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28 ans après la conférence des forces vives de la Nation: L’appel de Moukaram Badarou à tout le peuple béninois
Publié le vendredi 2 mars 2018  |  L`événement Précis
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© aCotonou.com par CODIAS
Rencontre café Média à la maison des Médias sur le journalisme culturel et la perte des valeurs
Cotonou, 27 juin 2015. Le journaliste culturel Luc Aimé Dansou et le préfet de l`Ouemé- plateau Moukaram Badarou ont animé 2 conférences-débats.




Dans une déclaration qu’i l a rendue publique, mercredi dernier, à l’occasion du 28ème anniversaire de la Conférence nationale des forces vives de la Nation, le président du parti « Conscience Citoyenne », Moukaram Badarou estime que « Notre démocratie est à la recherche d’un second souffle pour un développement durable ». Il lance à ce propos, un appel à tout le peuple béninois. Lire ci-après l’intégralité de ladite déclaration.
« Notre démocratie est à la recherche d’un second souffle pour un développement durable »

« 28 février est un grand jour pour le Bénin, il devrait l’être et pour cause: Le 28 février 1990, marque la clôture des travaux de la conférence nationale des forces vives de la nation. Vingt huit ans après, où en sommes nous? Que restent-ils des acquis de cette conférence ? Des valeurs patriotiques et citoyennes? Des fondamentaux de la République ? Où en sommes-nous et que faisons-nous pour capitaliser ces acquis? L’état des lieux n’est pas reluisant. Notre démocratie est à la recherche d’un second souffle pour un développement durable de notre pays, le Bénin. L’actuelle génération est défaillante à plus d’un titre. On veut tout et tout de suite. L’argent dicte sa loi à tous les niveaux et sans état d’âme. Quel drame? La priorité doit revenir à la patrie et je voudrais compter sur le Président de la République et son gouvernement pour rétablir les différents équilibres. Chaque Béninoise et chaque Béninois devra y contribuer activement.
J’ai la certitude que nous gagnerons à célébrer le 28 février et à rendre hommage au Président Mathieu Kérékou et à Monseigneur Isidore de Souza. Passez sous silence un tel jour, est dangereux pour le présent et pour l’avenir. Ressaisissons-nous. »
Moukaram A. M. BADAROU
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