Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Mali    Publicité
aCotonou.com NEWS
Comment

Accueil
News
Santé
Article
Santé

Collecte de poches de sang par Miss-Bénin 2015 : Dire non aux décès maternels dans les hôpitaux
Publié le vendredi 4 decembre 2015  |  Fraternité
Lancement
© aCotonou.com par CODIAS
Lancement du projet don de sang au ministère de la Santé de Cotonou.
Samedi 17 janvier 2015.Lancement du projet don de sang par l`Association Nationale des Conducteurs de véhicule administratif du secteur santé




Elue Miss Bénin 2015 en juillet dernier, Sylvania Fandohan et ses deux dauphines Ornella Lokonon et Carine Ekpérigin œuvrent déjà pour le mieux-être des couches vulnérables. A travers le projet « Je suis engagé, je donne mon sang », qu’elles ont initié, elles procèdent à la collecte de poches de sang au profit des femmes enceintes et en situation d’accouchement. Dans ce cadre, l’ambassadrice de la beauté béninoise et ses deux dauphines avec la collaboration de l’Agence nationale de la transfusion sanguine et l’aide du réseau de téléphonie mobile Mtn-Bénin étaient, du 27 au 29 novembre 2015, au centre Songhai de Porto-Novo, au village Sos d’Abomey-Calavi et à l’Eglise catholique St Jean de Cotonou où elles ont organisé des séances de don de sang.
Au dire de la 1ère dauphine Ornella Lokonon, les statistiques ont révélé que beaucoup de femmes enceintes décèdent lors de l’accouchement parce qu’elles n’ont souvent pas la chance d’avoir le liquide précieux pour se faire transfuser lorsque surviennent des complications. « Nous nous sommes dit qu’on ne peut pas mourir de sang. Puisque chacun de nous en dispose dans son organisme. Nous voulons inciter nos compatriotes à donner un peu de leur sang pour sauver des vies humaines », a-t-elle expliqué. Il faut noter que partout où elles étaient, la mobilisation était impressionnante dans le rang des donneurs de sang. Tous acquis à leur cause, ils ont accepté donner de leur sang en vue de dire non à la mortalité des futures mamans dans nos hôpitaux.
Eustache f. AMOULE
Commentaires