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Abdoulaye Bio Tchané, une vision pragmatique pour l’alternance en 2016
Publié le lundi 6 juillet 2015  |  24 heures au Bénin
le
© Autre presse par DR
le président Abdoulaye Bio Tchané




Le gouvernement n’a pas tardé à réagir aux publications dans les journaux relatives à la tentative avortée de faire parrainer, par le président français, de la signature de la convention de concession et d’exploitation du chemin de fer Cotonou-Niamey. Une cérémonie qui devait se faire sans la participation du Groupe Petrolin de notre compatriote Samuel Dossou Aworet, gagnant de l’appel d’offres international lancé dans ce cadre par les deux Etats. Depuis, le gouvernement béninois, par le biais du Secrétariat général de la Présidence de la République est monté au créneau. Dans un communiqué (voir en encadré) en date du 3 juillet 2015, la Secrétaire Générale conteste le fait que la signature de la convention de concession ait été envisagée à l’occasion de la visite du Président Hollande. De même, elle affirme que l’opérateur économique Samuel Dossou Aworet est bel et bien associé au projet. Ce qui n’est pas vrai.
Dans ce dossier, la Secrétaire générale de la Présidence de la République ne peut pourtant pas nier l’existence de négociations clandestines entre le Groupe Bolloré, l’Etat nigérien et l’Etat béninois sans qu’à aucun moment, le nom de l’adjudicataire du projet, le Groupe Petrolin, ait été évoqué. De sources crédibles, aucun document, aucune invitation, aucun projet d’accord n’a jamais été transmis à M. Samuel Dossou Aworet, ni à l’un quelconque de ses représentants dans ce cadre. Il faut souligner que ces négociations ont abouti à des projets d’accord sur la Convention de concession, les Statuts de la société qui devrait prendre le relai de l’exploitation de la ligne Cotonou-Niamey en remplacement de l’Ocbn préalablement dissoute, et enfin le Pacte d’actionnaires de ladite société. Il revient que chacun de ces documents a été préalablement parafé par les représentants du Groupe Bolloré, de l’Etat nigérien et de l’Etat béninois. Si Hollande avait accepté insérer ce parrainage dans son agenda, la cérémonie aurait eu lieu, preuve évidente de la tentative d’usurpation par le groupe Bolloré des droits du Groupe Petrolin qui a pourtant gagné ce dossier par appel d’offres international N°5498/MDCTTP-PR/MTAC/DC/SG/OCBM en date du 04 août 2008 confirmé par la lettre d’adjudication N° 001/2010/MTTA/MTTTAPTP/PR/CPC au bénéfice de Petrolin signée par le Bénin et le Niger...
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