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Bénin : les ambitions se déchaînent pour la présidentielle de 2016 (SYNTHESE)
Publié le dimanche 19 octobre 2014   |  Xinhua


Ouverture
© AFP par SEYLLOU
Ouverture de la 17ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d`Etat et de Gouvernement de l`UEMOA
Jeudi 24 octobre 2013. Dakar. Plusieurs chefs d`Etats sont arrivés à Dakar où ils prendront part à la 17ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d`Etat et de Gouvernement de l`UEMOA et au sommet extraordinaire de la CEDEAO.Photo : Boni Yayi, président du BENIN


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A moins de 18 mois de l’ élection présidentielle béninoise, prévue pour mars 2016, certains candidats potentiels dévoilent déjà leur ambition de briguer la magistrature suprême du Bénin, à travers des tournées d’ explications dans les villes et campagnes.
Au nombre de ces potentiels successeurs du président béninois Boni Yayi, on distingue des candidats malheureux aux précédentes élections présidentielles et des nouveaux venus dans l’arène de la course présidentielle.
Lehady Vinangnon Soglo, candidat malheureux au premier tour de la présidentielle de 2006, avec 8,54 % des suffrages exprimés, est le candidat de la Renaissance du Bénin (RB, proche du pouvoir), a annoncé ses ambitions pour la prochaine élection présidentielle.
De même, l’ancien président de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD), Abdoulaye Bio Tchané, après son expérience infructueuse, avec 6,5% des suffrages exprimés au premier tour de la présidentielle de 2011, n’a pas caché ses intentions à briguer la magistrature supême.
Outre ces personnalités, deux généraux des Forces Armées béninoises, admis déjà à faire valoir leur droit à la retraite, se positionnent aussi à la course présidentielle à titre indépendant.
Il s’agit du général Fernand Marcel Amoussou, précédemment chef d’état-major de l’armée béninoise, commandant des forces de l’ONU en Côte d’Ivoire, et du général Robert Gbian, précédemment intendant général au Palais de la République.
Dans les états-majors des partis politiques de l’opposition, notamment au Parti pour le Renouveau démocratique (PRD) du Me Adrien Houngbédji, challenger du président Boni Yayi à la présidentielle de 2011, comme à l’Union Fait la Nation (UN), l’ heure est à la définition des critères en vue de la désignation, dans chaque camp, d’un candidat consensuel pouvant briguer la magistrature suprême du pays.
Au niveau de l’ensemble des mouvements et partis politiques de la mouvance présidentielle, regroupés au sein des Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE), les tractations sont en cours en vue du choix d’un véritable joker pouvant battre tous les autres postulants à la magistrature suprême du pays en vue d’assurer véritablement la succession du président Boni Yayi à la tête du pays.
Selon les dispositions de la Constitution béninoise du 11 décembre 1990, l’élection du président de la République a lieu au scrutin uninominal majoritaire à deux tours.
Le président de la République est élu à la majorité absolue des suffrages exprimés.
Si cette majorité absolue n’est pas obtenue au premier tour du scrutin, il est procédé, dans un délai de quinze jours, à un second tour, indiquent les mêmes dispositions de la loi fondamentale. Ce sont les deux candidats ayant recueilli le plus grand nombre de suffrages au premier tour qui se présentent au second tour de scrutin. F

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