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Achap Dan-Baba confirme le caractère d’homme d’Etat de Gbian
Publié le mercredi 14 octobre 2015  |  La Nouvelle Expression






Actualité nationale
14 Octobre 2015
Achap Dan-Baba confirme le caractère d’homme d’Etat de Gbian
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Pendant que certaines langues prédisent le désistement ou le renoncement de la candidature du Général Robert Gbian, Achap Dan-Baba, opérateur économique et ardent défenseur des idéaux de son champion –Gbian- jure par l’irréversibilité de la candidature de son mentor. Dans une réflexion, il dresse le portrait-robot du prochain locataire de la Marina qui fait de Gbian, l’homme qu’il faut pour le Bénin.



Lire l’intégralité de sa réflexion



Général Gbian : homme de rang, devenu meneur d’hommes

Dans un contexte de morosité économique ponctué par un paysage politique flou, le constat est malheureusement clair, avec une situation peu reluisante, pour la classe politique brocardée pour son incapacité à trouver les solutions à la hauteur des défis présents et futurs.

Pour que l’homme politique puisse capter l’adhésion de plusieurs sympathisants et militants, il faut dans la plupart des cas aboutir au résultat de compromis, destinés à contenter ne fut-ce que partiellement, des intérêts divers de façon à créer un équilibre, certes provisoire, mais dans bien des cas indispensable.

Pour faire valoir une dimension de leader, des compromissions, des calculs étriqués voir incertains s’imposent. Il n’empêche que des circonstances futures favorables permettent de se révéler meneur d’hommes, autrement dit Homme charismatique.

En effet, rares sont les circonstances dans lesquelles, la grandeur se révèle d’emblée.

Toutefois, l’homme d’Etat est celui qui par sa vision et sa lucidité, est capable de transcender les conformismes et autres cacophonies ambiantes.

Dans un pays empreint de rivalités, de guerres de positionnement, où les partis et coalitions politiques se sont dédouanés de leurs responsabilités, je pense que le candidat qui de part sa stratégie de mobilisation populaire, sa capacité d’écoute, son bon sens, son intelligence de situation, son empathie, sa soif d’apprendre, son respect, sa créativité et surtout sa générosité doit pouvoir avec autant d’éléments et d’atouts s’imposer.

Il n’y a point de doute, le Général Gbian Robert affectueusement appelé GGR, paraît à mes yeux, le plus à même de répondre à ces qualités.

Même si ce n’est pas l’oiseau rare ou l’homme providentiel, sa présence permanente sur le terrain, sa longueur d’avance en rapport aux contacts qu’il a noués et continue d’en créer font de lui un potentiel et redoutable candidat.

C’est vrai que sa posture de rassembleur, son souci de l’unité nationale, sa grande discrétion ne peuvent que militer en sa faveur lorsqu’il s’agira d’opérer un choix parmi la multitude de candidatures annoncées. Un choix combien difficile, lorsqu’on sait que «dame argent» va s’inviter dans la campagne électorale, et biaiserait à coup sûr les tendances.

De toute évidence, quel que soit le scénario, le carré d’AS me semble-il, va être : GGR-PIK-ABT-MPT. Tous ces quatre prétendants au titre, auront à quelques détails près, les mêmes programmes. Sauf que le Général GBIAN a très tôt anticipé en livrant dans son Agenda 2015 quelques unes de ses priorités.

Il est clair que, le temps de programme contre programme est révolu, et à laisser place à une logique, de stratégie contre stratégie, personnalité contre personnalité, bref toute chose égale, aux expériences et au pragmatisme. Et c’est de cela qu’il s’agit, étant entendu que dans notre Pays, les intellectuels « pousseux de crayons » pour reprendre cette expression québéquoise ont montré leurs limites.

Par ailleurs, il convient de rappeler que l’exercice du pouvoir au plus haut niveau, relève de la gestion des affaires publiques au niveau de la haute sphère administrative. Dans ces conditions, il serait hasardeux voire même illusoire de confier les destinées de notre chère patrie, à une personnalité qui va désacraliser, voire profaner cette noble fonction qu’est la Magistrature suprême. Et pour caricaturer, je dirai qu’on ne devient pas Juge, en étant profane du Droit.

En tout état de cause, un minimum de côtoiement de l’Administration Publique devrait être un pré requis, et c’est en cela que j’épouse l’idée de certains responsables religieux, qui émettent des réserves quant à certaines candidatures.

Au total, « Le Prochain » doit pouvoir être quelqu’un qui est à l’écoute, et qui dirigera en triptyque à savoir : Analyser, Décider et Acter. Je ne dis pas forcément GGR, mais en même temps je pense à GGR.

Bonne Chance Mon Général.



Achap Dan-Baba
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