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Le Matinal N° 4144 du 15/7/2013

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Lucien Langanfin au sujet de la crise au sein du Front :« Il y a comme une volonté de certains acteurs de casser le mouvement »
Publié le lundi 15 juillet 2013   |  Le Matinal




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L’actuel porte-parole du Front d’action des trois ordres de l’enseignement, Lucien Langanfin Glèlè s’est prononcé hier dimanche 14 juillet 2013 sur la crise latente au sein de l’organisation syndicale. Il appelle les responsables syndicaux à oublier sa personne et travailler pour le bien de la corporation enseignante.
Mouvement brisé, stratégies de lutte affaiblies, l’unanimité peine à être effective au sein du Front. Le calme noté l’année scolaire qui s’achève est précaire.

Le porte-parole du Front ne l’a pas nié. Pour lui, il y a comme une volonté de certains acteurs de casser le mouvement d’ensemble dans le seul dessein de l’empêcher de rendre compte à la fin de son mandat. Cette stratégie affirme-t-il, est suicidaire en ce qu’elle porte un sérieux coup aux intérêts des travailleurs. « Je demande de ne pas voir ma personne. Je passerai. Mon mandat est en train de finir. Il faut que les responsables syndicaux sachent qu’en cassant le mouvement, c’est l’intérêt de tous les travailleurs qu’ils compromettent. Le travail de porte-parole doit être porté par eux tous », a-t-il fait savoir. Pour Lucien Langanfin Glèlè, les secrétaires généraux l’ont conseillé à son arrivée d’organiser des assemblées générales de proximité, contrairement aux rencontres grand public qui avaient droit de citer par le passé. « L’initiative n’a pas prospéré parce qu’on avait du mal à couvrir toute l’étendue du territoire et tenir dans le temps. On était obligé de lancer l’embargo le 27 février. Mais cela n’a pas été largement respecté parce que les Sg qui n’ont pas été pris en compte dans l’Ag de proximité se sont sentis évincés et on boycotté le mouvement », a-t-il déclaré. Lucien Langafin Glèlè pense que l’efficacité de la lutte passe par une vraie médiation des ministres de tutelle en l’occurrence ceux de l’enseignement secondaire et primaire. « Les membres de la Commission permanente de négociation n’ont pas l’initiative des négociations. C’est le premier ministre qui doit prendre l’initiative, mais on ne sent rien. A notre niveau, nous avons pensé qu’il faut une bonne médiation de nos ministres de tutelle pour que les choses avancent. Et c’est ce que nous faisons’ », a-t-il déclaré

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