Filière coton:Le Fmi salue le dynamisme des acteurs

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Publié le vendredi 29 septembre 2017 | Le Matinal

© aCotonou.com par Atapointe
Assemblée du printemps du FMI et de la Banque mondiale: Photo de famille des gouverneurs et ministres en charges des finances
Samedi 18 Avril 2015. Washington (USA).Comme il est de coutume, les gouverneurs et ministres en charges des finances présents aux assemblées du printemps du FMI et de la Banque Mondiale se sont prêtés à la Photo de famille.

Cela aurait pu passer pour des faits anodins et des commentaires populaires de café de comptoir. Mais, peu à peu, et ce malgré le contexte socio-économique difficile, et la morosité financière internationale, le gouvernement récolte les fruits de la rigueur mise au service de la gestion de l’économie et de l’agriculture. En témoigne l’appréciation émise dans son communiqué par la mission du Fonds monétaire international. De retour à Washington, après 2 semaines d’inspection à Cotonou, les experts du fonds ont salué la croissance économique portée par une production agricole vigoureuse. Ici, c’est la gestion de la filière coton qui est saluée. Notamment, la prouesse de la Sodeco qui a pu redonner vie au secteur que l’amateurisme du régime Yayi avait complètement presque enrhumé et détruit. Car, Ayant compris très tôt que l’Etat ne peut, seul, assurer une gestion saine et appréciée de la filière, le régime actuel a confié les destinées de l’or blanc aux privés, qui ont, quant à eux, associé les acteurs pour une filière assainie et mieux organisée. Les résultats, très tôt, ont prouvé que la meilleure méthode était celle mise en branle par le pouvoir actuel. Car, en dépit de la décision du pouvoir de mettre fin aux subventions de l‘Etat dans le secteur et de laisser les acteurs eux-mêmes décider de leur devenir, les résultats ont atteint un record jamais égalé. Avec l’avènement du gouvernement actuel, qui a à sa tête un professionnel hors pair, tout porte désormais à croire que l’ancien régime a péché contre l’or blanc au cours de son mandat et, par ricochet, contre la performance de cette filière dans notre économie.

A.T