Chaque jour les laudateurs de l’ex régime entonnent le même refrain. Les temps sont durs. L’argent ne circule plus. Le panier de la ménagère est vide. Les réformes sont très difficiles à vivre et le gouvernement ne fait pas du social. Autant de propos qui n’attestent pas la réalité sous le Nouveau départ.
Sans l’ombre d’un doute, le social est le cheval de bataille du régime du Nouveau départ. En effet, depuis le 06 avril 2016, date de sa prise de fonction, le président Patrice Talon s’est mis résolument au travail afin d’apporter un mieux- être à ses compatriotes. Et ceci passe par des réformes qu’il a entreprises pour l’assainissement des finances publiques. Des mesures comme la gratuité de la césarienne, la gratuité du traitement du paludisme pour les enfants de 0 à 5 ans, la gratuité de la scolarité pour l’enseignement primaire, la gratuité de l’enseignement secondaire jusqu’en classe de 3ème pour les filles ont été maintenues et renforcées. De plus, dans le souci permanent de renforcer le social, le gouvernement du président Talon a décidé de la remise en vigueur des cantines scolaires qui avaient été suspendues sous l’ancien régime pour malversations. Et tout récemment, le conseil des ministres du mercredi 05 juillet 2017 a suspendu la pénalité qui devrait être appliquée aux retardataires pour le payement des taxes sur les véhicules à moteur. Autant de mesures sociales qui impactent le quotidien des Béninois. Mais dans le même temps, des compatriotes de mauvaise foi continuent de dire que l’argent ne circule plus. En effet, habitué à vivre sur le dos de l’Etat depuis des lustres, ils n’ont pas encore compris que le rythme a changé. Les réformes engagées ont induit la fermeture des circuits où l’argent du contribuable béninois était sorti frauduleusement. Les marches de soutien, les manifestations publiques qui constituaient une source de dilapidation des ressources publiques ne sont plus d’actualité. Dans l’administration, les primes faramineuses ou indument perçues n’ont plus droit de cité. Chaque fonctionnaire est payé au prorata de la tâche accomplie. Mais ces réformes gênent cette minorité qui a grugé pendant des décennies l’Etat béninois au détriment du peuple.
Patrice Talon,un bâtisseur infatigable
Grace aux revenus qu’ont générés l’assainissement des finances publiques, le président Patrice Talon, en bon manager, puisque ayant fait le secteur privé et bénéficiant d’une grande expérience en matière de gestion, a mis ces moyens au profit de l’équipement des forces de défense et de sécurité pour plusieurs milliards. Ce qui est une première. Aujourd’hui, les retraités sont payés à l’indice 1,25 grâce à ces économies réalisées dans le cadre de l’assainissement des finances publiques. Elles ont également permis de maîtriser le délestage qui relève du passé, de renforcer la sécurité des personnes et des biens, de subventionner le projet « Bénin Taxis », de payer désormais de façon mensuelle, les allocations des étudiants. Tous ces nouveaux chantiers ouverts ont été une réussite grâce à la détermination du président Talon qui s’est tracé un chemin pour la réussite de son mandat. La rigueur dans la gestion qu’il a acquise dans le secteur privé est très bénéfique pour le peuple béninois qui lui a confié son destin le 06 avril 2016. Il n’est pas au pouvoir pour se servir, mais servir plutôt le pays qui lui a donné une certaine aisance matérielle avant son accession au pouvoir. La majorité des Béninois l’invitent à tenir bon et ne jamais laisser la pègre continuer à siphonner indument les deniers publics. La prospérité partagée ne sera jamais un vain mot sous le Nouveau départ.
Nelson Avadémey