Marcel de Souza sur l’ORTB hier : «La lutte contre la pauvreté, une priorité pour Yayi» #aCotonou

Politique

Marcel de Souza sur l’ORTB hier : «La lutte contre la pauvreté, une priorité pour Yayi»

Publié le vendredi 23 aout 2013 | Le Matin

© Autre presse par DR
Le ministre du Développement, de l`Analyse économique et de la Prospective, Marcel de Souza

Vos outils

REAGISSEZ

Vidéos

Politique: La nouvelle composition du gouvernement Boni Yayi

- 12/8/2013

Dans le dossier

Activités gouvernementales 2013

Malgré la crise économique qui secoue actuellement tous les pays du monde entier, le Gouvernement du Président Boni Yayi multiplie les efforts pour assurer l’autosuffisance alimentaire et nutritionnelle à tous les Béninois. C’est dans ce cadre que d’importants chantiers et projets ont été ouverts pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Le ministre du développement Marcel Alain de Souza est revenu de long en large sur les efforts consentis par le Gouvernement Yayi.
A moins de mille jours de la fin des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), on retient que le Bénin a effectué des avancées notables dans ce mécanisme. Dans tous les secteurs, le Gouvernement du Président Boni Yayi a rassuré quant au travail effectué. C’est sur ces avancées que le ministre du développement, de l’analyse économique et de la prospective est revenu sur une émission télévisée de la chaine nationale ORTB. Pour Marcel de Souza, les statistiques ont montré que le seuil de la pauvreté a considérablement baissé au Bénin. En témoigne l’indice de développement humain de 2010 qui classe le Bénin 134ème sur 169 pays.

L’indice monétaire montre aujourd’hui que le Bénin occupe une place considérable tant au niveau de la CEDEAO, de l’UEMOA, de la BAD, de la Banque Mondiale que d’autres. « Nous sommes à 5, 4% de croissance actuellement et en 2014, nous allons atteindre les 6,4 %» a souligné Marcel de Souza. Il a fait remarquer que le Gouvernement ne manquera pas de poursuivre les efforts afin d’atteindre la croissance à deux chiffres d’ici à 2015. Pour lui, le développement ne peut jamais être atteint, s’il n’ya pas la paix. Il s’est attardé lors du débat sur la valorisation de la vallée de l’Ouémé, la mécanisation de l’agriculture, la mise en place d’une banque agricole à l’image du Crédit Agricole en France pour éliminer la pauvreté et réussir l’autosuffisance alimentaire et nutritionnelle. « Le Bénin pourrait à lui seul constituer le grenier des autres pays de la sous-région », a-t-il souligné. Par ailleurs, le ministre Marcel de Souza a invité les jeunes à s’intéresser à l’agriculture qui selon lui permettra au Bénin d’atteindre efficacement les objectifs escomptés. Il s’est penché sur les filières porteuses d’avenir telles que : l’ananas, l’anacarde, le palmier à huile auxquelles les jeunes doivent s’intéresser. Par rapport aux efforts fournis dans le secteur éducatif, le ministre Marcel de Souza a évoqué la gratuité de l’école, la construction des salles de classe, la formation et le recrutement des enseignants. Sur le plan de la santé, la mise œuvre du RAMU, la gratuité des soins liés au paludisme chez les femmes enceinte et les enfants de moins de 5 ans, la gratuité de la césarienne, l’accès aux Antirétroviraux, la distribution des moustiquaires. Le ministre Marcel de Souza s’est aussi prononcé sur les infrastructures routières. Ici, les nombreux chantiers ouverts et achevés à certains endroits pour favoriser les transactions commerciales ont été passés au crible. A la question de savoir si le ministre de Souza sera-t-il candidat pour les élections présidentielles de 2016, l’autorité gouvernementale a estimé que son souci actuel est de travailler pour le progrès de la nation. Quant à l’épineuse question de la révision de la constitution, Marcel de Souza pense qu’elle est inéluctable en ce sens qu’elle va mettre le Bénin sur l’orbite du développement. De même, le ministre du développement estime que cette révision n’est pas opportuniste. « Le Président Boni Yayi a dit devant le Pape, le Secrétaire général de l’ONU et partout qu’il va céder le fauteuil en 2016».

Etienne YEMADJEL’indice monétaire montre aujourd’hui que le Bénin occupe une place considérable tant au niveau de la CEDEAO, de l’UEMOA, de la BAD, de la Banque Mondiale que d’autres. « Nous sommes à 5, 4% de croissance actuellement et en 2014, nous allons atteindre les 6,4 %» a souligné Marcel de Souza. Il a fait remarquer que le Gouvernement ne manquera pas de poursuivre les efforts afin d’atteindre la croissance à deux chiffres d’ici à 2015. Pour lui, le développement ne peut jamais être atteint, s’il n’ya pas la paix. Il s’est attardé lors du débat sur la valorisation de la vallée de l’Ouémé, la mécanisation de l’agriculture, la mise en place d’une banque agricole à l’image du Crédit Agricole en France pour éliminer la pauvreté et réussir l’autosuffisance alimentaire et nutritionnelle. « Le Bénin pourrait à lui seul constituer le grenier des autres pays de la sous-région », a-t-il souligné. Par ailleurs, le ministre Marcel de Souza a invité les jeunes à s’intéresser à l’agriculture qui selon lui permettra au Bénin d’atteindre efficacement les objectifs escomptés. Il s’est penché sur les filières porteuses d’avenir telles que : l’ananas, l’anacarde, le palmier à huile auxquelles les jeunes doivent s’intéresser. Par rapport aux efforts fournis dans le secteur éducatif, le ministre Marcel de Souza a évoqué la gratuité de l’école, la construction des salles de classe, la formation et le recrutement des enseignants. Sur le plan de la santé, la mise œuvre du RAMU, la gratuité des soins liés au paludisme chez les femmes enceinte et les enfants de moins de 5 ans, la gratuité de la césarienne, l’accès aux Antirétroviraux, la distribution des moustiquaires. Le ministre Marcel de Souza s’est aussi prononcé sur les infrastructures routières. Ici, les nombreux chantiers ouverts et achevés à certains endroits pour favoriser les transactions commerciales ont été passés au crible. A la question de savoir si le ministre de Souza sera-t-il candidat pour les élections présidentielles de 2016, l’autorité gouvernementale a estimé que son souci actuel est de travailler pour le progrès de la nation. Quant à l’épineuse question de la révision de la constitution, Marcel de Souza pense qu’elle est inéluctable en ce sens qu’elle va mettre le Bénin sur l’orbite du développement. De même, le ministre du développement estime que cette révision n’est pas opportuniste. « Le Président Boni Yayi a dit devant le Pape, le Secrétaire général de l’ONU et partout qu’il va céder le fauteuil en 2016».

Etienne YEMADJE

Commentaires