la présence musulmane, sa culture dominante et dogmatique. Les promoteurs du politico-religieux musulman aiment le sang, ils égorgent à la moindre occasion leurs victimes, qu’elles soient de confession musulmane ou non, s’ils ont la possibilité de le faire, ainsi va la vie dans leur monde. La menace que représente aujourd’hui le politico-religieux musulman mondial, par ses représentants déjà présents au Nigeria, au Mali, bientôt au Cameroun et en Afrique centrale est insupportable. Cette menace connue des grandes puissances doit inciter celles-ci à sortir immédiatement de leur mutisme et de leur hypocrisie complice face à cette terrible menace. Ces grandes puissances doivent sans plus tarder barrer la route aux extrémistes, radicaux, fanatiques et à leurs promoteurs, qui veulent imposer leurs croyances, la fin programmée du monde libre. C’est pourquoi, les extrémistes, radicaux, fanatiques et leurs promoteurs encerclent aujourd’hui et par tous les moyens les pays africains encore fragiles, afin de mieux les absorber et de faire des Africains leurs esclaves. Le Cameroun est entouré de pays qui connaissent une instabilité politique, c’est le cas de la Centrafrique et du Nigeria. Ce dernier abrite les groupes extrémistes radicaux qui veulent imposer le djihad international dans leur pays, avant de l’exporter au Cameroun. Le Nigeria avec ses groupes radicaux, d’un côté, la Centrafrique qui cherche la paix intérieure et le Tchad qui se remet peu à peu d’une longue période de guerre civile, de l’autre côté constituent une menace extrêmement préoccupante pour le Cameroun, qui est encore un havre de paix, mais pour combien de temps ?

En 2013, dans notre société en crise économique, politique et en perte de valeurs morales et de solidarité, les groupes extrémistes radicaux tentent de déstabiliser leurs pays en imposant le djihad international, la loi islamique, à leurs frères et sœurs, comme on le voit aujourd’hui au Mali, au Nigeria et peu importe que le pays soit totalement de confession musulmane.

La colonisation des Noirs africains par le mensonge et des cadeaux

La présence musulmane s’impose par le mensonge et des cadeaux, de manière subtile et en plusieurs étapes en Afrique subsaharienne. Il s’agit de conquérir les populations africaines qu’elles soient de confession musulmane ou non et d’en faire leurs esclaves, un vieux rêve des conquérants musulmans. Leur mode opératoire pour la tentative de la conquête des pays africains est la suivante :

- un haut responsable de confession musulmane sollicite l’autorisation de construire une mosquée auprès du responsable politique d’un pays africain,

- une fois l’autorisation accordée, contre toute attente, d’autres mosquées verront le jour dans le pays, première étape de ce qui va devenir une deuxième colonisation en terre africaine, avec de lourdes conséquences pour les populations locales, comme on le voit aujourd’hui au Mali. Les extrémistes musulmans détruisent la culture d’origine des habitants du pays,

- pendant que les mosquées poussent comme des champignons dans le pays à conquérir, sans qu’on sache d’où viennent les financements, le responsable de confession musulmane et son équipe recrutent massivement leurs futurs clients, avec des phrases qui ont une charge émotive imparable pour les populations africaines assoiffées de connaissances et écrasées par la pauvreté : « il faut bien éduquer la femme musulmane et ses enfants », sous-entendu que les responsables politiques du pays ne feraient rien pour les populations, que les responsables de confession chrétienne, juive, seraient des mécréants, qui boivent de l’alcool et pratiquent la fornication, ou encore « les Noirs sont nos frères », parce qu’ils sont de confession musulmane ou en train de le devenir. » Ces phrases mielleuses enrobées de mensonges et de cadeaux, les Africains de toutes classes sociales en raffolent. Les Maliens ont cru à ces phrases mielleuses de leurs « frères de confession musulmane ». Aujourd’hui, ils le regrettent amèrement. Le Mali, pays de l’Afrique de l’Ouest, est à ce jour divisé et pour longtemps, à cause du politico-religieux de ses « frères » de confession musulmane qui font la promotion de leur religion tout en prônant le djihad international. Le drame que connaît le Mali, d’autres pays le connaîtront tôt au tard, si les grandes puissances ne combattent pas de suite l’extrémisme qui prolifère dans notre société. L’objectif affiché par les fanatiques musulmans et leurs protecteurs-sponsors est de faire en sorte que les populations du monde entier deviennent par la force musulmanes, ainsi, ils imposeront de manière totale le djihad international conforme à leur passion mortifère de détruire ce qui fait la dignité de l’homme, créature de Dieu. Un Dieu dont ces extrémistes se réclament. Pourtant sous l’emprise d’alcool et de drogues censés donner du courage, ces extrémistes amputent les mains, les jambes, les oreilles et pratiquent les exécutions publiques de « leurs frères et sœurs » dans les stades pleins de monde. Fini le temps des phrases mielleuses enrobées de mensonges et de cadeaux aux « frères et sœurs», c’était hier mais à présent place à l’esclavage des Noirs sur leur continent,

- les nouveaux recrutés Africains reçoivent un enseignement où il est difficile de distinguer ce qui appartient au Coran authentique, à la sorcellerie ou au goût du sang. Les nouveaux recrutés sont contraints de changer de look. Ils laissent pousser barbe et moustache, s’habillent en gandoura et chéchia et gardent le chapelet à toute heure en main. Au Cameroun où la présence musulmane, par sa culture dominante et dogmatique, est en constante augmentation depuis plus de dix ans, on assiste à des comportements inédits des nouveaux musulmans, ainsi le nouveau recruté porte un nom moitié musulman, moitié celui de sa communauté d’origine, par exemple, Essomba, nom des Nobles Beti, du centre du Cameroun, devient Essomba Mohamed ou Atangana Moussa, les pauvres !

- l’opération de séduction des responsables musulmans va s’intensifier dans le pays à conquérir, devenant un argumentaire de propagande au nom de la religion. Il s’agit de s’installer définitivement dans le pays et de flatter fortement les Noirs naïfs et soumis, en leur offrant dans un premier temps des cadeaux, des bonbons et des biscuits pour les enfants, du riz, de la viande, des habits et de l’électroménager pour les adultes. Après tout, pourquoi interdire aux responsables musulmans, conquérants du monde d’aujourd’hui, ce que les responsables de l’église chrétienne ont fait pour pratiquer la traite négrière et la colonisation ? C’était hier, mais aujourd’hui, la colonisation économique continue en Afrique noire et a un bel avenir devant elle, puisque les dirigeants africains n’imposent pas aux grandes puissances les nouvelles règles de coopération pour le développement de l’Afrique.

SALIR L’ISLAM ET LA RELIGION

On le sait, les responsables radicaux, fanatiques, en utilisant la religion musulmane comme un moyen pour coloniser les pays africains non musulmans et les pays d’Afrique noire en particulier, salissent l’Islam et la religion. C’est une opinion qui est largement partagée par les vrais musulmans du monde. Et peu importe la colère de certaines personnes de confession musulmane contre l’amalgame qui est souvent fait entre musulmans extrémistes et la majorité des vrais musulmans. Cependant cette majorité ne répond pas aux questions qui leur sont posées : qui finance la construction des mosquées à travers le monde et l’exportation de la présence musulmane ?

Pourquoi les hauts responsables de la religion musulmane n’excluent-ils pas et ne punissent‑ils pas sévèrement « leurs frères », devenus extrémistes, radicaux et fanatiques ? Ces questions d’une extrême gravité qui demeurent depuis des décennies sans réponse de la part de ces hauts responsables font croire à l’opinion internationale que ces derniers sont de connivence avec le comportement assassin de leurs frères extrémistes. Dans ces conditions, les hauts responsables musulmans ne peuvent pas indéfiniment empêcher l’opinion publique internationale de faire le lien entre la religion musulmane et les extrémistes radicaux. Leur argument est que ce n’est pas parce qu’on a dans sa famille religieuse, en l’occurrence musulmane, un fou ou un malade, que ce dernier cesse d’être membre de celle-ci. Après cela, allez parler de la paix qui serait garantie dans le monde d’aujourd’hui par les grandes puissances qui laissent pourtant les religions devenir maîtres du monde. Après cela, allez parler de l’emballement politico-médiatique contre le politico-religieux qui fait la promotion du djihad international dans le monde. Souvenons-nous, les extrémistes radicaux, fanatiques et leurs promoteurs, tentent, par tous les moyens depuis des années, d’imposer le djihad international dans notre société. Souvenons-nous, à ce jour que la situation ne fait qu’empirer, c’est tout simplement devenu invivable pour les chrétiens et les juifs, parce que le problème de fond, celui de la colonisation du monde par la présence musulmane et sa culture dominante et dogmatique, n’est pas encore réglé. Et c’est notre travail de journalistes de le dire, avec le risque d’être accusé de jeter de l’huile sur le feu et de participer à l’emballement.

Dr Mathieu MBARGA-ABEGA, journaliste politique et écrivain à l’International

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