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La Nouvelle Tribune N° 2499 du 22/2/2013

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L’Iniref recommande les langues maternelles comme support des savoirs scientifiques
Publié le dimanche 24 fevrier 2013   |  La Nouvelle Tribune




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A l’occasion de la journée commémorative des langues maternelles et de la fête des peuples, s’est déroulé, hier 21 Février à l’Isba de Cotonou, un colloque consacré aux maux de l’école béninoise et aux perspectives pouvant éradiquer ces maux. C’est une initiative de l’Institut international de recherche et de la formation (Iniref) et de la Convention patriotique des forces de la gauche.

Diagnostic. Désormais, les décideurs politiques du secteur de l’éducation savent à quoi s’en tenir pour mettre fin à la ruine de l’école béninoise. En effet, l’école béninoise et ses maux ont été au cœur des échanges, visiblement très enrichissants, d’un colloque qui s’est déroulé, hier 21 Février 2013 à l’Isba de Cotonou. Ces discussions consacrées à l’école béninoise ont connu la participation de toute la chaîne éducative, des jeunes, des apprenants, des organisations syndicales aux professeurs des trois ordres de l’enseignement. Au total, huit communications ont été présentées, suivies de débats.

Passée au peigne fin par les différents communicateurs, l’école béninoise, de la maternelle au supérieur, est bien en crise. Cette crise a pour nom, l’inadéquation entre formation et emploi. Aux dires du président du comité d’organisation du colloque, le professeur Philippe Noudjènoumè, «la non adéquation des formations des apprenants aux besoins de la société béninoise, est la preuve de ce que l’école béninoise est en crise». Aussi, «l’école béninoise demeure encore de type colonial», a-t-il ajouté. Mais ces deux problèmes ont un dénominateur commun. «C’est la difficulté d’accès à l’information par les populations et ce, parce que les données sont exclusivement en Français».
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