Les démons de la division sont de retour à Lalo. La marche de jeunes désœuvrés du jeudi 8 février 2018 pour « dénoncer la gestion du maire William Fangbédji » a été commanditée dans le but de déstabiliser le Conseil communal.
Les Législatives approchent à grands pas.Les politiciens de la 12ème circonscription électorale usent déjà de subterfuges pour mettre à mal la cohésion au sein de l’équipe communale de Lalo. Le jeudi 8 février 2018, une marche dite pacifique a été projetée sur la mairie de Lalo pour dénoncer l’utilisation des fonds de la Commune pour l’organisation de la fête des enseignants.En réalité, c’est une Ong qui a entièrement financé ladite fête. Egalement,ils ont fustigé la mutation des agents de la mairie vers les arrondissements ; ce qui n’est pas contraire aux textes sur la Décentralisation.De même, ils ont réclamél’arrêt immédiat du lotissement de leur localité alors que la Commune a besoin d’être développée et cela passe par le lotissement, le recasement. Légaliste et conscient que le Bénin est un pays de droit, le maire William Fangbédji a autorisé cette marche qui a été encadrée par les forces de l’ordre, ceci malgré les fausses notes.
A la mairie, les marcheurs ont été reçus par les adjoints aux maires qui avaient promis de rendre compte à qui de droit. La fausse note est quecette marche dirigée contre les autorités communales avait occasionné des blessés à cause des échauffourées. Très tôt, les politiciens véreux qui sont à la manœuvre ont fait porter au maire la responsabilité. Ceci, en raison de l’émergence de nouvelles forces politiques successibles de bouleverser les intérêts politiques dans la région.
SA