Les conseils de la médecine actuelle pour les problèmes de prostate sont stupéfiants, limite scandaleux !
Il faudrait :
• S’arrêter de boire dès 18 heures
• Uriner assis (facile avec un urinoir !)
• Porter des couches !
« Mais je vous assure, cher Monsieur, on fait aujourd’hui des couches très confortables pour les adultes. »
Et de toute façon, vous devriez renoncer définitivement à l’idée de pouvoir :
• Dormir profondément, sans interruptions sauvages pendant la nuit
• Vider votre vessie d’un coup, pour avoir moins de faux-départs et d’arrêts imprévus
• Aller au cinéma ou au théâtre sans avoir besoin de vous lever pendant la séance
• Retrouver un jet normal, puissant, bien soutenu…
Pourtant, la nature a tout prévu : elle a le secret pour restaurer un fonctionnement normal de la prostate, et de notre capacité d’uriner.
Encore faut-il comprendre le problème pour choisir les bonnes solutions. La première chose à retenir est que, si rien n’est fait, la prostate gonfle inexorablement.
Prostate : n’attendez pas qu’elle fasse la taille d’une orange !
Pour un jeune homme, la prostate fait la taille d’une châtaigne. Vous ne la sentez pas. Elle n’exerce aucune pression sur votre vessie et votre urètre. Tout va bien.
Puis au fil des années, elle se met à grossir sous l’effet de plusieurs facteurs que je vais vous expliquer dans un instant.
A 50 ans, elle fait la taille d’un citron. Les envies d’uriner deviennent plus fréquentes et plus soudaines. La prostate devient douloureuse. A ce stade, vous avez un risque sur deux de souffrir d’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP). Vous devez forcer pour uriner, votre jet d’urine est faible et saccadé, vous ressentez une sensation de vidange incomplète et une miction goutte à goutte. La pression exercée sur l’urètre entraine également des troubles de l’érection.
A 60 ans, votre prostate peut avoir grossi jusqu’à faire la taille d’une orange. Elle augmente encore la pression sur la vessie et l’urètre. A ce stade, vous avez 9 risques sur 10 de souffrir d’HBP. Vous vous exposez alors à un risque élevé d’impuissance et d’incontinence permanente. Au-delà de 70 ans, 90 % des hommes en souffrent.
Pourquoi la prostate se met-elle soudain à gonfler ?
Plusieurs facteurs expliquent pourquoi la prostate se met à grossir. Il y a les phénomènes qui provoquent des dommages cellulaires comme l’inflammation chronique et l’oxydation et il y a surtout les conséquences de changements hormonaux liés au vieillissement.
Dans les années 1960, des chercheurs chinois ont d’ailleurs découvert que, chez les eunuques, la prostate ne grossit pas : au toucher, celle-ci était indétectable dans 80% des cas. La raison est que la prostate est un organe sexuel sous l’influence des hormones sexuelles masculines.
L’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) est principalement causée par la transformation accélérée de la testostérone naturelle en dihydrotestostérone (DHT), une autre forme de testostérone.
L’alimentation joue un rôle déterminant dans ces changements hormonaux
Ces changements hormonaux sont accélérés et même amplifiés par les dérives récentes de notre mode d’alimentation avec :
• la consommation excessive de produits laitiers ;
• l’ajout d’hormones féminines pour faire grossir plus rapidement le bétail ;
• l’omniprésence des perturbateurs endocriniens dans nos produits du quotidien (cosmétiques, emballages, détergents…) ;
• l’utilisation massive des pesticides et des engrais chimiques pour la production intensive des fruits et légumes.
Tous ces produits ont un impact sur les sécrétions hormonales et favorisent l’hypertrophie prostatique.
C’est pourquoi, il est recommandé de consommer des produits issus de l’agriculture biologique.
Malgré tout, une bonne hygiène de vie ne suffit pas toujours. C’est pourquoi je vais vous indiquer quels sont les meilleurs remèdes naturels contre les problèmes de prostate.
Stoppez l’engrenage le plus tôt possible
Des études scientifiques montrent en effet que certains nutriments ont des effets puissants pour bloquer les mécanismes à l’origine des problèmes de prostate.
Plus ces nutriments sont pris tôt et régulièrement, plus le risque de souffrir de troubles de la prostate est faible. Pour les hommes qui souffrent déjà de problèmes de prostate, ces nutriments peuvent aider à retrouver une vie normale avec :
• une diminution rapide des envies pressantes d’uriner ;
• une capacité retrouvée à vider complètement leur vessie ;
• le retour à un sommeil normal et profond car ils n’ont plus besoin de se lever la nuit pour uriner.
Pour beaucoup d’hommes, ces améliorations sont visibles en quelques semaines seulement.
Ils ont également un avantage de poids : ces remèdes naturels sont sans effets secondaires, contrairement aux traitements conventionnels prescrits pour traiter l’HBP.
Des millions d’hommes commettent cette grave erreur sans le savoir
Contre les problèmes de prostate, les traitements proposés actuellement par la médecine font froid dans le dos.
Puisque ces troubles sont liés à un déséquilibre hormonal, on commence par administrer aux patients des médicaments qui féminisent leurs hormones : la libido s’effondre, les cheveux tombent, les seins poussent et deviennent douloureux (on appelle cela la gynécomastie).
Si ces traitements hormonaux ne marchent pas, ces patients subiront une ablation pure et simple de leur prostate.
Dans les deux cas, les conséquences peuvent être terribles avec un risque élevé d’impuissance ou d’incontinence permanente (ce qui implique de porter des couches).
Voilà pourquoi chaque homme soucieux de protéger sa santé et sa virilité devrait agir le plus tôt possible.
Pour cela, la première étape est tout simplement de connaître quelles sont les plantes et nutriments qui marchent, et comment combiner les meilleurs pour maximiser leurs effets.
En effet, il ne suffit pas de prendre une seule plante, comme par exemple le palmier scie.
Seul, le palmier de Floride (palmier scie) ne suffit pas
La prochaine fois que vous allez en pharmacie ou en magasin bio, regardez la composition des produits naturels pour la prostate. Vous verrez qu’ils utilisent quasiment tous du palmier de Floride (palmier scie ou sabal).
On vous a sans doute déjà raconté que les hommes l’utilisent depuis des siècles, etc, etc.
C’est très bien… mais son efficacité est loin d’être fracassante.
Une simple pilule de palmier de Floride ne fait qu’un effet médiocre. C’est tout juste acceptable si vous avez des problèmes de prostate mineurs.
Pour retrouver vos capacités maximales, aux toilettes comme au lit, vous avez surtout besoin du principe actif puissant qui est à l’intérieur, et sous forme concentrée.
Ce principe a été identifié depuis longtemps, il s’agit du bêta-sitostérol. Son nom scientifique est compliqué, donc appelons-le BTA pour le moment.
Le principe actif dans le palmier scie
Le BTA est le principe actif présent dans le palmier scie.
Lorsque le BTA est suffisamment concentré, il vous permet de vider votre vessie du premier coup, ce qui vous évite de retourner aux toilettes encore et encore.
Une étude majeure a montré que le BTA augmente fortement le flux d’urine – 3,5 fois plus qu’un placebo.
Cette étude était randomisée, en double-aveugle, contrôlée contre placebo et multicentre. 200 hommes ayant une hypertrophie bénigne de la prostate ont reçu de façon aléatoire quotidiennement 180 mg de BTA ou un placebo. Six mois de supplémentation ont amélioré les symptômes de l’hypertrophie de la prostate. Le flux urinaire, entre autres, est passé de 9,9 ml/s à 15,2 ml/s tandis que, chez les sujets témoins, il ne passait que de 10,2 à 11,4 ml/s. De plus, l’urine résiduelle dans la vessie est passée de 65,8 ml à 30,4 ml, soit une réduction de presque 65 % [1].
C’était la première fois qu’une étude de qualité montrait un tel effet d’un produit naturel pour la prostate.
Vous pourriez même craindre que l’effet ne soit trop fort ! Mais ne vous inquiétez pas… vous ne risquez pas d’être transformé en lance à incendie incontrôlable. Au lieu d’uriner quelques gouttes à la fois, le BTA vous permet de vous soulager de plusieurs décilitres d’un coup, ce qui pourrait vous permettre de diviser par deux le temps que vous passez aux toilettes.
Vous n’aurez plus à rester de longues minutes devant l’urinoir, à regarder le mur, en attendant que tombent finalement quelques misérables gouttes.
D’autres plantes contenant de fortes concentrations en BTA ont montré des effets impressionnants contre les problèmes de prostate.
Parmi ces plantes, il y a notamment la racine d’ortie, le prunier d’Afrique et les pépins de courge.
La plante de référence en phytothérapie moderne
Les herboristes appellent l’ortie « la plante aux mille vertus ».
En Allemagne, les autorités de santé ont reconnu ses bienfaits pour traiter les troubles urinaires causés par l’hypertrophie de la prostate.
Les résultats d’une étude clinique de 2013 portant sur 720 patients indiquent que l’extrait d’ortie améliore les symptômes urinaires liés à l’HBP et réduit la taille de la prostate par rapport au placebo [2].
Les feuilles d’ortie contiennent également de la quercétine, un flavonoïde qui soulage les symptômes inflammatoires de la prostate [3].
La racine d’ortie Urtica dioica fait effet à partir de 100 mg par jour.
Le Pygeum africanum contre « la maladie du vieil homme »
Aussi connu sous le nom de prunier d’Afrique, les tribus d’Afrique du Sud utilisaient son écorce pour traiter des troubles de la vessie qu’ils appelaient « la maladie du vieil homme ». Car il aide la vessie à se contracter, ce qui permet d’uriner plus facilement.
D’autre part, le Pygeum africanum ralentit la croissance des cellules de la prostate. Or, les problèmes de prostate viennent du fait que la prostate grossit trop, et bloque l’urètre, le canal qui permet à l’urine de sortir de la vessie. Ralentir la croissance des cellules de la prostate est central dans une stratégie pour rétablir une bonne « miction » (terme médical qui signifie uriner).
Ce remède n’a toutefois pas seulement un usage traditionnel : en Europe, l’extrait d’écorce de Pygeum africanum est aussi utilisé dans le cadre médical pour le traitement de l’hypertrophie bénigne de la prostate depuis le milieu des années 1960 [4].
En 2002 une méta-analyse portant sur 1 562 patients a conclu que le prunier d’Afrique est efficace pour soulager les troubles urinaires liés à l’HBP. L’une de ces études cliniques a montré que les effets bénéfiques du prunier d’Afrique persistaient pendant un mois après l’arrêt du traitement [5].
Les effets sont visibles à partir de 100 mg par jour de Pygeum africanum.
Avec le pépin de courge, vous y retournez moins souvent
L’Organisation Mondiale de la Santé reconnait l’usage médicinal des graines de courge pour soulager les symptômes associés à l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP).
Une étude effectuée sur 60 hommes atteints d’HBP a montré que 90% d’entre eux ont eu une bonne ou très bonne amélioration de leur confort urinaire après avoir reçu de l’huile de pépins de courge pendant 7 à 10 mois [6]. Cela s’est traduit par une réduction des envies soudaines et fréquentes d’uriner, une sensation de vidange complète et un jet d’urine plus puissant et plus régulier.
Les bienfaits du pépin de courge sur le confort urinaire peuvent se faire sentir dès les premières semaines. En effet, dans une étude réalisée sur 2 245 patients atteints d’HBP, le nombre de mictions journalières est passé de 9 à 6 après 12 semaines, à raison de 500 à 1 000 mg d’extrait de graine de courge par jour [7].
Combiner les secrets de la nature pour la prostate
Quand on a identifié les plantes et les nutriments complémentaires, il est possible de potentialiser (augmenter) leurs bienfaits.
Par exemple, les chercheurs ont commencé dès 1995 à associer le palmier de Floride et l’ortie pour obtenir de meilleurs résultats [8]. D’autres études associant le prunier d’Afrique à l’ortie ou au palmier de Floride ont également montré une efficacité plus grande contre les troubles de la prostate [9].
Les combinaisons possibles sont nombreuses et ainsi vous augmentez vos chances de retrouver :
• Un flux urinaire plus puissant, sans vous forcer
• Une meilleure capacité de vidange, pour vider votre vessie d’un coup
• Des nuits de sommeil complètes sans être interrompu par une « horloge biologique » déréglée
• Une prostate en bonne santé, et donc une conscience apaisée.
En plus de ces plantes, il est conseillé d’augmenter vos apports en zinc.
Diminuez le volume de votre prostate avec du zinc
On a montré que plus il y a de zinc dans les cellules de la prostate, moins elles grossissent. Le zinc entraîne aussi un phénomène d’apoptose (suicide des cellules) qui permet de diminuer légèrement le volume de la prostate.
Cet effet apoptotique est dû à l’induction par le zinc d’une autorégulation des gènes de croissance cellulaire dans les mitochondries [10].
À noter que le zinc participe lui aussi à inhiber la transformation de la testostérone en DHT (la substance qui cause la croissance de la prostate).
Il y a une chose en plus que vous devez savoir sur le zinc…
Peut-être avez-vous déjà entendu parler des effets très particuliers qu’ont les aliments riches en zinc sur la vie intime…
L’huître, qui est l’aliment le plus riche en zinc qu’on trouve dans la nature, est aussi considérée comme « le champion des aphrodisiaques » [11].
Cet effet s’explique parce que le zinc stimule la production de testostérone et la fabrication de semence masculine, très riche en zinc.
Mais de toute façon, le fait est qu’une prostate en meilleure santé implique forcément une vie intime plus intense et beaucoup plus satisfaisante.
Donc ne soyez pas surpris si vous vous apercevez que les moments que vous passez au lit sont plus agréables, lorsque vous dormez mais aussi quand vous êtes… éveillé.
Des formules tout en un
Aujourd’hui, il n’est plus nécessaire d’aller chercher chaque ingrédient séparément et d’avaler des dizaines de gélules à la fois (rien que pour la prostate !).
Il existe des formules complètes associant plusieurs ingrédients reconnus pour combattre les problèmes de prostate. Ces formulations spécifiques sont plus pratiques et reviennent moins cher que de prendre chaque ingrédient séparément.
À ma connaissance, les produits les plus convaincants dans cette catégorie sont :
• Formule Prostate du Laboratoire Cell’Innov,
• ProstaNatural de Super Smart
• et la nouvelle formule Olliman des laboratoires Olliscience.
Chacun de ces produits contient une bonne dose de zinc et associe plusieurs plantes riches en BTA, le principe actif essentiel contre les problèmes de prostate.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
PS : Bien entendu, je ne touche aucune commission ni rémunération en échange des produits que je recommande. Ceux-ci sont sélectionnés selon des critères stricts de composition, d’ingrédients et de qualité de fabrication.
Sources :
[1] Berges R.R. et al., Treatment of symptomatic benign prostatic hyperplasia with beta-sitosterol: a 18-month follow-up, BJU Int., May, 85(7):842-6, PMID 10792163.
[2] Safarinejad MR, Urtica dioica for treatment of benign prostatic hyperplasia: a prospective, randomized, double-blind, placebo-controlled, crossover study. J Herb Pharmacother. 2005 ; 5(4):1-11.Ghorbanibirgani A et al., The Efficacy of Stinging Nettle (Urtica Dioica) in Patients with Benign Prostatic Hyperplasia: A Randomized Double-Blind Study in 100 Patients. Iran Red Crescent Med J. 2013 ; 15(1): 9–10.
[3] Shoskes DA et al., Quercetin in men with category III chronic prostatitis: a preliminary prospective, double-blind, placebo-controlled trial. Urology 1999 ; 54(6):960-3.
[4] Szolnoki E. et al., The effect of Pygeum africanum on fibroblast growth factor (FGF) on transforming growth factor beta (TGF beta 1/LAP) expression in animal model, Acta Microbiol. Immunol. Hubg., 2001, 48(1):1-9. 2. Yablonsky F. et al., Antiproliferative effect of pygeum africanum extract on rat prostatic fibroblasts, J. Ur., 1997 Jun, 157(6):2381-7. 3. Levin R.M. et al., Low dose tadenan protects the rabbit bladder from bilateral ischemial/reperfusion-induced contractile dysfunction, Phytomedicine, 2005 Jan, 12(1-2):17-24.
[5] Wilt T et al., Pygeum africanum for benign prostatic hyperplasia. Cochrane Database Syst Rev. 2002; 1.Breza J et al., Efficacy and acceptability of tadenan (Pygeum africanum extract) in the treatment of benign prostatic hyperplasia (BPH): a multicentre trial in central Europe. Curr Med Res Opin. 1998 ; 14(3):127-39.
[6] A. Hamvas and others, ‘Experience with the Peponen Capsule in the Management of Benign Prostatic Hyperplasia’, International Urology and Nephrology, 23.1 (1991), 51–55
[7] M. Friederich, C. Theurer, and G. Schiebel-Schlosser, ‘Prosta Fink Forte®-Kapseln in der Behandlung der benignen Prostatahyperplasie. Eine multizentrische Anwendungsbeobachtung an 2245 Patienten’, Complementary Medicine Research, 7.4 (2000), 200–204
[8] Schneider HJ et al., [Treatment of benign prostatic hyperplasia. Results of a treatment study with the phytogenic combination of Sabal extract WS 1473 and Urtica extract WS 1031 in urologic specialty practices]. [Article in German]. Fortschr Med. 1995 ; 113(3):37-40.Lopatkin N et al., Long-term efficacy and safety of a combination of sabal and urtica extract for lower urinary tract symptoms--a placebo-controlled, double-blind, multicenter trial. World J Urol. 2005 ; 23(2):139-46.Lopatkin N et al., Efficacy and safety of a combination of Sabal and Urtica extract in lower urinary tract symptoms--long-term follow-up of a placebo-controlled, double-blind, multicenter trial. Int Urol Nephrol. 2007 ; 39(4):1137-46.
[9] Krzeski T et al., Combined extracts of Urtica dioica and Pygeum africanum in the treatment of benign prostatic hyperplasia: double-blind comparison of two doses. Clin Ther. 1993 ; 15(6):1011-20.Belcaro G et al., Supplementary management of benign prostatic hypertrophy with Prostaquil. An 8-week registry. Minerva Gastroenterol Dietol. 2015 Oct 22
[10] Feng P. et al., Direct effect of zinc on mitochondrial apoptogenesis in prostate cells, Prostate, 2002 Sep. 1st, 52(4):311-8.
[11] Ebisch IM, Thomas CM, Peters WH, Braat DD, Steegers-Theunissen RP. The importance of folate, zinc and antioxidants in the pathogenesis and prevention of subfertility. Hum Reprod Update. 2007 Mar-Apr;13(2):163-74.