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La BAD ouvre les vannes pour doper l’économie de la Guinée, touchée par le virus Ebola
Publié le vendredi 19 septembre 2014   |  Xinhua


Cérémonie
© aCotonou.com par Didier ASSOUMOU
Cérémonie d`ouverture de la réunion du Conseil d`Administration de la BAD, en présence du premier ministre ivoirien
Lundi 08 septembre 2014. Abidjan. Le premier ministre, Daniel Kablan Duncan et plusieurs membres du gouvernement ont assisté à la première réunion du Conseil d`Administration de la Banque Africaine de Développement (BAD), marquant le retour de l`institution en Côte d`ivoire. photo: Donald Kaberuka, Président de la Banque Africaine de Développement (BAD)


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La Banque africaine de développement (BAD) vient d'accorder "un appui budgétaire de 18 millions de dollars EU à la Guinée pour soutenir les conditions d' une croissance inclusive, à travers le renforcement de la gestion publique et l'amélioration du climat des affaires".

Selon un communiqué publié par la BAD jeudi, cet appui budgétaire servira "à améliorer la gestion des finances publiques et le climat des affaires".

Abou-Sabaa, vice-président de la BAD, en charge de l' agriculture, de l'eau, du développement humain et des ressources naturelles, a promis que son institution fera preuve de célérité dans le décaissement des fonds.

"Les pays de la région ont besoin de ressources financières pour lutter efficacement contre le virus Ebola. Nous avons mobilisé de nombreux fonds pour aider à lutter contre la pandémie. C'est le cas du don de 60 millions de dollars que nous avons fourni à ces pays à travers l'OMS", a-t-il déclaré.

Le communiqué de la BAD précise que le "Programme d'appui aux réformes économiques et financières entend encourager une croissance soutenue et inclusive, en répondant à deux lignes directrices majeures".

Il s'agit d'une part "d'accroître les ressources de l'État pour lui permettre de soutenir la croissance, à travers un programme d' investissements publics axé sur ses priorités de développement, et d'autre part de permettre à l'Etat de d'améliorer les cadres réglementaire et institutionnel, tout comme les conditions de fourniture de l'énergie électrique", souligne l'institution financière

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