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Alain Capo-CHICHI lors d’une Conférence de presse hier au sujet des cabales contre le Groupe CERCO « Le Groupe Cerco victime d’une tentative d’escroquerie »
Publié le mercredi 17 aout 2016  |  Les 4 Vérités
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© aCotonou.com par DR
Dr Alain Capo Chichi, le Président Directeur général (Pdg) du groupe Cerco




(Les parents d’étudiants invités à ne pas s’inquiéter pour la rentrée prochaine ; 15 diplômes délivrés par CERCO sont reconnus par l’Etat…)
Par Jean-Louis KOGBEDJI,


Le Groupe CERCO fait parti des meilleures universités privées au Bénin. Il vient d’être victime d’un lynchage médiatique et surtout « d’une tentative d’escroquerie », selon son fondé. Dans une conférence de presse ce lundi 15 aout 20156 au siège du groupe, son PDG Dr Alain Capo-Chichi a donné sa part de vérité en dévoilant ses détracteurs et confirmé que l’établissement est en règle vis-à-vis des textes et figure sur la liste des établissements d’enseignement supérieur reconnus par l’Etat béninois, avec 15 diplômes délivrés par CERCO et reconnus par l’Etat. Les parents d’étudiants n’ont donc pas à s’inquiéter pour la rentrée prochaine. La police et la justice sont saisies du dossier, a informé le PDG du Groupe Cerco.

Les parents qui désirent inscrire leurs enfants au Groupe CERCO dès la rentrée prochaine ou qui l’ont déjà fait, n’ont pas à s’inquiéter. Le Groupe Cerco est l’un des plus prestigieux établissements du Bénin. Il exerce légalement sur le territoire national et au delà des frontières béninoises. L’université Cerco délivre quinze (15) diplômes qui sont cosignés par l’Etat. « Cerco fait parti des universités célèbres au Bénin dont quinze (15) diplômes sont reconnus par l’Etat », a déclaré son PDG hier lors d’une conférence de presse dont l’objectif était d’éclairer l’opinion publique sur le lynchage médiatique dont son groupe et lui ont été victimes ces derniers jours.
Sur près de trois mille (3000) diplômés déversés sur le terrain, à peine deux-cent (200) sont restés pour l’heure à la recherche du travail ; les autres ont déjà un emploi, a informé ce lundi au siège du Groupe Cerco à Cotonou, Dr Alain Capo-CHICHI. La qualité de l’enseignement donné au sein de cette école et celle des formateurs puis les moyens techniques utilisés ne sont plus à démontrer. « Nous sommes la seule université au Bénin qui utilise une technologie de pointe donc, de dernière génération », a-t-il informé.

Par ailleurs, l’université CERCO a une filiale en France et dans d’autres pays du monde dont la Chine. En Afrique, elle est présente dans plusieurs pays dont la Cote d’Ivoire, au Burkina, pays des hommes intègres etc. En, Côte d’Ivoire, l’Institut Cerco est installé sur la zone franche industrielle et travaille en parfaite collaboration avec l’Etat ivoirien. Au Bénin, Cerco fait partie des rares établissements ayant construit sur leur propre terrain un immeuble de près du milliard ou même plus. La qualité et les mérites du Groupe Cerco ne sont plus à démontrer. Est-c e à cause de tout cela que des individus ont attenté à sa renommée et celle de son PDG ?

En effet, le Groupe Cerco a fait objet d’un lynchage médiatique ces derniers jours. Est-ce pour salir la renommée du Groupe et de son PDG ? A suivre les explications de Dr Alain Capo Chichi, pour des fins inavouées, des individus ont distillé de fausses informations sur sa personne et son groupe dans les réseaux sociaux, à travers led médias dont des « journaux fictifs » juste pour nuire à la noble réputation du groupe CERCO et son fondateur.

Le PDG du Groupe CERCO affirme avoir échappé bel aux chantages et montages grotesques fabriquées de toutes pièces par ses détracteurs qu’il a pu identifier. Tels des prophètes, ces détracteurs ont « prédit » la fermeture de l’université CERCO. Un pur montage de ces derniers via leurs moyens de communication. De l’intox simplement pour le faire mordre à l’appât, semble dénoncer Dr Alain Capo Chichi. Des rumeurs qui sont de nature à mettre en doute la crédibilité et la probité du PDG-CERCO et son groupe qui ne sont donc ni fondées ni vérifiées. « Le Groupe Cerco et moi même avions été victimes d’une tentative d’escroquerie »n informe Alain Capo Chichi.

La justice a été saisie, de même que la police. Et Dr Alain Capo Chichi invite ses détracteurs à se présenter à la police et non rester dans le maquis. « J’ai eu mal, j’espère que justice sera faite au nom de la loi », a conclu Dr Alain Capo-CHICHI.

Propos liminaires du PDG du Groupe Cerco

« Depuis un certain moment, des propos graves, injurieux et calomnieux, sont diffusés sur le groupe CERCO et moi-même dans certains journaux. J’ai pris le temps de comprendre cette cabale, cette méchanceté qui remet en cause mon système de valeurs et les valeurs de CERCO : solidarité, responsabilité sociale. J’ai décidé finalement de réagir surtout après que le DP du journal « l’Audace infos » actuellement en fuite, dans un fichier diffusé sur les réseaux sociaux ait tenté de m’insulter, de salir l’image de la police républicaine qui voulait juste l’écouter non pas pour diffamation mais pour faux et usage de faux et tentatives d’escroquerie. C’est bizarre qu’au lieu de répondre à une simple convocation, il invite la HAAC, l’ODEM et l’UPMB à réagir à sa place. Je voudrais d’entrée vous dire que le sieur Romuald ALINGO, DP du journal l’Audace infos au lieu de fuir, et d’inviter d’autres journalistes à la révolte contre la police, la brigade de cybercriminalité ferait mieux de se présenter à la police pour répondre aux questions. Pourquoi il est en cavale s’il ne se reproche rien ? Beaucoup de béninois reçoivent des convocations de la police et se présentent comme présumés innocents.
Messieurs les journalistes , je peux sans risque de me tromper au regard des documents en ma possession et des documents de preuve jointes à la plainte déposée à la police que Romuald ALINGO utilise son titre de journaliste pour faire du faux et usage de faux et abuser de la confiance des béninois et de nombreux citoyens directeurs de société au Bénin. ….Pour le cas du groupe CERCO, les premiers articles que j’appelle des articles d’appel de pied ou de bip, pour provoquer la victime sont apparus dans Diaspora de sabbat, journal officiellement reconnu. Nous avons refusé de négocier et avons délivré une assignation après sommation interpellatrice. Ensuite pour augmenter la pression et nous faire plier par la calomnie et injures publiques, les mêmes journalistes ont utilisé un journal fictif « Quotidien du jour »…. Le siège du journal est faux, son numéro d’enregistrement également est faux. Les articles du quotidien du jour annoncés à la une, sont juste des titres qui ne sont jamais développés malgré qu’ils annoncent leur développement à la page 11. En réalité, ils utilisent juste le titre de la une des journaux pour mettre la pression psychologique sur la victime pour après proposer leurs services de médiation, non pas avec le journal officiel mais avec le journal fictif. Les deux étant créés par la même personne. Nous en avons été victime et je vous explique le mode opératoire et quelques éléments de preuves. Une simple lecture des manchettes des journaux qu’ils publient à savoir : « La Diaspora De Sabbat », « L’audace Info » et le « Quotidien du jour » permet de faire les observations suivantes :
• D’abord, ces trois (03) journaux publient régulièrement les mêmes informations sur la même victime (Groupe CERCO et Alain CAPO-CHICHI), ce qui montre le lien de connectivité tout au moins au niveau des sources d’informations, entre ces trois (03) journaux ;
• Ensuite « L’audace Info » et « Quotidien du jour » publient des titres identiques à leur manchette avec les mêmes caractères de police à la seule différence de la couleur de police : ce qui montre, pour les techniciens en montage PAO, que c’est le même gabarit de police qui est utilisé et potentiellement donc ces journaux sont montés sur le même ordinateur. « L’audace Info » et « Quotidien du jour sont postés sur WhatsApp au même moment par Romuald ALINGO. Il doit sans doute détenir les fichiers numériques de ces deux journaux. Il doit donc dire auprès de qui, il prend ces fichiers. Surtout que le journal « Quotidien du jour », n’a jamais existé physiquement et curieusement n’apparaît que sur les réseaux sociaux. Il n’existe aucun support physique ou numérique de journal complet avec des articles annoncés à la une de ce Quotidien.
• Certaines manchettes du « Quotidien du jour », signalent que l’article sera développé à la page 11 mais nous n’avons jamais pu voir le journal papier lui-même ni le journal numérique ce qui montre que le lecteur est induit en erreur car la UNE annonce quelque chose qui ne sera jamais développé quelque part dans le journal complet. Par ailleurs, dans nos investigations, on s’est rendu à l’évidence que :
- L’huissier commis par le groupe CERCO a constaté que le siège social indiqué sur le journal, sis au C/756 à ZOGBO, n’existe pas en réalité et n’a constaté aucun bureau du journal à cette adresse.
- L’huissier a également constaté que le journal « Quotidien du jour », n’a jamais été enregistré au Bénin. Le N°1250/MISD/DC/SG/DGAI est un faux numéro d’enregistrement.
Donc curieusement sans existence légale, ni existence physique, ce journal apparaît à la UNE des journaux et est cité abondamment par la radio et sur les réseaux sociaux, WhatsApp et Facebook.
- Nous avons observé également que les articles diffamatoires et injurieux de ces journaux sont postés à la même minute par ALINGO Romuald Yves sur sa propre page Facebook, dans le « Groupe Canal Info » sur Facebook et dans le Groupe WhatsApp de « Presse béninoise » dont il est l’administrateur principal. Il publie aussi ces articles dans le Groupe de WhatsApp « Palabre » ayant pour administrateur principal ADJIKPA Claude.
- Le numéro de téléphone WhatsApp qui publie instantanément le journal fictif « Quotidien du jour », est enregistré au nom de Romuald Yves ALINGO, qui est donc le cerveau de cette escroquerie. Pour preuve, il a finalement jeté le masque en me contactant sur Facebook le 06 Août 2016 à 20h10mn aux fins de me proposer un règlement de cette situation auprès de ses confrères du « Quotidien du Jour » qui, selon ses écrits, pouvaient revenir sur leurs déclarations après négociations ; et ainsi sauver la rentrée de notre école. En réalité, il ira négocier avec lui-même car c’est lui qui est, le jour directeur de AUDACE INFO et la nuit numériquement devient Rédacteur, Monteur et Directeur de Publication du journal « Quotidien du Jour ».
Eu égard à tout ce qui précède, il sied de tirer les conclusions ci-après :
- ALINGO Romuald Yves et ADJIKPA Claude ont bel et bien organisé un réseau pour escroquer le Groupe CERCO et ses responsables, en organisant une cabale à la veille d’une rentrée.
- Ils utilisent le « Quotidien du jour » principalement comme moyen le plus sûr de diffusion de propos mensongers et injurieux pour échapper à toute poursuite, car utilisant un Rédacteur d’identité fictive, ce qui à mon sens, est du faux, usage de faux et abus de confiance. Ils publient de petits titres diffamatoires pour susciter une réaction de la part de la victime, puis font des publications alarmantes, injurieuses et effroyables de nature à atteindre psychologiquement cette dernière aux fins de l’amener à payer une somme d’argent pour mettre terme aux publications. Ils sont donc des arnaqueurs par voie d’internet. Toutes considérations et analyses faites, il n’y a donc aucun doute que le Groupe CERCO et Alain CAPO-CHICHI sont victimes de la cybercriminalité et de propos injurieux, car les articles annoncés à grands renforts, n’ont jamais de contenus physiques et manquent de développement des faits évoqués et de sources fiables.
La Brigade de Cybercriminalité de Cotonou et le Tribunal sont saisis, et nous espérons que justice sera rendue au nom de la loi. Nous avons appris sur les réseaux sociaux que ALINGO Romuald Yves a posté qu’il est à l’intérieur du pays et a ainsi refusé de répondre aux convocations. S’il sait qu’il ne se reproche rien, il doit alors se présenter pour répondre de ses actes.
Aux parents d’étudiants, je les rassure que CERCO est bel et bien autorisé, quinze (15) diplômes de CERCO sont reconnus par le ministère de l’enseignement supérieur et n’importe quel parent peut se rendre à la Direction Générale de l’Enseignement Supérieur pour vérifier. Justice doit être faite. Je vous remercie.
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