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Amoros a montré ses limites
Publié le jeudi 28 mars 2013   |  Le Matinal




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Il est clair qu’il serait injuste de dédouaner le sélectionneur national alors qu’il était le maître à bord lors de ce naufrage algérien. Manuel Amoros doit maintenant assumer ses errements sur le plan tactique, ses choix douteux et son incapacité à sortir une équipe compétitive. Comment peut-on comprendre qu’il ait laissé Mènessou et Salomon faire tout le match ? Comment peut-il justifier la titularisation de joueurs en manque de temps de jeu dans leurs clubs ?


Pourquoi s’en prend-il à l’arbitrage si son équipe est clairement passée à côté du match ? Des interrogations qui amènent à croire que Amoros est encore assez limité pour coacher les Ecureuils. Son manque d’expérience ne le sert pas du tout. Et on comprend pourquoi depuis la fin de sa carrière en 1996, il n’a pu entraîner. A l’opposé, ses amis en équipe de France dans les années 1980, Joël Bats, Philippe Bergeroo, Luis Fernandez, Alain Giresse, Michel Platini, ou encore Jean Tigana…, ont eu le temps de faire leur preuve. Amoros, lui, n’y a pas pensé. C’est maintenant qu’il est à l’apprentissage. Avec les Ecureuils du Bénin. Et quand il gagne le Mali, il pense avoir gagné la Coupe du monde. Il a peut-être rempli la mission qui lui est assignée : gagner le Mali. La suite, il peut échouer dans la course à la Can 2013 et à la Coupe du monde 2014.

A quoi sert Nicolas Philibert ?

Personne ne lui demandera des comptes. Et son adjoint (Nicolas Philibert) dans tout ça ? Il ne sert sans doute à rien. Il aurait pu apporter son expertise à Amoros s’il était qualifié. Mais il n’est pas aussi armé pour le faire. Le navire était donc conduit par deux personnages limités.
E.A.

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