Alors qu'une loi a interdit, en décembre 2017, le droit de grève aux fonctionnaires de justice et de santé, ce débat serait passé à côté des véritables enjeux, comme l'accès au droit à l’éducation, à la santé ou à la sécurité, analyse Oswald Padonou, docteur en sciences politiques.
Enfant, j’adorais les combats. De boxe, de judo, entre vendeuses au petit marché de Porto-Novo… Mon soutien allait toujours à celui qui paraissait le plus faible. Le voir porter l’estocade était jouissif.
J’ai donc aimé observer les centrales syndicales béninoises vent debout pour le maintien du droit de grève au personnel de justice et de santé, que le gouvernement tentait de leur retirer.
... suite de l'article sur Jeune Afrique