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« Il y a de l’espoir », Benoit Dègla; bilan positif pour Badirou Aguèmon
Publié le jeudi 6 avril 2017  |  Le Matinal
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© aCotonou.com par DR
Le député Benoit Dègla de la 10ème circonscription électorale, élu sur la liste des Forces cauris pour un Bénin émergent FCBE et Badirou Aguèmou du Parti du renouveau démocratique PRD




Après douze mois de gestion du pouvoir d’Etat par le 4ème président de la République à l’ère du renouveau démocratique, quelques acteurs se sont prononcés sur le bilan du président Patrice Talon. Badirou Aguèmou, député proche de la mouvance dresse un bilan positif. « Je crois qu’il y a un certain nombre de choses qui ont été mises en œuvre. Si on doit faire le bilan, c’est un bilan positif à mon avis », a-t-il laissé entendre. L’annulation des concours à polémique, la désignation des 12 chefs lieux des départements du Bénin sont quelques exploits réalisés par le chef de l’Etat selon certains citoyens. Pendant ce temps, d’autres peignent en noir les 12 mois de gestion au sommet de l’Etat. « Je n’ai rien trouvé de nouveau. Nous sommes toujours au même niveau qu’en 2016. Ça chauffe. Nous avons fait un an dans le vide », c’est du moins ce qu’on peut retenir de l’avis de quelques citoyens rencontrés dans la ville de Cotonou. S’agissant du projet de la révision de la constitution, le député Benoit Dègla de la 10ème circonscription électorale, élu sur la liste des Forces cauris pour un Bénin émergent Fcbe et Badirou Aguèmou du Parti du renouveau démocratique Prd font partie de ceux qui estiment que le président Patrice Talon ne fait que respecter une promesse de campagne. Toutefois, Benoit Dègla pense tout de même que l’opération de déguerpissement a affecté le projet de révision de la constitution. « C’est vrai que les conditions dans lesquelles cette révision est parvenue au parlement font qu’il y a des grincements de dents. Parce que les gens ont tendance à mélanger l’opération de libération des espaces publics à cette révision de la constitution. Moi, je dis qu’il faut faire la part des choses. Nous pensons qu’il faut avoir de l’espoir », a-t-il conclu.

Laure Assankpon
(Stag)
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