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Art et Culture

Première édition du Festival international de musique du Bénin (FIMuB):Cinq jours de fête autour de la musique à Cotonou, Bohicon et Parakou
Publié le vendredi 17 avril 2015  |  La Nation
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© aCotonou.com par DR
Le Directeur Exécutif du Fimub, Richmir Totah (au milieu), a tenu à rassurer l`opinion publique ©Agence Dekartcom




Les villes de Cotonou, Bohicon et Parakou accueillent du 29 avril au 3 mai prochain, la première édition du Festival international de musique du Bénin (FIMuB). L’initiative se veut un rendez-vous pour positionner le Bénin comme plate-forme de promotion et de diffusion du patrimoine culturel musical en Afrique et dans le monde. Hier mercredi 15 avril au ministère en charge de la Culture, la conférence de presse annonciatrice de l’évènement a été organisée pour dévoiler les contours dudit festival et rassurer si besoin en était encore, ceux qui se posent des questions autour de l’effectivité et des ambitions du FIMuB.

Cinq jours d’activités, des rencontres professionnelles, une foire aux disques, une exposition des instruments traditionnels de musique du Bénin, des concerts, des animations, un show musical d’envergure…. Ainsi se dévoile l’ossature de la première édition du Festival international de musique du Bénin (FIMuB), évènement majeur de promotion de la musique et de ses accessoires, voulu et initié par le Bénin qui se veut désormais la capitale musicale du continent. L’objectif de l’évènement, est d'aider à la création d’un grand marché de la musique et du disque au Bénin, dans le sens du développement de l’économie de la culture, a soutenu hier, face aux médias, Richmir Totah, directeur exécutif du festival. Les objectifs spécifiques de l’évènement, tels que rapportés par lui, se résument à la création d’un évènement qui rassemble les meilleures créations musicales nationales et internationales, permettre au Bénin de devenir le plus grand marché de la musique en Afrique…
La conquête du monde musical avec des créations contemporaines, la mise en place des conditions nécessaires pour l’internationalisation de l’art et de la musique béninoise, la création d’une synergie entre le secteur musical et l’industrie du tourisme constituent d’autres priorités que s’est assigné ce festival qui se déploiera d’ici deux semaines. Et à ce rendez-vous que l’on annonce comme la future plate-forme de promotion de la destination Bénin, plusieurs grands noms de la musique du continent sont annoncés et certains comme King Mensah du Togo, Binta Torrodo du Niger, Awa Sissao du Burkina Faso, Bella Mondo de la Côte d’Ivoire, Dela Hayes du Ghana, Calou D du Sénégal, Ba Sissoko de la Guinée et Isedale du Nigeria auraient déjà donné leur quitus pour être de l’expédition béninoise. A eux, s’ajouteront les artistes béninois de la diaspora attendus d’une vingtaine de pays et bien évidemment ceux locaux.

Et que commence la fête !

Si l’on s’en tient aux assurances données hier aux hommes de médias par Richmir Totah, directeur exécutif du FIMuB, Marius Fagbédji Missinhoun, directeur artistique et Blaise Tchétchao, directeur du Fonds d’aide à la Culture (FAC), tout serait fin prêt et il ne devrait rester normalement qu’à attendre le 29 avril prochain pour se mettre dans la cadence de la fête de la musique. Mais il ne sera pas que question de show ! Le FIMuB fait une place de choix à la réflexion. Le thème principal retenu pour l’évènement est intitulé « Les industries culturelles musicales, levier de croissance économique au Bénin». Lequel fera donc l’objet d’une communication assurée par le professeur Bienvenu Koudjo du Bénin. D’autres sous-thèmes seront développés notamment par Pendra Safouane du Sénégal, Hugues Ondaye du Congo…
S’agissant des activités et de la programmation, plusieurs scènes ont été prévues dans les villes d’accueil. A Cotonou par exemple, une scène est prévue à Agla et s’animera avec tous les genres musicaux durant les cinq jours du festival. La cérémonie officielle d’ouverture aura lieu au palais des Congrès de Cotonou, tandis que le village du festival sera implanté au rond-point du quartier Sainte Cécile. Le financement du festival qui devrait constituer un os dans la gorge des organisateurs est loin d’être un souci, puisqu’il repose essentiellement sur les caisses du Fonds d’aide à la Culture, même si quelques apports extérieurs sont aussi attendus pour la mobilisation du budget, selon les organisateurs.Les villes de Cotonou, Bohicon et Parakou accueillent du 29 avril au 3 mai prochain, la première édition du Festival international de musique du Bénin (FIMuB). L’initiative se veut un rendez-vous pour positionner le Bénin comme plate-forme de promotion et de diffusion du patrimoine culturel musical en Afrique et dans le monde. Hier mercredi 15 avril au ministère en charge de la Culture, la conférence de presse annonciatrice de l’évènement a été organisée pour dévoiler les contours dudit festival et rassurer si besoin en était encore, ceux qui se posent des questions autour de l’effectivité et des ambitions du FIMuB.

Cinq jours d’activités, des rencontres professionnelles, une foire aux disques, une exposition des instruments traditionnels de musique du Bénin, des concerts, des animations, un show musical d’envergure…. Ainsi se dévoile l’ossature de la première édition du Festival international de musique du Bénin (FIMuB), évènement majeur de promotion de la musique et de ses accessoires, voulu et initié par le Bénin qui se veut désormais la capitale musicale du continent. L’objectif de l’évènement, est d'aider à la création d’un grand marché de la musique et du disque au Bénin, dans le sens du développement de l’économie de la culture, a soutenu hier, face aux médias, Richmir Totah, directeur exécutif du festival. Les objectifs spécifiques de l’évènement, tels que rapportés par lui, se résument à la création d’un évènement qui rassemble les meilleures créations musicales nationales et internationales, permettre au Bénin de devenir le plus grand marché de la musique en Afrique…
La conquête du monde musical avec des créations contemporaines, la mise en place des conditions nécessaires pour l’internationalisation de l’art et de la musique béninoise, la création d’une synergie entre le secteur musical et l’industrie du tourisme constituent d’autres priorités que s’est assigné ce festival qui se déploiera d’ici deux semaines. Et à ce rendez-vous que l’on annonce comme la future plate-forme de promotion de la destination Bénin, plusieurs grands noms de la musique du continent sont annoncés et certains comme King Mensah du Togo, Binta Torrodo du Niger, Awa Sissao du Burkina Faso, Bella Mondo de la Côte d’Ivoire, Dela Hayes du Ghana, Calou D du Sénégal, Ba Sissoko de la Guinée et Isedale du Nigeria auraient déjà donné leur quitus pour être de l’expédition béninoise. A eux, s’ajouteront les artistes béninois de la diaspora attendus d’une vingtaine de pays et bien évidemment ceux locaux.

Et que commence la fête !

Si l’on s’en tient aux assurances données hier aux hommes de médias par Richmir Totah, directeur exécutif du FIMuB, Marius Fagbédji Missinhoun, directeur artistique et Blaise Tchétchao, directeur du Fonds d’aide à la Culture (FAC), tout serait fin prêt et il ne devrait rester normalement qu’à attendre le 29 avril prochain pour se mettre dans la cadence de la fête de la musique. Mais il ne sera pas que question de show ! Le FIMuB fait une place de choix à la réflexion. Le thème principal retenu pour l’évènement est intitulé « Les industries culturelles musicales, levier de croissance économique au Bénin». Lequel fera donc l’objet d’une communication assurée par le professeur Bienvenu Koudjo du Bénin. D’autres sous-thèmes seront développés notamment par Pendra Safouane du Sénégal, Hugues Ondaye du Congo…
S’agissant des activités et de la programmation, plusieurs scènes ont été prévues dans les villes d’accueil. A Cotonou par exemple, une scène est prévue à Agla et s’animera avec tous les genres musicaux durant les cinq jours du festival. La cérémonie officielle d’ouverture aura lieu au palais des Congrès de Cotonou, tandis que le village du festival sera implanté au rond-point du quartier Sainte Cécile. Le financement du festival qui devrait constituer un os dans la gorge des organisateurs est loin d’être un souci, puisqu’il repose essentiellement sur les caisses du Fonds d’aide à la Culture, même si quelques apports extérieurs sont aussi attendus pour la mobilisation du budget, selon les organisateurs.
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