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La Presse du Jour N° 1930 du 16/7/2013

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Pour « détention arbitraire » : Johannes Dagnon porte plainte contre les autorités béninoises
Publié le mercredi 17 juillet 2013   |  La Presse du Jour


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© Autre presse par DR
Johannes Dagnon


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La nouvelle a été diffusée par la Radio France internationale. Elle n’a pas été démentie par des avocats béninois défendant Johannes Dagnon dans le dossier supposée « tentative d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat ». Johannes Dagnon aurait porté plainte contre les autorités béninoises pour « détention arbitraire ».
Selon des sources généralement bien informées, la plainte a été déposée en France et non au Bénin. Il y a quelques jours, des autorités françaises avaient déjà indiqué qu’elles étaient attentives au respect des droits de l’homme, notamment ceux de leurs compatriotes cités dans les affaires de supposées tentatives « d’empoisonnement du Chef de l’Etat » et « d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat». Il s’agit notamment de l’homme d’affaires Patrice Talon et de l’expert comptable Johannes Dagnon. Ils portent tous deux la double nationalité franco-béninoise. Peut-être que cette plainte est la suite logique de ce qu’annonçaient les autorités françaises. D’un autre côté, on se demande pourquoi c’est en France que la plainte a été déposée et non au Bénin. Mais cela pourrait se justifier. Primo : en tant que Franco-béninois, Johannes Dagnon est en droit de demander justice dans ces deux pays. Il a donc choisi, selon nos informations, de le faire en France et non au Bénin. Tout ce qui lui arrive aujourd’hui pourrait l’avoir édifié. Car en parlant de détention arbitraire, c’est que Johannes Dagnon reproche des choses à la justice et aux autorités béninoises. Cette plainte est alors une autre manche dans le dossier supposée « tentative d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat » dont le dénouement est attendu de la Cour suprême après le non-lieu prononcé par le juge Angelo Houssou du 6è cabinet du Tribunal de première instance de première classe de Cotonou et confirmé par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Cotonou.

Jean-Marie Sèdolo

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