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Pour l’alternance politique et la relance économique: Un homme, Sébastien Germain Ajavon
Publié le vendredi 29 janvier 2016  |  Le Confrère de la Matinée
Sébastien
© Autre presse par DR
Sébastien Ajavon, président de la Ligue Professionnelle de Football du Bénin




Le Bénin souffre actuellement de deux difficultés majeures à savoir, la gouvernance politique et le développement. La résorption des ces difficultés nécessite le choix d’un homme de vision, un pragmatique imbu de comportement citoyen. Sébastien Germain Ajavon est le déclic. La classe politique béninoise subit actuellement une transfiguration profonde, avec un bouleversement de l’échiquier national, dans un environnement économique particulièrement difficile. Ceci se vit comme une menace sérieuse à la démocratie. La sévérité de la vie impose que les Béninois, dans leur immense majorité, travaillent à une alternance au pouvoir. Cela pourrait inverser la tendance, rien que par l’opération du choix judicieux d’un homme, qui redonne confiance au peuple en le libérant du carcan de la misère et de la pauvreté. Pour mieux comprendre ces préceptes et mieux orienter nos choix dans le cadre de cette importante élection, la démarche impose de la méthode qui consiste à analyser les choses au cas par cas.


La charge partisane comme une décharge

L’univers politique béninois est suffisamment émietté, fractionné et compartimenté. Plusieurs formations politiques, créées à l’avènement de la démocratie n’ont visiblement pas comblé les attentes dans ce pluralisme consacré. La liberté envisagée a été outrageusement interprétée comme le libertinage. La mauvaise gestion des ensembles, la perte constante de confiance et les jeux de positionnement source de frustrations, ont rendu flexible la perception du pluralisme. Aujourd’hui, les partis politiques chargés d’ « animer la vie publique » se créent avec frénésie dans une dynamique presque sans fin. La pluie des amertumes a jeté dans le lac immense, les rêves ensevelis dans les sables mouvants. A chaque événement politique, ses partis. Les tentatives de regroupement, qui avaient suscité espoir, s’évanouirent. Les « UBF » et autres, se sont désintégré allègrement. Chaque jour qui nait, vient avec son lot de partis au point où la classe politique s’est complètement désagrégée, juste faute de financement public.

En 2016 encore, des partis politiques de circonstance continuent de se créer, bourgeonnent soit de grandes alliances, soit de partis influents. La solution trouvée, qui est comme une thérapie à l’éclosion frénétique et incommensurable de partis, est le financement public obligatoire, que pourra assurer non pas un politique avéré, sa crédibilité peut être mise en jeu, mais un homme qui est le point de convergence de ces formations, qui inspire confiance nationale ; il s’agit bien de Sébastien Germain Ajavon qui, grâce à son pragmatisme et sa conviction, son esprit des risques aussi, pourra drainer les tendances vers des ensembles plus stables et durables. Il assurera ce financement public qui participe à coup sûr, de l’assainissement de l’univers politique béninois. Lui, peut : « faire tomber les certitudes toutes paisibles

Vivre hors de la foire des partis et la méritocratie par les slogans

Ne pas compter avec les marchands d’illusions

Qui de leurs cris insensés croient nous troubles

Toujours se retrouver UN dans nos nombreux exils » (Extrait de « Certitudes », un recueil de poèmes ayant reçu le Grand Prix de Poésie, du Pr Jean-Marc Aurèle AFOUTOU).

En définitive, la classe politique attend d’être réorganisée à fond, pour nous éviter les arrimages presque sans raison et sans certitude, jetant et ballotant les militants tel un « ventilateur » dans un avenir labyrinthique. L’élection présidentielle de février est une opportunité pour le repositionnement des partis politiques. Mais l’on peut se flatter du fait que tout ceci se passe à un moment crucial de l’histoire où les Béninois doivent choisir un autre président pour une transition comme un passage obligé. L’alternance politique est un pan, un grand pan du projet de société que va défendre pour le bonheur de tous les Béninois, sans exclusive aucune, Sébastien Germain Ajavon dont l’élection à cette présidentielle se situe au confluent d’un système singulier de gestion et une alternative de développement.



La relance certaine de l’économie nationale

L’autre problème crucial auquel le Bénin se trouve confronté est celui de son développement mis entre parenthèse par des pratiques hasardeuses de gestion, avec des improvisations obsessionnelles et des dépenses extrabudgétaires. L’ignorance des opportunités énormes fournies par l’amélioration sensible du climat des affaires et du partenariat public-privé, ainsi que l’exploitation judicieuse de la proximité du grand voisin de l’Est, c’est-à-dire le Nigéria constitue une plaie qu’il faut corriger au plus vite.

La présence d’un homme d’affaires de la trempe de Sébastien Germain Ajavon, dont les qualités le distinguant pour son self-made man forcent l’admiration dans le sérail politique doit être minutieusement exploitée, pour accroitre les chances de repositionnement de notre pays dans le concert des nations émergeantes. Sa maitrise du milieu des affaires tant au plan national où il est le président du patronat, qu’international par le rayonnement de ses affaires constitue à n’en point douter, un sérieux atout.

Ses interventions éparses dans le social pour réduire la pénibilité des populations en matière d’éducation et surtout de santé, son prodigieux accompagnement aux œuvres sportives et culturelles sont autant des valeurs qui militent en faveur de son choix. Sébastien Germain Ajavon est celui qui peut aider au bon choix des référents pour le développement du Bénin.

La rigueur dont il fait montre dans le secteur où il évolue permettra de déconstruire les mentalités absconses de paresse, de corruption, d’inefficacité administrative… qui semblent indéboulonnables.

Le renforcement du secteur privé, seul gage pour la création d’emplois durables est un souci permanent de l’homme de Djeffa. Il aidera à scruter la piste alternative à travers le Bending Funding et le Leverage Funding (B&L) qui consistent en une consolidation de fonds provenant des sources multiples comme source unique pour structurer un financement global capable d’impulser un essor économique soutenu.

Sa foi en l’atteinte de la croissance à deux chiffres, fondée sur l’action de certains paramètres, est une garantie dans la marche certaine vers le développement prodigieux et harmonieux du Bénin.

Le Bénin a déjà l’expérience de porteurs de grandes théories sur les agrégats économiques qui n’ont point prospérer. La pensée extravertie du développement, déconnectée de la réalité béninoise est un leurre.

Ce qui étonne chez l’homme, c’est son patriotisme outré. Cette qualité fonde l’attachement à la nation béninoise.

La vie de cet opérateur exceptionnel, fonde notre espoir sur sa capacité à insuffler une nouvelle dynamique à l’économie nationale.

Bref avec Sébastien Germain Ajavon, le relance de notre économie est une certitude !

F.M.
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