Depuis un certain temps, la boxe béninoise amorce un nouveau tournent dans son évolution. Ceci, grâce à l’esprit entrepreneurial et managérial d’un homme, Germain MEHINTO. A peine élu, que d’actions positives à son actif ! A peine sortie de l’hibernation, que la boxe béninoise s’affirme dans l’univers athlétique du monde. Elle vient de monter les grandes marches du podium avec son double titre mondial arraché à nos rêves. Cette double victoire sonne le réveil de la discipline mais aussi mobilise plus d’attention que ne lui marchande guère Germain MEHINTO, le nouvel homme fort porté à la tête de la fédération, en succession de Noutaïs Espérant, appelé à faire valoir ses compétences au plus haut niveau.
Cette avancée obtenue est un défi que se propose de sauvegarder et d’entretenir, le nouveau président de fédération béninoise de boxe, Germain MEHINTO. Et déjà, ses toutes premières actions visent la promotion de la discipline, à travers l’organisation du championnat national, celui de la nouvelle ère qui s’ouvre sur la Boxe. Cette option faite, permettra de détecter davantage de talents, d’assurer plus d’encadrement en dotant comme il est de son habitude, les différents clubs d’outils modernes de compétition. Pour Germain MEHINTO, la force de la boxe nationale réside dans cette vision de démocratisation de la discipline.
Ce qui convainc chez cet opérateur économique discret mais très efficace, c’est son engagement, sa disponibilité, son ouverture d’esprit, son écoute permanente et surtout, son soutien incommensurable malgré l’amenuisement des moyens officiels. Qu’il vous souvienne que déjà vice-président, il réussissait à faire organiser des tournois qu’il soutenait à ses frais. Cette volonté affichée de faire développer la Boxe se trouve renforcée par sa position actuelle. Son ascension qui coïncide avec la double victoire mondiale est expressive de la chance et du succès dont il est porteur. Sa mission ainsi amorcée dans l’apothéose, mérite notre soutien total, celui du gouvernement surtout, une mission qui promet.
