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Crise socio-économique: Les béninois perdent patience malgré la bonne volonté du gouvernement
Publié le jeudi 13 octobre 2016  |  24 heures au Bénin
Patrice
© Autre presse par DR
Patrice Talon,le président béninois




Depuis l’arrivée au Pouvoir du Président Patrice Talon, le 06 avril 2016, des crises socio-économiques se multiplient et se développent comme des champignons. Les mesures prises par le gouvernement tardent à porter leurs fruits. Les populations perdent patience.

Selon les béninois, le Gouvernement du Président Patrice Talon peine à trouver des solutions appropriées à la crise socio-économique que traverse le pays. Pour les population, au lieu d’atténuer les tensions, le pouvoir les aggrave. La première illustration ; est le développement de la crise à l’université d’Abomey-Calavi. Pour nos concitoyens le régime de la rupture a laissé pourrir la situation. La polémique autour du système Lmd (Licence master doctorat) se posait depuis le temps de l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur, François Abiola. Ce dernier, avec l’appui du Chef de l’Etat d’alors, Boni Yayi, trouvait une solution consensuelle au différend entre enseignants et étudiants sur ledit campus.
On se souvient que l’ancien régime avait obtenu l’organisation de la session de rattrapage à la Faculté des lettres, arts et sciences humaines (Flash) après négociations avec les enseignants. La tension entre enseignants et étudiants a baissé. Mais, à l’ère de la Rupture et du Nouveau départ, rien n’a été fait de manière concrète pour solutionner le problème. Il y a eu assez de soulèvements sur le campus.
Le ministre de l’Enseignement supérieur, Odile Athanasso est restée inactive. La crise s’est amplifiée avec comme effet la bastonnade des étudiants devant la bourse du travail à Cotonou sous prétexte qu’ils ont violé des lignes rouges du Préfet du Littoral, Modeste Toboula. La suite, c’est le renvoi de 21 responsables d’étudiants des universités publiques du Bénin pour cinq ans. Qu’est-ce qu’il faut faire pour corriger la situation ? Toujours rien du côté du Gouvernement. Après, on assiste à l’escalade de la violation au campus d’Abomey-Calavi.
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