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Le ministre d’État Djimba donne la visibilité à l’enseignement technique sous l’impulsion du Dr Boni YAYI
Publié le lundi 4 janvier 2016  |  Présidence
Lancement
© Ministère par DR
Lancement des activités du Ministère de l`Enseignement Secondaire dans les tours administratives
Lundi 21 Octobre, Cotonou : Le Ministère de l`Enseignement Secondaire a officiellement rejoint ses nouveaux locaux dans les tours administratives Photo : Le ministre de l`Enseignement Secondaire, de la Formation Technique et Professionnelle, de la Reconversion et de l`Insertion des Jeunes, M. Alassane Djimba Soumanou




Le ministère de l'enseignement secondaire, de la formation technique et professionnelle, de la reconversion et de l'insertion des jeunes aura été des ministères les plus remarquable de ces 5 dernières années. Plus de 900 nouveaux Ceg dont 400 créés sous Yayi pour une population de plus de 1500.000.

Au niveau de l'enseignement technique en 2006 le nombre de lycées est passé de 11 à 34 lycées et centres de formations professionnelles pour une population de plus de 12000 élèves
Plus de 15000 enseignants recrutés et 12000 nouveaux encours de recrutement soit au total 27000 enseignants recrutés par le gouvernement du Dr Boni YAYI Deux centres de formation des créateurs d'entreprises à Adjahonmè et à Banikoara qui ont livrés plus de 250 entrepreneurs des Pme et Pmi 3100 salles de classes soit plus de 750 modules de 4 salles de classes.
6 nouveaux lycées techniques et centres de formation professionnelle dont le lycée technique d'amitié Sino Béninoise de plus de 7 milliards.
En 10ans, le gouvernement du Dr Boni Yayi aura investi plus de 500 milliards en moyenne ont été consacré à l'enseignement.
Le programme d'investissement public évalué à plus 70 milliards aura permis l'acquisition de nouveaux équipements et le renforcement des capacités d'accueil au profit des collèges et lycées techniques.
Au titre des contributions diverses des partenaires techniques et financiers, l'AFD vient en tête avec plus de 30 milliards de subventions et prêts par le renforcement des capacités de l'enseignement secondaire et technique.

Le fonds commun budgétaire et le partenariat mondiale de l'éducation avec 65 modules de 4 salles de classes, plus de 48 lactrines, la GTZ et la coopération allemande avec des milliards de francs ont apportés assez aux lycées techniques agro pastoraux. La coopération suisse n'était pas du reste. Elle a soutenu de façon remarquable des centres de formation professionnelle et les artisans à travers des séries de formations et de mise a niveau.

La banque Islamique de Développement par le financement de 2 lycées techniques agro pastoraux à Adjahonmè et Banikoara a séduit la jeunesse. La visibilité a été également au rendez-vous au niveau de Direction de la reconversion et de l'insertion des jeunes et l'agence nationale pour la reconversion des jeunes ont apporté a l'orientation et à l'insertion des jeunes à travers des programmes qui mettent l'accent sur les jeunes n'ayant plus les capacités d'être dans le système traditionnel.
Dans les lycées techniques agro pastoraux, on a pu L'adéquation entre la formation et le marché de l'emploi devient ainsi un impératif pour faire de nos jeunes diplômés des ouvriers et mieux des techniciens de développement de l'économie nationale en les orientant vers les métiers porteurs dans l'agriculture, l'informatique, le génie civil, la mécanique et en transformation agro alimentaire et végétale.
L'amélioration des programmes d'enseignement dans le sens d'une rupture qui privilegie les formations pratiques à la théorie. L'organisation des certificat de qualification au métiers pour valoriser les métiers artisanaux: couture, menuiserie, soudures, arts plastiques. ..
De même que la valorisation technique pour les filières de la restauration , du tourisme et de l'hôtellerie ;secteur qui offrent assez d'emploi et de débouchés à nos jeunes titulaires des diplômes professionnels. En la matière grâce a la politique d'orientation du gouvernement, la lutte contre la disqualité est désormais engagée suite aux travaux du forum sur l'éducation qui prône la rupture avec les anciennes pratiques et programme d'enseignement qui ne répondait pas au différents demandes du marché du travail.
C'est finalement à une réforme fondamentale que notre système éducatif est désormais soumis faisant de l'école un outil au service de la communauté et non une affaire exclusive de l'État.
Sur le plan social, les enseignants reconnaissent l'amélioration de leur situation sociale et salariale. Les enseignants reversés plus de 11000 subissent la formation dans les écoles normales ont connu par deux fois une amélioration de leur indice de traitement.
La mesure de gratuité de l'enseignement secondaire au profit des filles aura marqué les esprits. Grâce à cette mesure qui a pris en compte d'abord les élèves de la 6e en 3e et ensuite de la 2nde en Terminale, le taux de scolarisation des filles a connu une nette amélioration saluée au plan national mais également internationale par l'Unesco, les États-Unis et la France. Cette mesure qui a massifié les effectifs a aussi été accompagné par l'exonération de 30% des frais de scolarité des filles dans l'enseignement technique.
Le dialogue social entre le gouvernement et les centrales a beaucoup évolué pour régler les problèmes sources de grèves et débrayages dont les conséquences ont impacté les différents résultats au Bepc et au Bac.
Au total, de 2006 à 2016, le système éducatif béninois de la maternelle en passant par le primaire, le secondaire, technique et le supérieure a connu une amélioration quantitative et des dispositions sont prises pour atteindre l'amélioration qualitative à travers la formation des formateurs, le renforcement et le suivi des enseignements par des inspecteurs du primaire , du secondaire et les conseillers pédagogique formés formés à l'école de formation des personnels d'encadrement de l'éducation nationale (efpeen). Les mauvais résultats nous interpellent tous acteurs du système éducatif.
Enfin, pour susciter plus de vocation car enseigner est un métier et mieux un art qui a ses exigences parce c'est un sacerdoce.
L'éducation avant tout
L'école d'abord
Ne sont plus de vains mots dans notre pays mais des réalités.

CCOM/MESFTPRIJ
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