Bientôt deux mois que le Recensement administratif initial à vocation d’identification des populations (Ravip) a commencé sur toute l’étendue du territoire national. Se faisant enrôler, mardi 26 décembre dernier à Parakou, le ministre de l’Eau et des Mines, Samou Séidou Adambi, le député Rachidi Gbadamassi et le maire Charles Toko ont appelé la population à ne pas relâcher la mobilisation autour de l’opération.
L’opération du Recensement administratif initial à vocation d’identification des populations (Ravip) se poursuit à Parakou. Mobilisés pour sa réussite, le ministre de l’Eau et des Mines, Samou Séidou Adambi, le député Rachidi Gbadamassi et le maire de Parakou, Charles Toko, se sont fait enrôler, mardi 26 décembre dernier, pour montrer le bon exemple. Accompagné du préfet du Borgou, Djibril Mama Cissé, les trois personnalités politiques ont sacrifié à cette exigence au centre d’enregistrement du campus de l’Université de Parakou. L’occasion leur a permis d’échanger avec les agents pour s’enquérir du déroulement de l’opération. Ils étaient également à Titirou et au Caeb, respectivement dans les premier et troisième arrondissements.
Tout se déroule sans difficultés majeures, ont-ils fait constater. L’implication des chefs quartiers permet de régler les quelques au cas où des citoyens ne disposent de la moindre pièce exigée pour se faire enrôler.
Sur le terrain l’engouement de la population parakoise pour l’opération les a réjouis. Ils l'ont toutefois appelée à ne pas relâcher la mobilisation. Le ministre Samou Séïdou Adambi a invité les populations béninoises à ne pas attendre les derniers jours pour aller se faire enrôler. Quant au maire Charles Toko, il a promis de jouer sa partition afin que les objectifs poursuivis par l’opération soient atteints. Après avoir insisté sur l’importance et l’utilité du Ravip, le député Rachidi Gbadamassi a indiqué qu’il est tout simplement un outil de développement.