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Christine Lagarde : « Pour éradiquer la corruption, mieux vaut traquer les tigres que les mouches »
Publié le mercredi 22 fevrier 2017  |  Jeune Afrique
Sénégal:
© aCotonou.com par Mousnabi
Sénégal: Christine Lagarde effectue une visite au siège de la BCEAO
Vendredi 30 Janvier 2015. Sénégal. Au deuxième jour de sa visite, la Directrice Générale du Fonds Monétaire International, Christine Lagarde a effectué une visite au siège de la Banque Centrale des États de l`Afrique de l`Ouest (BCEAO). Elle a été reçue par le Gouverneur Tiémoko Meyliet Koné.




Lors de sa visite en Centrafrique, en Ouganda et à Maurice fin janvier, la directrice générale du FMI a analysé la santé « des Afriques » et mis en avant la lutte contre les inégalités. Une nécessité pour l’économie planétaire et une manière de redorer l’image du Fonds sur le continent.

Dans la cour d’une ONG de lutte contre les violences à Kampala, elle esquisse un déhanchement au rythme des tam-tams qui l’accueillent. À la faculté d’économie et de gestion de Bangui, elle demande au doyen d’accorder la parole aux étudiantes autant qu’aux étudiants… Le point fort de Christine Lagarde, la très « chic » directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), en visite en Centrafrique, en Ouganda et à Maurice du 24 au 30 janvier, c’est l’empathie dont elle sait faire preuve. Reconduite en février 2016 pour un deuxième mandat de cinq ans à la tête du Fonds, elle a choisi de se rendre à la fois en terres anglophones et francophones.

Empathique

À tous ceux – et ils sont nombreux selon les sondages ­– qui lui demandent de rentrer en France et de briguer l’Élysée, elle répond qu’il n’en est pas question. La vive blessure infligée par l’extravagante vraie-fausse condamnation de la Cour de Justice de la République pour « négligence » dans l’arbitrage Tapie, qu’elle eut à connaître en tant que ministre des Finances de Nicolas Sarkozy, l’incitera encore moins à revenir dans le marigot hexagonal. D’autant qu’à Washington elle s’est épanouie en « Madame Monde », loin des miasmes politiciens. Ses interlocuteurs sont désormais les chefs d’État, Premiers ministres, ministres des Finances et gouverneurs des banques centrales des 189 pays membres du FMI.
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