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Ils ont dit ...Bruno Amoussou,Léhady Soglo,Abdoulaye Bio Tchané ,Joseph Djogbénou, Valentin Houdé,Philippe Noudjènoumè, Gaston Zossou, Louis Topanou
Publié le vendredi 12 decembre 2014   |  actubenin


Bruno
© Autre presse par DR
Bruno Amoussou, Président de l’alliance Union fait la Nation (Un)


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Bruno Amoussou : « Il faut leur dire non »
« A ceux qui veulent détruire notre pays, nous vous demandons de dire non. A ceux qui veulent tripatouiller notre Constitution, nous vous demandons de leur répondre non. A ceux qui veulent détruire tous les opérateurs économiques de notre pays, nous vous demandons de leur dire non. A tous ceux qui veulent confisquer les libertés, à tous ceux qui veulent détruire ce que le Bénin a de plus cher, nous vous demandons de leur dire non. A ceux qui veulent opposer les communautés et faire venir des troupes, nous vous demandons de leur dire non. A tous ceux qui dans notre pays, ne veulent pas du dialogue et veulent imposer leur monologue et imposer leur seule pensée, nous vous demandons de leur dire non. »


LéhadySoglo : « La démocratie est sérieusement menacée »

« La Renaissance du
Bénin est un parti qui croit profondément en la démocratie et à l’Etat de droit. Or, la démocratie et l’Etat de droit sont sérieusement menacés aujourd’hui. Force est de constater que tout est mis en œuvre pour hypothéquer les prochaines élections dans notre pays. Les principaux protagonistes ce sont le gouvernement et le Cos-Lépi qui n’arrêtent pas de se renvoyer la balle. Nous pensons, à la Renaissance du Bénin qu’il est grand temps que tous les démocrates de ce pays se donnent la main pour parler d’une seule et même voix. Nous exigeons des élections libres, transparentes et crédibles ».

Abdoulaye Bio Tchané : « Le Bénin est un »

« Dites-moi, est-ce que quelqu’un a été payé pour marcher ?Alors, comme nous l’avons dit aujourd’hui, c’est une marche à zéro franc. Nous marchons à zéro franc pour nos libertés. Nous marchons à zéro franc pour la démocratie dans notre pays. Nous marchons à zéro franc parce que sans élections, il n’y a pas de démocratie. C’est pour cela que nous disons que nous voulons des élections crédibles, transparentes le plus tôt possible. C’est pour cela que nous avons marché dans l’unité. C’est cette unité que je voulais célébrer en vous saluant tous pour dire et répéter, ne nous laissons pas opposer les uns les autres. La communauté béninoise est une ».

Joseph Djogbénou : « Ce qui nous arrive est inadmissible »

« On a demandé à
quelqu’un d’organiser les élections et il prend hélicoptère. Ses proches lui demandent s’il veut fuir. Ce qui nous arrive est inadmissible. Le seul programme politique constitutionnel est l’organisation des élections. Votre enthousiasme, votre générosité, votre contribution massive est un signal. Dieu nous a fait de la même manière. Nous sommes constitués de la même manière que les burkinabé. Je voudrais saluer la sagesse et la responsabilité des hommes et des femmes politiques. Je voudrais saluer la sagesse et la responsabilité des compatriotes. »

Valentin Houdé : « L’Assemblée n’est responsable en rien »

« Ils ont pu bénéfi
cier de ce pri
vilège démocratique chez nous. Ils ont l’obligation de retourner l’ascenseur. La manière de retourner l’ascenseur est d’organiser les élections chez nous à savoir les élections locales, communales et municipales et législatives. L’Assemblée a joué sa partition jusque-là. Tout ce que l’Assemblée doit faire, elle a tout fait. Ce n’est pas la faute à l’Assemblée. C’est vouloir intoxiquer le peuple en disant que c’est de la responsabilité de l’Assemblée et du Cos-Lépi. »

Philippe Noudjènoumè : « Yayi arrache les libertés »

« Il y a 25 ans le 11 décembre 1989, sur cette même place de l’étoile rouge, était réunie la plus grande marche de l’histoire du peuple béninois. On a instauré un pouvoir. On a obtenu la liberté quelque peu, mais on n’a pas obtenu le pain. On n’a pas obtenu du boulot pour les jeunes. On a chassé les opérateurs économiques. Non seulement Yayi n’a pas donné le pain, mais il arrache les libertés et veut traficoter la Constitution pour encore rester au pouvoir. Nous n’allons pas accepter ».

Gaston Zossou : « La souveraineté appartient au peuple »

« Nous sommes à la fin d’un mandat qui nous a été volé. La souveraineté nationale appartient au peuple. Il l’arrachera quand il constatera qu’on l’envoie dans le mur. Ce sera la dernière fois qu’on sera victime d’une filouterie électorale. Nous n’allons plus jamais faire confiance à celui qui a divisé notre pays. Celui qui a opposé le nord et le sud. C’est un mal, une catastrophe, une honte, ce jour de malheur de 2006. Mais ce peuple se relèvera dans la concorde et l’amitié. ».

Candide Azannai : « Yayi doit tirer les conséquences »

« Le pouvoir appartient au peuple. Vous êtes le pouvoir. J’ai marché aujourd’hui très loin de la Présidence. Je pense que Yayi Boni a entendu le rugissement de la colère du peuple. Je pense qu’il doit tirer les conséquences. S’il ne tire pas les conséquences, j’irai le chercher ».

Louis Topanou, Directeur central de la sécurité publique : « La marche a été bien encadrée »

« Porto novo a connu deux gigantesques marches qui ont été professionnellement encadrées. Ceci a été possible grâce aux travaux préparatoires que nous avions eus avec les responsables en charges de différentes marches et des consignes sécuritaires ont été données. La réussite de la marche d’aujourd’hui résulte de cette étroite collaboration avec les forces en présence. Je voudrais aussi saluer la gendarmerie avec qui nous avons travaillé en étroite collaboration »

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