Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Benin    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Sport
Article



 Titrologie



Jeune Afrique N° 2807 du

Voir la Titrologie

  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles



Comment

Sport

Ebola - Football : que faire de la CAN 2015 ? Les professionnels répondent
Publié le vendredi 24 octobre 2014   |  Jeune Afrique


Lutte
© AFP par dr
Lutte contre le virus Ebola
septembre 2014


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Alors que le sort de la CAN 2015 se jouera début novembre, "Jeune Afrique" a demandé aux internautes s’ils souhaitaient que la compétition se dispute au Maroc aux dates prévues, qu’elle soit reportée de quelques mois, organisée dans un autre pays ou annulée. Nous avons demandé à plusieurs acteurs du football africain de s’exprimer. Et leurs avis ne sont pas toujours aussi tranchés que ceux des internautes…
La maintenir au Maroc aux dates prévues (17 janvier-8 février)
C’est le souhait de tous les sélectionneurs consultés, à savoir Claude Le Roy (Congo), Alain Giresse (Sénégal) et Michel Dussuyer (Guinée), dont l’équipe joue ses matchs à domicile à Casablanca. "C’est la solution la plus logique que la CAN ait lieu cet hiver. Le Maroc est un pays bien organisé", explique le premier. "On peut comprendre la réticence des marocains pour des raisons sanitaires", intervient l’ancien attaquant camerounais Patrick Mboma.
"Il y a la question du calendrier international, déjà surchargé", ajoute Alain Giresse.
"À cette date, le Maroc n’est pas touché, il prend des mesures de précautions. Certains disent que le pays ne serait pas prêt au niveau des infrastructures, mais je n’y crois pas", reprend Le Roy.
>> Lire aussi : Sondage : faut-il reporter la CAN 2015, la déplacer ou l'annuler à cause d'Ebola ?
La maintenir au Maroc, mais à une autre date
Ali Fergani, ancien capitaine puis sélectionneur l’Algérie, fait partie de ceux qui pensent que la proposition du Maroc de reporter la CAN répond à une certaine logique. "Les Marocains sont dans leur droit. Ils veulent limiter les risques. Quand il y a un cas d’Ebola aux États-Unis ou en Espagne, où même une simple suspicion en France, c’est le branle bas de combat. Imaginez qu’il y ait un mort au Maroc pendant la CAN… Je pense que la reporter permettrait aux autorités sanitaires de mieux s’organiser. On parle de santé publique, il ne faut pas jouer avec cela, même si le risque zéro n’existe pas", alors que Dussuyer s’interroge "la flexibilité du calendrier de la CAN, qu’il faudrait peut-être envisager, comme on le fait pour la Coupe du Monde 2022."
... suite de l'article sur Jeune Afrique


 Commentaires