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Opinion/Coronavirus/Les leçons africaines: Une tribune de Dorothée Kindé-Gazard et de plusieurs anciens ministres de la santé

L`événement Précis -  15/5/2020 -  L’Afrique a démontré face à la pandémie une capacité d’adaptation et d’innovation sur laquelle il faudra capitaliser. Mais d’autres maladies viendront et le système de santé global, solidaire et durable dont le continent a besoin reste à bâtir. C’est la conviction de cinq anciens ministres de la Santé. Cette tribune est co-signée par: Nora Berra, ancien ministre de la Santé, France, Abdou Fall, ancien ministre de la Santé, Sénégal, Dorothée Kindé-Gazard, ancien ministre de la Santé, Bénin, Samira Meraï-Friaa, ancien ministre de la Santé, Tunisie La pandémie du Covid-19 a surpris tant par sa brutalité d’apparition que par son effet dévastateur sur les populations à l’échelle du monde. Chaque pays a été pris de court, essayant d’apporter les réponses politiques et sanitaires à la hauteur de la crise. Même si l’activité humaine reprend désormais dans la plupart des pays touchés en Asie et qu’en Europe les stratégies de déconfinement se préparent, le covid19 continue à menacer. La situation sanitaire inédite a suscité et nourri beaucoup de débats. Alors qu’en France, les tergiversations portaient sur la capacité à multiplier les lits de réanimation, sur la disponibilité d’équipements de protection comme les masques ou sur la pertinence de l’utilisation de chloroquine, au Royaume Uni ou aux États-Unis, on se demandait s’il fallait confiner les populations ou laisser se développer une immunité de masse. En Afrique, les autorités ne se sont pas laissé surprendre. Sur le continent africain, la situation a été toute autre, marquée par des décisions rapides et efficaces. À la faveur de la survenue plus tardive de l’épidémie en Afrique, les autorités ne se sont pas laissé surprendre, bénéficiant de l’expérience de la gestion de l’épidémie sur les autres continents. Ainsi, des mesures sanitaires, financières et sécuritaires avec un confinement plus ou moins strict, ou un couvre-feu, selon les pays, ont été prises précocement. Quant au traitement par chloroquine, bien connu en Afrique, il a souvent été instauré systématiquement. Réactivité des États La fragilité des systèmes de santé en Afrique n’a pas empêché la réactivité des États ; souvent la riposte a profité d’équipements et d’un savoir-faire hérités des épidémies antérieures, notamment de la gestion de l’épidémie d’Ebola, qui a doté les pays concernés de ressources humaines compétentes et d’infrastructures adaptées. L’expérience du triage des patients à l’entrée des hôpitaux a été un acquis supplémentaire. Même la faible densité médicale a parfois été compensée par des acteurs certes de nature culturelle et propre à l’Afrique, mais efficaces : les relais communautaires qui, à travers leurs comités locaux, ont participé activement à la sensibilisation des populations, avec une utilisation importante des réseaux sociaux, les autorités religieuses qui ont elles aussi pris des décisions pour endiguer l’épidémie. Innovations locales Mais le plus spectaculaire est la capacité de la société civile et des autorités à développer et soutenir des innovations locales. L’absence de mécanismes de solidarité internationale face au Covid-19 a engendré une émulation créatrice immédiate. Très vite, le Maroc était en capacité de produire cinq millions de masques par jour, rendant jaloux bien des pays occidentaux. Au Sénégal, de jeunes chercheurs ont conçu et fabriqué rapidement et à bas coût des respirateurs artificiels. L’Afrique a su créer son écosystème pour faire face à la pandémie Les solutions technologiques sont nombreuses, à chaque fois adaptées à l’environnement local et aux moyens disponibles : applications numériques pour informer et recenser les cas (Algérie), détecter et lutter contre les fausses informations (Tunisie) ou réaliser des autodiagnostics (Burkina Faso), drones autonomes pour livrer des fournitures médicales ou des médicaments (Nigéria), plateforme de télédiagnostic utilisant l’intelligence artificielle pour le diagnostic du Covid-19 (Kenya), dispositifs mécaniques de lavage des mains et de bavettes en tissu ou masques alternatifs (Bénin), etc… Capitaliser sur l’inventivité Bref, l’Afrique a su créer son écosystème pour faire face à la pandémie. Cependant, l’arbre ne doit pas cacher la forêt. Parmi les 3,5 millions de cas répertoriés dans le monde, seuls 12 % sont recensés sur le continent africain et ces cas sont moins graves. Pourtant, l’Afrique n’est pas à l’abri de nouvelles crises sanitaires bien plus dévastatrices au regard des évolutions épidémiologiques annoncées, en terme de maladies infectieuses ou chroniques, et les systèmes de santé actuels ne seront pas assez solides. Pour y face, il faudra capitaliser sur l’inventivité des pays du sud, s’inspirer des approches innovationnelles plus frugales et agiles qui pourront s’adapter en période de crise et enfin ouvrir la voie aux partenariats public-privé en santé. Il faudra aussi enfin bâtir ce système global, solidaire et durable, s’appuyant sur des coopérations scientifiques et sanitaires solides, des transferts de compétences médicales et stratégiques et faire émerger des partenariats justes et équitables.

Lutte contre la pandémie du Coronavirus au Bénin : Voici la stratégie du gouvernement face au Covid-19

24 heures au Bénin -  11/4/2020 -  Selon le ministre de la santé, la stratégie gouvernementale est de ne pas prendre en charge les cas positifs du Covid-19 au niveau des structures sanitaires habituelles. D’où la décision d’ériger un certain nombre de sites de prise en charge, et qui a conduit à l’identification initiale du site de l’ex école de la police nationale, du centre d’Abomey-Calavi et de celui de Natitingou. Au-delà de tout ceci, le gouvernement observant ce qui se passe, a jugé nécessaire d’augmenter les capacités, a expliqué le ministre Hounkpatin. Ainsi, la décision d’ériger l’hôpital de zone d’Allada et l’hôpital d’instruction des armées de Parakou en centres de traitement a été prise. L’hôpital de zone d’Allada selon le ministre, a toutes les capacités requises pour être transformé en centre de pris en charge. En dehors de cela, il a une capacité d’au moins 100 lits extensible à 150. C’est un hôpital qui offre également l’avantage géographique d’être assez reculé ; ce qui permet de respecter une prise en charge sécurisée pour le reste de la population, a-t-il expliqué. Tous ces éléments selon Benjamin Hounkpatin, ont milité en faveur de la décision gouvernementale d’ériger cet hôpital en site de prise en charge de la Covid-19. A l’en croire, c’est le Centre de dépistage de l’ulcère de buruli qui dispose de deux blocs opératoires, et attenant au Centre de santé de la commune, qui fait office aujourd’hui, d’hôpital de zone à Allada. Le personnel a été en partie déplacé, et le reste va rester sur le site et participer à la prise en charge des cas au sein de l’équipe de riposte, a expliqué le ministre. Selon Benjamin Hounkpatin, le gouvernement dispose déjà d’une centrale de production d’oxygène avec au moins 20 entrées qui permettent la mise en place de dispositifs pour une ventilation assistée pour les cas compliqués. Le ministre de la santé exhorte les populations à accompagner le gouvernement dans la dynamique de riposte qui est mis en place en respectant scrupuleusement l’usage du masque fortement recommandé au sein du cordon sanitaire, la mesure de lavage régulier de mains, l’usage de gels hydro alcooliques et autres. Le Bénin à la date de ce vendredi 10 avril 2020 compte 35 cas confirmés dont 03 cas autochtones.

En vérité : Gentlemen malgré tout !

Fraternité -  2/8/2017 -  C’est l’image de la commémoration de la fête nationale. Surprise des surprises, l’ancien président Nicéphore Soglo a marqué de sa présence le défilé du 1er Août. Dans un contexte particulièrement vicié par les déboires de son fils Léhady et ses récriminations contre le régime en place, peu de gens l’y attendaient. Et, s’il y était pour faire le buzz, il a tout simplement réussi. Pas sûr que son absence nourrisse autant la polémique. En effet, de sa présence et posture au défilé du 1er août, chacun y est allé de son commentaire. Les uns ont retenu qu’en dépit des brouilles de sa famille avec les autorités politico-administratives, il a pris de la hauteur et a fait le déplacement de la place de l’Etoile Rouge. Les autres n’oublieront pas de sitôt qu’il ne s’est pas levé pour saluer le chef de l’Etat. Que vautré dans sa chaise, il a manqué de respect à l’institution que représente le président Talon et, à la limite, est passé à côté de l’événement. Possible qu’hier, il a été donné aux Béninois d’assister à un geste de mécontentement ou de féodalité de l’ancien président. Evidemment, nous sommes dans une République et sans une raison solide de papy Nicéphore, son geste ne s’explique pas. Mais, une autre image, cette fois-ci plus belle, nous amène à considérer que la page du triste incident à la place de l’Etoile rouge est refermée. Du moins, après la cérémonie de commémoration de la fête de l’indépendance, le patriarche Soglo s’est bien rattrapé de sa méprise. Aussitôt le défilé terminé, il a pris son bâton de pèlerin pour se rendre respectivement au domicile des présidents Houngbédji et Talon. De loin, c’est surtout cette démarche qui importe. C’est ce symbole qu’il faut pérenniser. Il apaise les cœurs et met fin aux supputations. Déjà, voir Nicéphore Soglo chez Adrien Houngbédji, un potentiel médiateur auprès de celui-là qu’on soupçonne de tirer les ficelles de la crise à la Rb et de la suspension du maire Léhady n’est pas anodin. Ensuite, que l’ancien président Soglo soit reçu par le président Talon et qu’ils se disent des vérités en face, il n’y a rien de plus réconfortant. Avec une grandeur d’esprit et assez d’élégance, les deux hommes d’Etat se sont illustrés. Maintenant, aux jouisseurs de retenir la leçon : il ne faut jamais se fier au spectacle politique. Les postures présentées en public, ne sont que des postures. Rien de plus. Derrière le rideau, il a beaucoup de choses qui se passent et qui nous échappent. Alors, sachons raison garder ou plutôt, occupons-nous de nos oignons. Sans tambour ni trompette, ce sont les mêmes aujourd’hui à couteaux tirés, qui demain joueront aux amoureux. Et nous autres, cocufiés n’aurons nos yeux que pour pleurer. Moi, du 1er août, je préfère retenir l’essentiel. Devant la morosité économique et les défis d’un Bénin prospère, rien n’est plus important que les grands chantiers annoncés, l’initiative Présidentielle de promotion de l’excellence dès l’année prochaine et la volonté inébranlable du chef de l’Etat d’aller toujours de l’avant. C’est d’abord ça. Le reste n’est que détails ! 2-08-2017, Angelo DOSSOUMOU

Paiement de 30 millions 887 mille 585 Fcfa pour les cotisations sociales : Charles Toko soucieux de l’amélioration des conditions de vie du personnel

Matin libre -  20/7/2017 -  Le maire de la commune de Parakou a libéré un chèque de 30 millions 887 mille 585 Fcfa. Ce chèque représente l'ensemble des arriérés de cotisations sociales de la mairie vis à vis de la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss). Ce chèque signé par le maire, Charles Toko, va permettre d'éponger tous les arriérés de la mairie de Parakou datant de la période d'avant de la décentralisation.La libération de ce chèque est la réponse positive de l’exécutif de la municipalité de Parakou à la revendication des responsables syndicaux de la mairie de Parakou, qui ont réclamé le paiement de ces dettes de la mairie vis-à-vis de la caisse de sécurité sociale afin de soulager les peines des travailleurs de la mairie. C’est pourquoi, Maryse Agoua et Charles Hinvi respectivement secrétaire général et secrétaire général adjoint du Syndicat des Travailleurs de la mairie de Parakou se sont réjouis de ce que le maire Charles Toko a donné satisfaction à leur revendication en libérant un chèque de 30 millions 887 mille 585 Fcfa. Ce qui démontre de sa grande capacité d’écoute des problèmes du personnel de la mairie et surtout son souci de les solutionner. C’est pour témoigner leur gratitude au maire CharlesToko et à son équipe et également exprimer leur joie, que le Sg du syndicat et son adjoint étaient face à la presse. Maryse Agoua et Charles Hinvi ont saisi l'occasion pour demander à leurs syndiqués de se mettre davantage au travail afin de renflouer les caisses de la mairie pour permettre à la municipalité de disposer des ressources financières nécessaires pour s’acquitter des cotisations afin qu'il n'y ait plus jamais d’arriéré. Les deux responsables syndicaux n’ont pas manqué de lancer un appel à l’endroit des travailleurs de la mairie par rapport au comportement vertueux à observer vis-à-vis des usagers pour la bonne marche du travail. Les responsables syndicaux ont pris l’engagement d’accompagner le maire Charles Toko et son équipe dans tout ce qu'ils entreprendront pour le développement de la commune de Parakou. La libération du chèque par le maire Charles Toko et son équipe vient soulager les peines des travailleurs de la municipalité et donner la preuve de ce qu'ils ont à cœur l'amélioration des conditions de vie et de travail du personnel de la mairie. Ce qui vient traduire sa volonté de mettre les ressources humaines au cœur de ses actions. Albérique HOUNDJO (Br Borgou-Alibori)

Commissariat central de Cotonou : Le Commissaire Edouard Konfo limogé

Fraternité -  15/12/2016 -  Le commissaire central de la ville de Cotonou Edouard Babatoundé Konfo est contraint de céder le commandement. Nommé à la faveur du dernier redéploiement à la police nationale, et installé dans ses fonctions le 23 novembre dernier, il a été limogé hier par le Directeur Général de la Police Nationale, le contrôleur général de police Idrissou Moukaila. Ce commissaire principal de police n’aura donc servi à son nouveau poste que pendant seulement trois semaines. Les raisons de ce limogeage ne sont pas encore élucidées. En prenant fonction des mains de son frère d’arme de la même promotion, Lambert Agblo, le commissaire principal de police Édouard Konfo s’était engagé à mettre à l’œuvre les hommes à sa disposition pour relever les défis sécuritaires auxquels fait face la capitale économique du Bénin. Il reviendra désormais à son successeur, dont la nomination devra intervenir dans les tout prochains jours, de prendre le relais. En attendant, l’intérim est assuré par le commissaire central adjoint Noudofinin. Fulbert ADJIMEHOSSOU

Eric HOUNDETE remercie ses soutiens sur Facebook

24 heures au Bénin -  28/12/2014 -  Bonjour chers amis, je vous dis merci pour vos nombreux témoignages de soutien et de fidélité. Aujourd’hui, vous êtes plus de 30000 à me soutenir sur Facebook. Encore MERCI.

Le Réseau sur la lutte antihelminthique et ses conséquencessur la santé des populations lancé à Cotonou

Xinhua -  26/1/2014 -  Bénin - Le projet "Réseau sur la lutte antihelminthique et ses conséquences sur la santé des populations (RELACS)", a été officiellement lancé vendredi dans la salle de conférence de l'Institut des Sciences Biomédicales Appliquées (ISBA) de Cotonou. Financé par le ministère des Affaires étrangères et européennes (MAEE) pour une durée de 3 ans, ce projet concerne des équipes de recherche du Mali, du Bénin, du Gabon, du Ghana et de la France Pour le coordinateur du RELACS, le Prof Ogobara Doumbo, l'é mergence de ce réseau permettra de rassembler des chercheurs et enseignants/chercheurs spécialistes en parasitologie, immunologie, épidémiologie, atopie, biostatistique et anthropologie pour animer des formations, encadrer des étudiants et développer des projets de recherche axés sur les helminthes, leurs traitements et les conséquences de ces derniers sur la santé des populations. "Les infections par les helminthes à l'origine des gé ohelminthiases (helminthiases transmises par le sol) ou schistosomoses demeurent un problème de santé publique majeur en Afrique subsaharienne", a-t-il déploré Ainsi, selon une étude réalisée par l'Organisation mondiale de la santé en 2011, le nombre de personnes touchées par ces maladies négligées reste encore élevé avec plus d'un milliard de personnes infectées par les géohelminthiases et environ 207 millions de personnes atteintes de schistosomoses. Fin

Vote pour l’envoi d’anciens ministres devant la Haute Cour : Voici ce que chaque député a dit

Autre presse -  25/2/2013 -  Le vendredi 22 février 2013, la séance plénière des députés de la 6ème Législature ont examiné et adopté les différentes décisions de poursuite d’anciens ministres devant la Haute Cour de Justice. Ce sont les dossiers relatifs au chantier du siège de l’Assemblée nationale ( Noudégbessi et Lawani), à la vente d’une partie de lu chantier du siège de l’Assemblée nationale ( Noudégbessi et Lawani), à la vente d’une partie de l’ambassade du Bénin à New-York( Biaou) et à la Cen-Sad ( Lawani). Pour chacun des dossiers, les députés se sont expliqués. Voici ce que chacun d’eux a dit. Francis Z. OKOYA

Alerte Info : Quatre généraux viennent d’être nommés à la Police Nationale

Autre presse -  25/2/2013 -  Quatre généraux viennent d’être nommés a la Police Nationale : Osséni Anki Dosso, Francis Awagbe, Emmanuel Agani, Célestin Guidimey. Cette nomination est intervenue au sein de la Police nationale à l’issue du Conseil des Ministres spécialement tenue ce dimanche 24 février 2013.

CAN-2013 - Focus/ La déclaration du jour: "C`est mieux de gagner une fois dans la vie que d`aller en quart à chaque fois et ne jamais rien gagner"

AFP -  29/1/2013 -  Le sélectionneur de la Zambie Hervé Renard a relativisé "l'échec" de son équipe, tenante du titre et éliminée dès le premier tour après son 0-0 face au Burkina Faso. "C'est mieux de gagner une fois dans la vie que d'aller en quart à chaque fois et ne jamais rien gagner, a dit le Français. Ca n'efface pas l'échec, mais je suis très fier de mes joueurs. Même dans les moments difficiles, il faut faire les bonnes analyses. Tout le monde est triste, bien sûr, mais on a fait le maximum. Les joueurs ont fait un très bon match mais n'ont pas marqué".

CAN-2013 / Les cancans de la CAN : Précaution

AFP -  28/1/2013 -  Afin de prévenir d'éventuels débordements de la part des supporteurs de la RD Congo pendant le match contre le Mali, des policiers ont été massés juste devant leur tribune dans le stade de Durban et des barrières déployées. Les organisateurs avaient sans doute en mémoire l'envahissement du terrain par deux fans congolais après l'égalisation face au Ghana à Port Elizabeth (2-2).

CAN-2013 / Les cancans de la CAN : Sacrifice

AFP -  27/1/2013 -  Le capitaine du Ghana, Asamoah Gyan, est connu pour sa fierté. Il en a donné un aperçu dans d`étonnantes déclarations rapportées par sa Fédération (GFA). "Je ne pense pas à marquer en ce moment, je pense à me sacrifier pour l`équipe. En tant que leader, j`ai beaucoup donné à mon pays et il est temps maintenant pour moi de me sacrifier pour l`équipe. A chaque fois qu`on joue, j`ai deux défenseurs sur moi, donc je dois me sacrifier. Quand j`aurai une occasion, je répondrai présent. On me critique pour avoir manqué des occasions ? Je n`ai pas raté quelques occasions. Je me sacrifie et fais des efforts pour aider l`équipe. Si la balle ne va pas au fond, ça ne veut pas dire que je rate des occasions".

CAN-2013 / Les cancans de la CAN : Reproduction

AFP -  27/1/2013 -  Hasard du calendrier, l'opposition Côte d'Ivoire-Tunisie (3-0), samedi à Rustenburg, s'était déjà produite un 26 janvier, dans une CAN (en 1996), en Afrique du Sud (à Port Elizabeth). Mais la répétition s'arrête là, puisque les Aigles de Carthage avaient alors dominé les Eléphants 3-1.