Destruction d’infrastructure routière Calavi, martyr de l’indélicatesse des conducteurs #aCotonou

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Destruction d’infrastructure routière Calavi, martyr de l’indélicatesse des conducteurs

Publié le mercredi 4 septembre 2013 | L’informateur

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Route Godomey-Pahou
Tronçon Godomey-Pahou : La route en travaux rend la circulation difficile aux usagers

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Société civile béninoise 2013

Les accidents de circulation sur le tronçon Godomè-Calavi ont détruit les infrastructures dans la commune de Calavi. Le bilan des infrastructures réalisées avec l’argent du contribuable donne à penser.

Les actes d’indélicatesse, de destruction des infrastructures diminuent la valeur des travaux d’aménagement des voies à Calavi. En plus de son caractère sale que le chef de l’Etat a souligné lors de son passage il y a quelques mois, la cité dortoir est en pleine destruction. Les infrastructures le long de la route sont détruites. L’argent du contribuable a servi à faire ces travaux. Mais il semble que cela n’a aucune importance devant les usagers de cet axe qui le soumet à une destruction massive.

C’est l’acte de certains conducteurs indélicats qui contribuent à la dégradation de la commune la plus peuplée du département de l’Atlantique, en terme de densité de la population. Il convient de souligner que ces actes, parfois impunis portent en torse au développement. Le constat est amer.
Partons d’abord de Godomè, un arrondissement de la commune d’Abomey-Calavi. Les enjoliveurs de couleurs vertes dressés au milieu de la route à la suite de la construction de l’échangeur de Godomè par les Chinois sont de temps en temps rasés, cassés. Les lampadaires n’existent que par endroit. Le poteau reliant les feux tricolores au niveau du carrefour IITA est basculé au sol, de même que certains lampadaires qui donnent un éclat radieux à la ville. C’est le même constat au carrefour Bidossèssi. Nous sommes à quelques mètres de la clôture de l’Ortb. Autre fois illuminée, la destruction des infrastructures ont dû détruit le dispositif de l’énergie pour que ce tronçon sombre dans le noir.

Selon nos investigations, les auteurs de ces actes indélicats payent les frais du matériel endommagé. Ce qui pourrait permettre de reprendre la réalisation. Mais pas un signe à ce jour de la reprise des lampadaires et autres infrastructures réalisés avec l’argent du contribuable.

Alexis METON

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