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© aCotonou.com par Didier Assogba
Komlan Agbo, le représentant résident de l’Union économique et monétaire (Uemoa) |
Komlan Agbo fait le bilan de la venue annuelle à Patrice Talon
Le représentant résident de l’Union économique et monétaire (Uemoa) Komlan Agbo a eu un tête avec le chef de l’Etat Patrice Talon. Il s’agit pour lui de lui faire le peint de la revue annuelle de cette 2017, qui est instituée par ma conférences des chefs d’États. Après cette rencontre, il s’est entretenu avec les hommes des médias pour un point de presse.
Monsieur le représentant de l’Uemoa au Bénin, vous venez d’échanger avec le chef de l’État, qu’est qu’on peut retenir de votre entretien ?
Nous sommes allés rendre compte des travaux qui ont commencé depuis la semaine dernière avec les experts de la commission que ceux de l’État du Bénin. Nous avons échangé sur les réformes, les politiques, les programmes et projets mis en œuvre au Bénin. Alors nous appelons cela la revue annuelle, chaque année est instituée cette revue annuelle par la conférence des chefs d’États. C’est un exercice de passage en revue de différentes réformes, des différents programmes et projets mis en œuvre dans chaque état membre. Il s’agit de discuter avec les nationaux, des experts nationaux, les ministres impliqués dans différents programmes des efforts fournis, des difficultés rencontrées, les contraintes et envisager des pistes de solutions. Et à l’issue de cala, on dresse un mémorandum dans lequel on rend compte de ce qui s’est passé, on formule des recommandations à l’endroit du chef de l’État et à celui de la commission de l’Uemoa. Et donc on a fait tout ce bilan, on est allé rencontré me chef de l’État pour lui remettre le mémorandum, échanger sur les résultats obtenus.
Oui est ce que les résultats sont satisfaisants ?
Très satisfaisants, je dois le dire puis qu’il fallait noter tout ce qui a été évalué, et le Bénin déjà quant vous atteingnez la moyenne de 50% c’est déjà réconfortant. Et sur les trois domaines notamment convergence et gouvernance économique, marché commun et réforme politique, projets et programme, la moyenne généralement tourne autour de 60 à 70%. Donc on peut dire que se sont les résultats satisfaisants Mais comme promis hier à la rencontre avec les ministres et départements ministériels concernés, les efforts seront faits, nous allons travailler tout au long de l’année 2018 et de façon qu’en exercice de l’année de l’année prochaine, on eu résultat meilleur par rapport à ce qui s’est passé cette année. C’est vrai, il y a eu des innovations, chaque pays essaie pour la prochaine fois les nouveaux critères. Je crois que nous avons encore une année pour nous approprier les instruments.
Mais qu’elle a été l’appréciation du Chef de l’État ?
Le chef de l’État a très bien apprécié, d’abord comme je le dis, c’était une recommandation de la conférence des chefs d’États. Recommandations actée par un acte additionnel depuis 2013. Donc il était content de savoir que l’exercice se poursuit et que les recommandations formulées lors du dernier exercice en 2015 était pris en compte. Il était satisfait également des résultats engagés ou enregistrés par me Bénin.
Oui dites-nous quels ces recommandations ?
Les recommandations c’est-à-dire par exemple lorsque nous prenons la transposition d’un acte communautaire, on demande à nos états, il y a pas que le Bénin. L’exercice a prouvé que la plupart du temps les états ont transposé ces actes là. Mais n’ont pas porté sa transposition à la connaissance de l’Uemoa. Évidemment quand vous ne portée pas l’information à l’institution de la commission, on est un peu pénaliser. Alors que l’acte a été transposé et mis en œuvre etc.... On demande jusque par exemple de porter ça à la connaissance de la commission. C’est de ces petites recommandations qui ont été formulées. Et il est demandé à la commission Uemoa d’aider les différents états membres dans les différents transpositions, d’accompagner les états à s’approprier les instruments de mesures décidés.
Un appel à l’endroit de nos dirigeants ?
De nos dirigeants qu’est ce qu’il faut dire puis que l’exercice aujourd’hui commence pas prendre forme, c’est de se conformer lorsque un acte communautaire a été prise au niveau de tous les états membres. Que chaque état face un effort de les appliquer pour un meilleur appropriation ou un meilleur intégration de nos état.
Arsène Guy Gaisso
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